Parce que la terre est ronde et que le ballon de football l'est aussi...

Petite visite de joueurs en terre de Tchétchénie...
http://www.canalplus.fr/c-sport/c-football/foot-france/pid3388-foot-france-msn-cfc-en-direct-video.html

Citation :

Boghossian remet le feu

Par Alban LAGOUTTE sur
http://www.football.fr/footballfr/cmc/equipe-de-france/201120/alain-boghossian-cree-la-polemique-en-se-rendant-en-tchetchenie_104065.html
De Football.fr
Créé le 17/05/2011 à 09:56, modifié le 17/05/2011 à 08:47
Alain Boghossian ne pensait pas que son voyage en Tchétchénie ferait autant de bruit. (Reuters) Alain Boghossian ne pensait pas que son voyage en Tchétchénie ferait autant de bruit. (Reuters)
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Les braises sont encore brûlantes qu'un nouveau foyer se déclare déjà... Après le scandale des quotas ethniques supposés au sein de la DTN, c'est Alain Boghossian, l'entraîneur-adjoint de Laurent Blanc, qui se retrouve au coeur d'une nouvelle tourmente médiatique. Le champion du monde 1998 s'est rendu en Tchétchénie pour participer à un match de gala dans un pays où le régime politique exerce des méthodes pour le moins radicales...

Et c'est reparti... En juin 2010, il y avait d'abord eu l'affaire du bus et de la grève de Knysna, qui avait mis plusieurs mois à être réglée, puis le scandale des quotas ethniques au sein de la DTN (Direction technique nationale) a éclaté début mai, et c'est maintenant un dossier politico-sportif qui agite les coulisses de la FFF (Fédération française de football).

Un voyage privé trop visible?

Au coeur du problème, un membre du staff technique des Bleus, et non des moindres, puisqu'il s'agit d'Alain Boghossian, l'un des adjoints de Laurent Blanc au côté de Jean-Louis Gasset notamment. Récemment, l'ancien milieu de terrain défensif a répondu favorablement à l'appel du chef d'état de la Tchétchénie, Razman Kadyrov, pour aller disputer un match de gala censé inaugurer un stade flambant neuf à Grozny. L'ancien Marseillais s'est donc rendu dans la capitale tchétchène, en compagnie notamment de Diego Armando Maradona, Luis Figo, Franco Baresi, Ivan Zamorano ou Jean-Pierre Papin. Que du beau monde a priori...

Sauf que là où le bât blesse, c'est que le président tchétchène n'en est pas à son coup d'essai et avait déjà organisé, quelques quinze jours plus tôt, une opposition amicale avec son équipe contre d'anciens internationaux brésiliens. Par ailleurs, après cette rencontre, l'ancienne idole du Parc des Princes, Raï, avait estimé s'être fait piéger et avoir été utilisé comme outil de propagande.

Alors en France, en apprenant que "JPP", mais aussi Fabien Bartez, Manuel Amoros et Alain Boghossian donc, avaient accepté l'invitation de Kadyrov, le débat a éclaté. Et la question qui revient sans cesse désormais est de savoir pourquoi le champion du monde 1998 est allé se montrer en Tchétchénie? Et sur ce sujet, les avis sont contraires.

Un cachet ou pas ?

Certains avancent que l'ancien joueur du FC Parme, en tant qu'employé de la FFF, aurait dû mesurer l'impact d'un tel déplacement, aussi privé soit-il, et même que la Fédération aurait dû opposer son veto à ce voyage organisé. Un autre son de cloche évoque qu'Alain Boghossian s'est rendu en Tchétchénie en son âme et conscience, pour participer à une fête, toucher un cachet, sans pour autant connaître la situation politique dans laquelle se trouve le pays.

A ce sujet, les informations fournies sont également contradictoires. Ainsi, le principal intéressé assurait récemment dans les colonnes de L'Equipe n'avoir pas touché d'argent pour cette opération, là où Canal Plus estime que les participants ont, en moyenne, touché entre 20.000 et 50.000 euros, montrant qui plus est des images de Boghossian et ses coéquipiers d'un jour recevant de magnifiques présents au moment de quitter le pays. Enfin, une théorie, celle du complot en quelque sorte, consiste à croire que ces dossiers régulièrement sortis dans la presse ne servent qu'à fragiliser Fernand Duchaussoy et le pouvoir en place avant les prochaines élections présidentielles du 18 juin à la 3F...

Consciente de la polémique en train de naître, celle-ci devrait quoi qu'il en soit réagir rapidement et convoquer l'ancien international Tricolore pour s'expliquer. Il n'y aura évidemment aucune sanction interne ou publique à l'encontre du "fautif", qui réfléchira sans doute à deux fois, dans l'avenir, avant d'aller rechausser les crampons aux quatre coins du globe. Histoire d'éviter de mouiller dans un nouveau scandale...

Et pour cloturer l'info...
http://latta.blog.lemonde.fr/2011/05/17/les-bronzes-font-grozny/

Moi j' ai ça pour " Foot & Politique"
Une classe sans pareille, dès les premières foulées sur le pré vert


Giscard footballeur par RollingPat

Alors c pour ce genre de vidéo que j'adore le forum de LFP!!!

Bravo, je la copie colle celle là!!!


C'est Groland en puissance dix!!! Et il marque sur penalty à deux minutes de la fin du match!!!
Magnifique!!!

Election à la tête de la Fifa: Joseph Blatter lui aussi rattrapé par les affaires...

A cinq jours de l'élection du président de la Fédération internationale de football, les affaires de corruption ont fini par rattraper le sortant suisse Joseph Blatter, visé vendredi par une procédure du comité d'éthique comme son rival, le Qatari Mohammad Bin Hammam.

Le scrutin prévu le 1er juin lors du Congrès de la Fifa à Zurich peut-il avoir lieu dans des conditions décentes ? Mercredi, +Sepp+ Blatter semblait avoir fait le vide autour de lui et se diriger tranquillement vers un 4e et dernier mandat après l'ouverture d'une enquête contre son concurrent, président de la Confédération asiatique.

Mais le patron du football mondial, qui jouit depuis plusieurs semaines des soutiens sans faille des confédérations européenne, sud-américaine, africaine et de l'Océanie, devra lui aussi s'expliquer après une demande formulée par son concurrent.

Qu'est-il reproché à M. Blatter ? D'avoir été informé "à l'avance" par Jack Warner, président de la Concacaf et membre du CE de la Fifa, de versements présumés d'argent en liquide aux participants d'une réunion de la Confédération des Caraïbes (CFU), les 10 et 11 mai, relative au scrutin du 1er juin.

M. Blatter fait figure d'arroseur arrosé puisque c'est précisément pour avoir organisé, apparemment conjointement, cette réunion que MM. Bin Hammam et Warner font l'objet depuis mercredi d'une procédure ouverte par le comité d'éthique de la Fifa pour de "possibles violations" du code éthique et "allégations de fraude".

Les arguments de M. Blatter sont attendus samedi et le président de la Fifa sera entendu dimanche, comme M. Bin Hammam, soit trois jours seulement avant l'élection à la présidence qui doit opposer les deux hommes.

L'affaire est partie de propos rapportés le 24 mai au secrétaire général de la Fifa Jérôme Valcke par Chuck Blazer, membre du comité exécutif de la Fifa et secrétaire général de la Concacaf, sur de "possibles violations" du code éthique au cours de la réunion de la Confédération des Caraïbes (CFU).

Le camp de M. Bin Hammam a dénoncé vendredi "une conspiration" visant à le "discréditer", ajoutant que "personne n'a tenté de cacher le fait qu'(il) a payé le voyage des délégués et couvert les frais administratifs de la réunion" des 10 et 11 mai.

Ce climat délétère pose en tout cas la question de la tenue dans des conditions optimales du scrutin. Mais c'est aussi une nouvelle fois l'image de l'institution qui sort laminée de ce grand déballage en public survenu au pire moment.

La Fifa ne s'est en effet toujours pas remise des accusations de corruption visant la désignation des pays hôtes des Mondiaux 2018 (Russie) et 2022 (Qatar).

Après la suspension en novembre de deux membres du Comité exécutif, le Tahitien Reynald Temarii et le Nigérian Amos Adamu, ce sont trois autres éléments très influents du CE qui se sont trouvés dans des positions inconfortables.

L'ex-président démissionnaire du comité de candidature anglais pour le Mondial 2018, Lord David Triesman, a ainsi récemment accusé Ricardo Teixeira (président de la Fédération brésilienne), Issa Hayatou (président de la Confédération africaine) et Nicolas Leoz (président de la Confédération sud-américaine) de comportements "incorrects et non éthiques".

Le Sunday Times a révélé de son côté que deux hauts responsables du football mondial avaient monnayé leur vote dans le cadre de l'attribution du Mondial-2022 au Qatar, fief de Bin Hammam, en échange de 1,5 million de dollars (1,05 million d'euros).

Dans des entretiens accordés à l'AFP, M. Blatter avait évoqué son "plan +tolérance Zéro+" en matière de corruption alors que M. Bin Hammam avait lui souhaité "redorer le blason de la Fifa" en y insufflant de la "transparence". Les voilà tous deux pris à leurs propres pièges.

© AFP

des looser quoi

il vont apliquer la methode hommes politiquer : ont vas dire d'eux qu'ils sont courageux d'afronter cette affaire , laisser l'affaire se tasser , et recommencer de plus belle

Bof bof les gars
Dites vous bien qu' a chaque approche d' elections, vous en verrez des tonnes
Est ce a dire que c' est faux ? Non !
C' est comme le dopage...c'est inhérent au haut niveau
Est ce bien ? Non plus
Mais je m' en contre fiche tout de même, contrairement a "l' affaire des quotas" qui elle depasse l' aspect sportif pour entrer dans le cadre du "keskeu la République ?"

Voila, c' est leur tambouille
Je n' en connais aucun qui lave plus propre que l' autre, j' en connais de pire ( notamment l' ex ogre Samaranch qui a sevi dans l' Olympisme)

C'était la pensée du jour de Papy Tobb !!!

Bah oui !