bah gourcuff qu ils soit la ou pas sa change pas grand chose

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OL : Clément Grenier et Bakary Koné suspendus
Les sanctions tombent à l’Olympique Lyonnais, et Remi Garde devra se passer des services de Clément Grenier et Bakary Koné en ce début d’année 2012. Le milieu de terrain des Gones a écopé de deux matchs de suspension pour un taclé jugé dangereux sur Angoula face à Evian, alors que le défenseur burkinabé a pris un match ferme pour l’ensemble de ses avertissements reçus.

Les deux hommes rateront donc l’entrée en lice de l’OL en coupe de France à l’occasion du derby face à La Duchère le 8 janvier prochain, et Grenier s’installera également en tribune lors du grand choc face au LOSC trois jours plus tard.

a croire que sa a ete fait expret ...beaucoup de joueurs sont suspendu pour cette coupe

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Lyon revient pour Diakité
Après avoir proposé six millions d'euros à Nancy pour le transfert de Samba Diakité cet été, Lyon est revenu à la charge avant le mercato hivernal. Si le président de Nancy Jacques Rousselot a confirmé cet intérêt, deux points pourraient bloquer la transaction : 1) Le milieu de terrain malien est présélectionné pour la CAN alors que l'OL veut un joueur disponible en janvier. 2) L'ASNL aimerait recruter Jérémy Pied en contre-partie. Or, ni le meneur de jeu lyonnais ni son entraîneur ne sont emballés par cette perspective.

mdr vla l echange ...surtout que diakhité a fait plutot une demi saison en demi teinte

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OL : 6 pistes pour renforcer la défense ?
L'OL veut recruter un voire plusieurs défenseurs. Et visiblement les Gones ne manquent pas de pistes.

À défaut de vouloir recruter à tout prix un renfort offensif, l’Olympique Lyonnais compte accorder sa priorité au recrutement d’un voire de deux défenseurs. Car l’arrière-garde rhodanienne risque de subir un petit coup de lifting cet hiver. À commencer par le poste de latéral gauche. Bien que les Gones ont recruté Mouhamadou Dabo pour pallier l’éventuel départ d’Aly Cissokho, Lyon Capitale indique que la formation rhodanienne dispose d’autres solutions de rechange.

Le premier nom cité est d’ailleurs celui du joueur du Paris Saint-Germain, Sylvain Armand. S’il vient de prolonger son bail jusqu’en 2013, l’ancien Nantais n’est plus un titulaire en puissance et s’affiche comme l’une des principales victimes de la clinquante politique de recrutement des Rouge-et-Bleu. Déjà annoncé à Lyon l’été dernier, Armand avait également été cité du côté de Lille. Interrogé au sujet d’un possible départ, le principal intéressé n’y semble pas opposé. « J’étais trop curieux de savoir ce qui allait se passer à Paris. Ce n’est pas à l’ordre du jour, mais si ça se passe un peu moins bien pour moi, pourquoi pas. »

Autre nom cité, celui de Ricardo Rodriguez (FC Zurich) est en revanche une piste qui paraît moins accessible. Âgé de 19 ans, le Suisse est en effet d’ores et déjà annoncé dans le viseur de clubs bien plus fortunés comme le Barça, le Real Madrid ou le PSG. Enfin, quelques mois après avoir quitté Nancy pour rejoindre Bursaspor, Michaël Chrétien serait lui aussi dans l’agenda lyonnais. Si l’arrivée d’un arrière gauche est donc plus que probable, celle d’un défenseur axial n’est pas à exclure non plus.

Si le jeune Baky Koné donne entière satisfaction, l’OL ne doit pas manquer la succession de Cris. Et pour remplacer le Brésilien, trois noms sont avancés : Mickaël Ciani (Bordeaux), Eliaquim Mangala (FC Porto) et François Affolter (Young Boys). Le premier cité est disponible sur le marché, mais est fortement courtisé par le Betis Séville. Le deuxième vient d’arriver à Porto (4 matches disputés) et seul un prêt paraît possible, tandis que le troisième larron avait fait parler de lui du côté du PSG il y a près d’un an.

6 pistes pour combien d arriver ?

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Une piste pour l'OL aux Emirats ?
Selon le quotidien des Emirats arabes unis The National, lundi, l'Olympique lyonnais serait en contacts très avancés avec le défenseur international d'Al-Wahada Hamdan al-Kamali, 22 ans. Selon nos informations, son profil a bien été repéré l'été dernier par les têtes chercheuses lyonnaises, mais aucune approche n'a encore été initiée. Il n'en reste pas moins que l'OL est confronté à une pénurie de défenseurs centraux (Cris blessé, Koné et Mensah vers la CAN, Lovren sans doute bientôt suspendu) et réfléchit à l'éventualité d'un renfort dans ce secteur pendant le mercato. «C'est à l'étude», a confirmé Rémi Garde, mais «la première idée» de l'entraîneur des Gones est plutôt de gérer la situation avec l'effectif actuel, «en faisant reculer certains joueurs».

lol c est quoi ces recrues ????

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Mercato OL : Jean-Michel Aulas veut recruter !
Vainqueur sans forcer de La Duchère (3-1), l’Olympique Lyonnais a validé son billet pour les seizièmes de finale de la Coupe de France. Mais les Gones doivent faire face à de nombreux problèmes sur le plan défensif (Mensah et Koné à la CAN, Cris blessé, Lovren problablement suspendu), devant aligner un duo Gonalons-Umtiti dans l’axe.

Du coup, comme il le confie sur le site officiel de son club, Jean-Michel Aulas compte recruter à ce poste malgré les difficultés économiques : « On ne peut pas ne pas réfléchir en période de mercato. J’ai demandé à ce que le club se mobilise. Économiquement ce n’était pas prévu mais il va falloir dépasser ces raisons économiques. Le profil qu’on aimerait c’est un défenseur central, grand, jeune et disponible tout de suite. Si vous l’avez je prends »

mdr fontaine de Reims . On le donne .

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OL : Lacombe s’en prend à Puel et exprime sa satisfaction

Peu avare de mots, Bernard Lacombe est ravi de la sérénité retrouvée de l'OL. Il en profite pour égratigner la gestion de Claude Puel.

Un but de retard à remonter à 10 contre 11 pour une place en demi-finale de la Coupe de la Ligue : mercredi soir, l’Olympique Lyonnais a su relever ce défi face au champion de France en titre au terme d’une soirée que Gerland n’oubliera pas de sitôt. Avec abnégation, courage et solidarité, les hommes de Rémi Garde ont démontré un visage que Claude Puel aurait aimé voir bien plus souvent durant son règne sur le banc de touche. Car, disons-le clairement, le passage de Puel n’a toujours pas été digéré par la direction rhodanienne et plus particulièrement Bernard Lacombe.

Interrogé sur le sujet dans les colonnes du Midi Libre, le conseiller du président Jean-Michel Aulas a eu la dent dure contre le technicien français. « Elle (ndlr : la page Claude Puel) est d’autant plus facile à tourner que les gens n’étaient pas heureux. Aujourd’hui, il y a des sourires, les joueurs viennent aux entraînements avec la “banane”. (…)Il a voulu tout changer dans un club qui venait de remporter sept titres consécutifs. Il était bourré de certitudes et n’en démordait pas. Parfois, cela devient dangereux, les certitudes... On change les choses dans un club qui va mal, pas lorsque l’on nage dans le bonheur », a tancé Lacombe, qui était pourtant aux côtés de Puel au cours de sa mission.

Annoncé comme une saison de transition, l’exercice 2011-2012 est déjà vécu comme un succès. « L’OL est redevenu une vraie famille, avec des gens comme Bruno Génésio, Joël Bats ou Gérald Baticle qui vient de nous rejoindre. On ne connaît pas l’issue de la saison, mais Rémi a déjà gagné son pari. (…) On est encore en course dans toutes les compétitions, c’est déjà pas mal. Gagner un trophée serait fabuleux ». Retrouver la sérénité était l’objectif principal et il a été atteint. Aujourd’hui, l’OL est à deux matches d’un premier titre depuis 2008 et toujours en course pour une qualification en Ligue des Champions. Pas la peine d’en demander plus pour Bernard Lacombe.

tiens j'ai appris que le mascara avait augmenter a lyon, c'est la faute de gourcuff ca

mdr comment c est mechant

Privé de ses six défenseurs de métier, Rémi Garde a convoqué cinq joueurs évoluant en CFA le plus souvent, pour le choc de samedi à Montpellier. Leurs noms : Kolodziejczak, Umtiti, Youga, Gassama, Zéffane. Incroyable série, qui devrait pousser l'entraîneur de l'OL à faire reculer deux milieux.

La défense centrale de Lyon sera composée de Maxime Gonalons et Samuel Umtiti, samedi à la Mosson. C'est expérimental, mais c'était prévu. Privé de Cris et Dejan Lovren sur blessures (cuisse et tendinite aux tensons d'Achille), et de Bakary Koné retenu à la CAN par le Burkina Faso, Rémi Garde se savait condamné à expérimenter dans l'axe, comme il l'a fait en Coupe de France face à la Duchère (3-1) et en Coupe de la Ligue devant Lille (2-1). Mais l'entraîneur de l'OL, avant un match très important à Montpellier, samedi (21h), dans la course à l'Europe, ne pouvait pas avoir anticipé la même avalanche sur les côtés. Il a pourtant dû enregistrer les forfaits successifs de tous ses latéraux, ce qui l'a conduit à retenir joueurs sans grande expérience de la Ligue 1.

Les absents ? Mouhamadou Dabo, exclu contre Lille mercredi en Coupe de la Ligue (2-1) et suspendu. Mais aussi Anthony Réveillère, touché derrière la cuisse droite, et finalement, Aly Cissokho. Le joueur, qui pourrait quitter l'OL lors du mercato, est présenté comme victime de "douleurs musculaires" par son club. Toujours est-il que la liste fournie par Rémi Garde donne le tournis. Les noms des défenseurs fleurent bon la post-formation, le manque d'expérience en Ligue 1 et l'équipe B de l'OL : Thimothée Kolodziejczak (20 ans), Samuel Umtiti (18 ans), Amos Youga (19 ans), Lamine Gassama (21 ans), Mehdi Zéffane (19 ans). Incroyable.

Kolodziejczak et Gassama , le retour

Parmi eux, deux noms déjà aperçus en équipe première : Kolodziejczak et Gassama. S'ils ont eu (un peu) leur chance sous l'ère Puel, ils ont été relégués en CFA avec l'arrivée de Rémi Garde et voient la fin de leur contrat arriver à grands pas. L'arrivée de Mouhamadou Dabo a clairement obscurci leur horizon. Gassama est même susceptible de partir lors du mercato d'hiver. Derrière Umtiti, Youga et Zéffane connaissent une progression inattendue. Mehdi Zéffane est un ancien défenseur central reconverti au poste de latéral droit ou de milieu défensif si nécessaire. Rugueux, il est passé devant Gassama cette saison en CFA. Il est sous contrat élite et passera en toute logique à l'échelon professionnel la saison prochaine. Amos Youga, lui, est arrivé cette année en provenance de Saint-Priest. Stagiaire, doté d'un physique impressionnant, il manque même d'expérience... en CFA.

Sur les autres lignes, on note l'apparition de Jordan Ferri, milieu défensif de poche (1m72 pour 70kg) et bon technicien. Il compense la descente probable d'un grand d'un autre milieu de terrain, probablement Bastos, capable de jouer au poste de latéral gauche comme il l'a fait en sélection. Bafétimbi Gomis, victime d'un coup sur un genou et absent contre Lille, reste indisponible.

LE GROUPE : Lloris, Valverde, Kolodziejczak, Umtiti, A.Youga, Gassama, M.Zéffane - J.Ferri, Källström, Fofana, Gonalons, Grenier, Gourcuff, Bastos, Ederson, Pied - Lacazette, Briand, Lisandro.

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Les cas Cris, Koné, Gourcuff et Briand : Rémi Garde livre ses vérités
Arrivé sur le banc de touche de l'OL l'été dernier en lieu et place de Claude Puel, Rémi Garde a rapidement bénéficié du soutien du public lyonnais, acquis à la cause de ce pur Gone. Auteur de premiers pas satisfaisants en tant que coach, le technicien revient sur sa gestion de l'effectif, s'attardant sur les cas Cris, Koné, Gourcuff et Briand.

Après avoir longuement hésité, Rémi Garde a fini par accepter le poste d’entraîneur que Jean-Michel Aulas voulait lui offrir il y a déjà bien longtemps. Sondé en 2007 après le départ de Gérard Houllier, le natif de l’Arbresle n’avait finalement pas pris place sur le banc de touche. Qu’importe, 4 ans plus tard, le voilà donc propulsé sous les feux des projecteurs. Et pour ses premiers pas dans le métier, le technicien a déjà réussi un bel exploit : se mettre rapidement dans la poche les supporters de l’Olympique Lyonnais, qui étaient en grande partie hostiles à Claude Puel. Bénéficiant du soutien du public et de l’encadrement, le coach peut donc travailler dans la sérénité.

De quoi lui permettre de dresser un premier état des lieux de son groupe. Dans un entretien-vérité accordé à Planète Lyon, le tacticien fait le point sur son effectif et se focalise sur les cas de certains joueurs en particulier. Premier dossier, celui de Cris, qui ne fait plus office de titulaire indiscutable : « Ce n’est pas du tout difficile pour moi de mettre Cris sur le banc. Absolument pas. Il l’a déjà été et il le sera probablement dans certaines circonstances. Mais le spectateur ne voit que le résultat final d’une semaine d’entraînement ou d’une saison. Moi je prends également en compte les rencontres passées et futures. (...) Personne ne pense, moi le premier, que Cris, c’est l’avenir. Mais vous savez, j’ai joué en Angleterre où l’âge des joueurs n’est pas un critère de sélection, c’est la performance qui compte. Et puis, Cris me donne une très grande satisfaction, dans son investissement, dans l’état d’esprit qu’il insuffle aux autres ».

Si le Brésilien peut aller sur le banc, c’est que Bakary Koné a fait forte impression depuis son arrivée entre Rhône et Saône. Mais après avoir connu des débuts en fanfare, le Burkinabé a pioché sur la fin, laissant d’ailleurs sa place au Policier : « Bako Koné jouait il y a encore peu de temps en National, il a une grosse marge de progression et besoin de progresser. Car, après un début de saison fantastique, il a eu des performances un peu moins satisfaisantes pour moi, à l’entraînement voire en match. Rien d’inquiétant car Bako Koné, c’est l’avenir. Koné-Lovren, c’est l’avenir pour l’OL, certainement. (...) Les sollicitations et les émotions qu’il a eues pendant trois mois l’ont un peu vidé psychologiquement, déstabilisé. Et il avait beaucoup moins de sûreté dans son jeu ». Mais le cas le plus complexe semble bien celui de Yoann Gourcuff, dont le comportement mystérieux laisse perplexe :

« Qui vous dit par exemple qu’en dehors des 30 secondes d’images filmées dans l’avion du retour de Zagreb où on le voit écouter de la musique, il n’a pas fait autre chose pendant les 2 heures 30 du voyage ? (...) Je ne vais pas aller jusqu’à parler de manipulation de l’information mais c’est dirigé. Après, Yoann a la personnalité d’un garçon réservé. Ce n’est pas lui qui monte le plus facilement sur la table du vestiaire pour chanter, c’est sûr. Il ne cherche pas la lumière des projecteurs. Pourtant, son jeu et sa carrière ont fait qu’il y est. Ce qui peut expliquer qu’à certains moments, surtout quand il est blessé ou en recherche de forme, pour lui, c’est peut-être encore plus difficile que pour d’autres. Mais je peux vous assurer qu’il n’y a pas de problème avec Yoann Gourcuff ».

Enfin, Rémi Garde est revenu sur le cas de Jimmy Briand. Parfois sifflé à Gerland, l’ailier droit reste un titulaire à part entière aux yeux de son coach, qui loue son état d’esprit : « C’est un peu mon Sidney Govou des nouvelles années. Jimmy Briand est international, déjà. Et je le compare à Sidney Govou dans ce qu’il représente pour le groupe. Car Jimmy n’est bien sûr pas le meilleur techniquement mais au niveau de l’état d’esprit, il est du calibre des meilleurs. Je ne veux pas rentrer dans le détail, mais quand il n’est pas là, il y a un vide. Comme à l’époque, quand Sidney ne jouait pas. Jimmy est un garçon très altruiste, qui n’a qu’une obsession, l’équipe. Il faut des joueurs comme ça. Une équipe pour moi, c’est un assemblage de personnalités différentes, j’aime bien ce puzzle ». À la base réticent à l’idée de devenir entraîneur, le coach de l’OL semble désormais avoir réellement pris goût à son poste. De quoi lui donner envie de prolonger son bail qui court jusqu’à la fin de la saison ? Réponse au terme d’une deuxième partie d’exercice qui s’annonce excitante pour les Gones.

remi garde par faire comme guardiola

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A l'image de Rémi Garde et de Michel Bastos, les Lyonnais abordent avec gourmandise la demi-finale de Coupe de la Ligue qu'ils joueront mardi soir, à Lorient. Quatre ans après sa dernière finale au Stade de France, l'OL est en manque. Entretiens croisés.

L'OL rêve-t-il d'une finale au Stade de France?

RÉMI GARDE : Oui, bien sûr, ce serait un super belle performance, un rêve aussi pour tout le monde. Nous allons essayer de tout faire pour y parvenir. Ce n'est peut-être pas la compétition la plus prestigieuse mais, comme je vous l'avais dit avant le quart de finale contre Lille, en regardant chaque année la finale, on se dit que ça n'aurait tout de même été pas mal d'y participer.

MICHEL BASTOS : Bien sûr, j'ai hâte de jouer une finale au Stade de France. Pour cela, il faudra s'imposer à Lorient, nous aurons besoin d'être à 100% afin d'y parvenir. J'ai déjà disputé une demi-finale avec l'OL, c'était en Ligue des Champions (en 2010 contre le Bayern Munich, Ndlr). Je sais que ce représente une finale au Stade de France car mon ami Cris m'en a parlé, il m'a dit que c'était extraordinaire.

Cette demi-finale revêt-elle encore beaucoup plus d'importance du fait de l'absence de trophée à l'OL depuis 2008?

R.G. : C'est vrai qu'il y a eu une période où nous accrochions les trophées plus facilement. Le club, les joueurs et le groupe sont en manque depuis trois ans. Cette Coupe de la Ligue est un trophée et nous motive.

M.B. : Cette année, nous voulons gagner quelque chose, c'est pour cette raison que nous sommes à fond dans toutes les compétitions, nous l'avons prouvé contre Lille (2-1) ou à Zabreb (7-1). Personnellement, je n'oublie pas que je n'ai encore rien gagné depuis que je suis en France. Par rapport à ce que j'entends dans le vestiaire, je peux vous dire que nous sommes tous à fond, nous avons tous envie d'aller en finale pour essayer de donner un titre à un club qui avait l'habitude d'en obtenir.

L'OL va-t-il parvenir à faire totalement abstraction du choc de dimanche à Marseille?

R.G. : Oui car nous aurons tout de même quatre jours entre la demi-finale et ce match à Marseille. Et vu l'importance que nous accordons à cette rencontre à Lorient, il n'est pas question de s'éparpiller ou d'être perturbé par l'affiche de dimanche. J'alignerai à Lorient la meilleure équipe du moment mais peut-être que vous aurez des surprises comme à Zagreb où vous n'aviez pas eu la même analyse que moi (sourires).

M.B. : Le match le plus important, c'est celui qui arrive. Il ne faut pas penser à Marseille mais se concentrer à 100% sur cette rencontre contre Lorient. Nous sommes focalisés à fond sur cette possibilité d'aller en finale.

Bah la finale oki la gagner he ho faut pas rever hein, et dire que cette coupe est devenue un enorme trophée grace au doublé de l'om comme quoi le prestige hein , bon les filles dimanche soir

ou l'argent ammasser par le trophée

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Revenus de loin pour s'imposer à Lorient (2-4 a.p) et arracher leur billet pour la finale de la Coupe de la Ligue, les Lyonnais savourent. Ils ont peiné face à des Merlus plus vifs et comptaient deux buts de retard mais, comme le souligne Rémi Garde, ont su faire preuve d'un solide mental.

Le 14 avril prochain, l'OL aura l'occasion d'ajouter une ligne à son palmarès. Les joueurs de Rémi Garde disputeront la finale de la Coupe de la Ligue et devront se montrer à la hauteur de l'événement après avoir largement peiné en demi-finale contre Lorient (2-4 a.p). "On a souffert mais il le faut pour atteindre une finale. Les joueurs sont allés chercher au fond de leurs tripes ce qu'il fallait pour se qualifier. Et on fera tout pour aller au bout", assurait Rémi Garde après une rencontre très disputée que son équipe a remportée en allant puiser dans ses ressources comme les grandes équipes savent le faire.

Sur la pelouse du Moustoir, l'OL a pourtant longtemps offert le visage d'une formation coupée en deux et dépassée par la volonté et la vivacité des Bretons. Si les attaquants rhodaniens se sont parfois montrés dangereux, ils ont manqué de précision tandis que la défense semblait trop lourde pour résister aux incessants assauts des Merlus. "C'était un vrai match de Coupe, un match très ouvert. On a connu des émotions difficiles d'abord puis de joie, reconnaît Garde qui, grâce à ses remplacements, a su redonner un coup de fouet à une équipe menée 2-0 à l'approche des dix dernières minutes. On a encore réagi dans la difficulté, mais mes joueurs ont un état d'esprit irréprochable".

"Au physique, au mental"

L'entraîneur a pris ses responsabilités en lançant Grenier et Briand (76e) et ses joueurs ont vite suivi. Le premier a redonné du liant entre les lignes et le second a signé l'égalisation au bout du temps additionnel. "Le but formidable de Lacazette (2-1, 80e) nous a redonné espoir, poursuit le technicien des Gones. On a eu la chance, la force d'aller chercher la prolongation, durant laquelle, on a plus posé notre jeu. On est passé au physique, au mental. Le groupe a des ressorts mentaux phénoménaux".

Finalistes malheureux en 2007 (défaite 1-0 devant Bordeaux), les joueurs de l'OL voulaient retrouver le Stade de France. Le président Aulas, lui, peut savourer : ses hommes restent en course dans quatre compétitions. "J’ai en tête cette première victoire en coupe de la Ligue en 2001 qui nous avait permis de lancer une histoire qui a été formidable", confie JMA sur le site du club après un match à émotions. "Notre équipe a montré qu'elle avait des valeurs morales et de l'expérience. Nous avons été collectifs, courageux et nous avons aussi eu un peu de réussite. Demain, quand on se réveillera, les yeux seront un peu tirés mais le coeur au plus haut".

Jld25 a écrit:

Bah la finale oki la gagner he ho faut pas rever hein, et dire que cette coupe est devenue un enorme trophée grace au doublé de l'om comme quoi le prestige hein , bon les filles dimanche soir

rien pour ce match , j ai changé mes horaires de travail je deteste bossais de jour mais la , c est pour la bonne cause mdr

tu parles de ce soir ou dimanche?

dimanche soir