Ici je vous propose de déposer vos poésie que se soit composez ou trouvez,un peu de poésie ne ferrait pas trop de mal et puis nous nous montrons a travers des texte que se soit en joie,en malheur,ect....

J'ouvre le bal;

Une larme

Tant d'innocence dans cette goute,
Qui dit tant de chose,
Celle que je verse,
A tant d'amour,
Moi qui croyait pourtant,
Joué la comédie,
Tu es toujours là,
Mon coeur ne peut se tromper,
Nos sentiments sont vrai,
Pourtant tu les cachent,
Pourquoi le fais tu?,
Je suis là versant larme,
Après larme,
Relachant cette amour,
Qui t'attend pour toujours,
Seul je continuerais,
A verser ces larmes,
Dans ma soufrance,
Que tu connais,
Reviens et je t'ouvrirais mes bras,
Tu y verras cette dèrnière larme,
Qui sera notre bonheur,
Reste et je quiterais cette univers,
Pour ne plus soufrir,
Et ce jour là,
Il pleuverras des milliers de larmes,
Qui te montrerons,
Cet amour perdu,
A ton tour,
Tu verseras cette larmes.

Une poésie que tout le monde connaît:

Notre Bière

Notre bière qui est au frais
Que ta mousse soit sanctifiée
Que ton verre vienne
Que ta distribution soit faite
Sur la table comme au comptoir
Donne-nous aujourd'hui
Notre houblon quotidien
Pardonne-nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui nous ont donné du coca
Soumets-nous à la tentation
Et délivre-nous de la soif
Car c'est à toi qu'appartiennent
Les bulles, l'arôme et la fraîcheur
Pour les siècles des siècles

Aller, une tournée pour tous.

en voici un autre;

L'amour,
Quel est donc son sens?
Quel est donc sa signification?
Qui peut répondre?
Personne et pourtant,
Nous connaissons le sens,
Sans pouvoir y répondre,
Seul notre coeur est dépendant,
Pourtant sans pouvoir y répondre,
Nous cherchons celle qui est,
Et non cette signification,
Laissons notre coeur le définir,
Sans le contrarier,
Laissons le nous guider,
Dans ce mot que l'on appel,
L'amour.

Hoooo, comme c'est mignon.

Poésie pour les enfants (petits ou grands) :

Compliment

Chers parents, en ce jour de fête,
Je veux vous dire mon désir
De vous faire à tous deux plaisirs.
Mais je bredouille un peu… C’est bête !

Voici mon petit compliment.
Je jure d’être toujours sage…
Toujours… Hum ! Je n’ai que mon âge.
Pourrais-je tenir mon serment ?

Car, rester tout le temps docile,
Ne pas faire ce qu’on défend,
Quelquefois, quand on est enfant,
C’est une chose difficile.

Non ! J’aime mieux ne pas jurer,
Toujours sage ? Oh ! Je le souhaite,
Mais je crains ma mauvaise tête…
Toujours sage ?... Eh bien ! J’essaierai.

Chers parents, acceptez, de grâce,
Ce pauvre petit compliment…
Merci, papa ! Merci, maman !
Et maintenant, je vous embrasse !



Lucie Delarue-Mardrus, Poèmes mignons pour les enfants.

PANTAGUS ton texte est superbe félicitation je voudrais qu'il y en ai plus,moi par exemple je parle plus de l'amour triste en voici un exemple;

Perdu

Perdu dans cet univers,
Qui me fait souffrir,
Perdu dans cet univers,
D'amour qui m'empêche,
D'en aimer une autre,
Je suis perdu sans toi,
Sans tes bras,
Sans tes lèvres,
Sans tes yeux,
Tes yeux bleu,
Bleu comme l'océan,
Bleu comme le ciel en été,
Ta peau si douce,
Si douce que j'ai envie,
De la carrésser,
De la sentir,
De l'embrasser,
Mais voilà,
Tu n'est pas là,
Nous vivons cette amour,
Un amour perdu,
Oui pour le moment,
Il n'est pas perdu pour toujours
Seulement pour l'instant,
Je t'aime,
Je ne suis rien sans toi,
Je suis perdu,

C'est une très belle poésie (déclaration) TopGun

Petite poésie :

La gelée

Ce matin,
Il y avait
Des milliers
De diamants
Dans les champs.

Les gens ont dit :
« C’est la gelée. »

Mais moi,
Je sais bien
Que c’est la lune
Qui a fait craquer
Tous ses colliers.

Anne-Marie CHAPOUTON

Mon but

N'en approches pas ou j'te charcute
A coup d'crampon, de haute lutte
Si quelque chose vaut qu'on s'batte c'est...mon but

C'est pas le mien quand l'match débute
Viens voir maint'nant s'il me rebute
J'm'y attache vite moi à ............................mon but

Les africains vivent dans des huttes
A Niagara il y a des chutes
J'n'ai qu'une maison, tu vois là-bas c'est....mon but

Même si un jour faut qu'on m'ampute
Du bras d'une jambe ou d'l'occiput
Si j'dois offrir un sacrifice ce s'ra à ...............mon but

Reste pas assis, viens on recrute
Des durs des forts, des bêtes de brutes
Unissons nous dans nos chansons pour.......not'but

Il ne reste plus que trois minutes
Les arrêts d'jeu se traînent-oh zut
Fragile comme un enfant.............................mon but

J'lui tourne le dos, (chuis un peu brute)
C'est pas la peine qu'on en discute
Seule une chose compte devant mes yeux, c'est.....ton but

Et goaaaaaaal.

BENJI pas mal.

Partir

Partir,
Pourquoi partir?,
Lorsqu'on aime une femme,
Que celle ci vous aimes aussi,
Tout sépare et rien sépare,
Deux être fait l'un pour l'autre,
Mais cette amour n'est reconnu,
Que d'un seul,
Quel est donc cette indiférence?,
Pourtant cette amour èxiste,
On le sait,on le sentn
Mais rien ne fait,
que reste il?,
De cette amour un peu perdu?,
Que faire?
Partir.


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Le football existera toujours

Demain des lobes tromperont le gardien
Et vingt-deux joueurs seront sur des terrains
Demain des avants-centre des buts marqueront
Et le public en liesse criera à l'unisson

Vieux et cher Football tu ne mourras jamais
Car par tous les gens tu es vraiment aimé
Nous, supporters fidèles le Football défendrons
Et jamais ô Football nous ne renoncerons

De Madrid à Munich et aussi Amsterdam
De Turin à Bordeaux avec nos oriflammes
Sur le bout de nos doigts nous connaissons nos rôles

Sur les murs dans le ciel et au fond de la mer
Dans toutes les contrées et sur toute la terre
Partout nous ecrirons ton nom ô Football

La classe!

Une poésie qui n'en est pas vraiment une mais que j'adore faire avec mes élèves qui l'apprécient également.

Je suis un imbécile

Dernièrement,
j’ai rencontré un monsieur
qui se vantait d’être un imbécile.
Il disait :
- Je suis un imbécile !
Je suis un imbécile !
Je lui ai dit :
- Monsieur…c’est vite dit !
Tout le monde peut dire :
« Je suis un imbécile ! »
Il faut le prouver !
Il m’a dit :
Je peux !
Il m’a apporté les preuves
de son imbécillité
avec tellement d’intelligence et de
subtilité
que je me demande
s’il ne m’a pas pris
pour un imbécile !

Raymond Devos, Matière à rire.

Patangus!

Le Monde est foot

L'hymne à la gloire du sport affaires
Y a rien d'autre à faire.
Regarder 22 joueurs se disputer,
Un ballon rond de toute critique.
Spectateurs de la galactique,
Qui consomment TV et gestes techniques,
Grandeur de la Rome antique,
Des rencontres scéniques.
Un arbitre qui s'applique,
A siffler tout ce qui se dicte.
Unir par le sport,
Formidable !
La loi du plus fort.
Tenter le diable !
Hommes, femmes,
Enfants, vieillards
Réunis par le câble,
Un satellite perdu dans le brouillard,
Me renvoie l'image tel un phare,
D'une bande de pillards.
Qui capturent et revendent
Emotions à profusions.
Ici s'arrête ma conclusion,
Même si à la surface du rectangle de mes pensées,
J'exige réparation.

Chanson pour les enfants l’hiver



Dans la nuit de l’hiver
Galope un grand homme blanc
Dans la nuit de l’hiver
Galope un grand homme blanc
C’est un bonhomme de neige

Avec une pipe en bois,
Un grand bonhomme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village.
Voyant de la lumière
Le voilà rassuré.
Dans une petite maison
Il entre sans frapper ;
Et pour se réchauffer,
S’assoit sur le poêle rouge,
Et d’un coup disparaît.
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d’une flaque d’eau,
Ne laissant que sa pipe,
Et puis son vieux chapeau.

Jacques Prévert

Voila c'est pas tout a fait une poésie mais un petit dialogue:

L'intellectuel et le supporter

L'INTELLECTUEL: Vraiment est-elle pas laide ta mascotte Footix?
LE SUPPORTER: Tu boudes le plaisir et mates des films X
L'INTELLECTUEL: Et toute cette débauche médiatique?
LE SUPPORTER: Tu vis peut-être d'air pur; tes parents ont du fric?
L'INTELLECTUEL: Le sport c'est ridicule, le mundial c'est du flan
LE SUPPORTER: Que ne ferais-tu pas pour sortir des rangs.
L'INTELLECTUEL: Quel message y-a-t-il pour les jeunes du futur?
LE SUPPORTER: Que la vie c'est suer, que le labeur est dur.
L'INTELLECTUEL: On ne voit plus que ça à la télévision!
LE SUPPORTER: Oh, il reste encore bien des perversions.
L'INTELLECTUEL: Quel intêret y-a-t-il à voir tous ces gugusses...
LE SUPPORTER: (Qui font dix fois à pied ce qui te crève en bus )
L'INTELLECTUEL: Courrir après une balle en se faisant huer
LE SUPPORTER: Attends tes lunettes sont toutes embuées...
L'INTELLECTUEL: C'est malin, écoutes moi pauvre fanatique
LE SUPPORTER: Où sont tes arguments, cervelet désertique
L'INTELLECTUEL: Je ne vois pas pourquoi cette coupe met en transe
LE SUPPORTER: Pou ces étrangers là, ouvrons grande la France
L'INTELLECTUEL: Soit, mais ne pouvez vous faire ça avec moins de bruit?
LE SUPPORTER: Pleure sans te plaindre veux-tu, et gêner ceux qui rient.

Le prochain qui me met un poème il se prend trois mois de ban

Lol, c'est un truc de gonzesse mais ça fait des postes, lol.

Benji3t a écrit:

Lol, c'est un truc de gonzesse mais ça fait des postes, lol.

Et bien, pas très poésie Tobb. Est-ce que les livres t'ont fait du mal dans ton enfance

Le football

Foissement de matchs
Outre, toute l'année,
Outre, tous les week-ends,
Totalement dédiés aux sports,
Ballons ronds s'échangent aux pieds.
Allez, allez, notre appartenance se souligne
Libre et consentante d'un sport,
Légère aux sensations fortes.

En ce lundi soir, une petite poésie dédicacée à Tobb

Il s’en passe des choses dans ma cité

Il s’en passe des choses dans ma cité. Il n’y a qu’à
regarder. Moi, un jour, j’ai dit : « J’arrête, je regarde. »
J’ai posé par terre mes deux sacs. Je me suis assis.
J’ai regardé.

Les gens venaient
Les gens marchaient
Les gens passaient
Les gens tournaient
Les gens filaient
Les gens glissaient
Les gens dansaient
Les gens parlaient
Gesticulaient
Les gens criaient
Les gens riaient
Les gens pleuraient
Disparaissaient.

Il s’en passe des choses dans ma cité. Il n’y a qu’à
regarder. On voit de tout, on peut tout voir. Mais ce
qu’on ne voit jamais dans ma cité, c’est un regard.
Un regard qui vous regarde et qui s’attarde.

Les gens naissaient
Les gens vivaient
Les gens mourraient.

Et moi, je restais sur mon banc de pierre, encadré
par mes deux sacs. Je regardais.
C’est merveilleux : partout où il y a des femmes,
partout où il y a des hommes,
partout il y a la vie.
J’aurais dû me lever. Leur tendre la main.
Leur dire : « Salut.
Bonjour ! J’existe. Et vous. ? Vous existez ? »

Je suis resté assis.
Le plus souvent, c’est ainsi que les choses se passent.

Guy Foissy, in Jacques Charpentreau, La ville des poètes

Lol, comme c'est joli.

mdr