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Ancelotti strict sur la langue française

Le nouvel entraîneur du Paris Saint-Germain, Carlo Ancelotti, estime que tout le monde au sein du club de la capitale doit parler français. C'est pour cela qu'un professeur accompagne les Franciliens dans le vestiaire.

"Nous sommes en France. Nous devons tous parler le français. Nous avons un professeur qui vient nous donner des cours. Que ce soient les joueurs, le staff ou l'encadrement, tout le monde doit étudier le français", a souligné le technicien italien selon RMC.

Pastore va donc devoir faire plus d'efforts...

Preuve d'intelligence et de respect de sa part ,quant aux argentins dans le foot ce sont des feignasses ,il n'y a qu'a voir lisandro ,lucho et heinze ,entre 2 et 5 ans en france et incapables de parler en français en public , mais bon c'est de la faute a leurs dirigeants ,si je filais entre trois et cinq cent mille euro par mois a un employé je peux te dire qu'il le parlerait le français . Et puis c'est surtout un état d'esprit et d’éducation ,voir sirigu et lugano a paris ,wilkinson au rugby a toulon ou bien d'autres
.Pastore un coup de pied au cul lui ferait du bien, aussi bien pour apprendre la langue que pour lever la tête sur le terrain que pour arrêter de râler pour rien et faire des efforts constants ,le talent n'excuse pas tout même en période ou tout sourit...

ahhh ben je ne sais pas le seul a le critiqué le patate

Je le critique tout en pensant que, si il a l'intelligence de gommer ces défauts et de jouer dans le sens du jeu ,et pour les autres,sans vouloir faire l'otarie pour épater la galerie ,il sera l'un des meilleurs au monde ,surtout avec un ancelotti pour le polir .....

autant dire que c est mort ...

pessimiste !!!!

Bah il est jeune, il apprendra vite avec ancelotti, on voit la patte du grand coatch.

par contre pour heinze tu es un peu dure car il parle bien francais et lucho a cesse les efforts l'année passée

Le plus criticable etant Jelen en france

Bon ca joue a paris ce soir?

pour le moment oui ,il prévoit -3/-5, ça change du -14 qu'il fait chez moi avec un bon petit vent qui nous fait des congères !!!!

pessimiste non ... on en fait tout un catacaisse de ce joueur mais pour moi il vaut pas son statue qu on affiche en france

Et tout a fait d'accord avec toi pour jelen ,pour heinze je ne suis peut etre pas objectif ,meme si je n'oublie pas ce qu'il a fait quand il etait au parc ,ses paroles puis ses actes m'ont déçus ....

en france et plus généralement ,on confond potentiel et réel statut !!!!

la je suis d accord avec toi ... mais bon vu que tout nos meilleurs se casse ...avoir un mec qui etait en L2 italienne il y a deux ans ...on le considere comme une star

giroud aussi etait en L2 ...sow jouait remplaçant avec rennes .... 1 bonne saison et hop 10 ou 15 patates ,remarque les plus cons c'est ceux qui achetent a ce prix là des joueurs qui n'ont qu'une grosse saison dans les pattes...

ouep et la on est champion du monde a l'om

y'a rennes aussi ,remember severino lucas et turdo !!!!

bah 40M hein ma foie pour ce prix , tu peux avoir 2-3 tres bon joueur

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Thiago Motta a plutôt réussi sa première sous le maillot du PSG. Malgré un gros trou noir en fin de première période, qui a amené un but et aurait pu lui valoir une expulsion, le Brésilien recruté à l'Inter a donné un aperçu alléchant de sa palette. Déjà au coeur du système Ancelotti. Reportage.

A l'annonce de son nom, le Parc s'est mis à vibrer. Un signe annonciateur de l'attente que Thiago Motta suscite déjà. L'Italo-Brésilien, avant même le coup d'envoi du match face à Evian Thonon-Gaillard (3-1), était chez lui. Il a fini la rencontre conforté dans l'idée qu'il pouvait faire valoir ses qualités en L1. A peine arrivé, il se positionne déjà comme un pion essentiel de l'entrejeu parisien après une partition très solide. "Motta a été bon, a confirmé Ancelotti après la rencontre. Il a joué avec confiance et personnalité. Mais c'était son premier match dans une nouvelle équipe avec de nouveaux partenaires." Sous-entendu : il fera mieux. Ses stats enseignent déjà sur son gros volume de jeu : 98 ballons joués, 20 récupérés et 82 passes réussies.

L'ancien Intériste, 29 ans, quatrième et dernière recrue parisienne du mercato hivernal, s'est tranquillement positionné aux côtés de ses nouveaux équipiers. Pour sa première titularisation, Carlo Ancelotti avait décidé de l'aligner au centre de son trio de milieu défensif. Légèrement en retrait de Mohamed Sissoko, à droite, et Mathieu Bodmer, à gauche. En sentinelle devant la défense. Appliqué, l'international italien a d'abord cherché à relancer avec Maxwell, à gauche. Son penchant naturel. Il a ensuite multiplié les relances avec Jérémy Ménez (15e), Nene ou Mathieu Bodmer. A l'aise techniquement, il a aussi régalé comme ce coup du sombrero réussi à la suite d'un contrôle parfait (16e). Au fil des minutes, l'ancien intériste a démontré toute l'étendue de sa palette, délivrant quelques passes bien senties pour ses milieux offensifs. Sa vision du jeu - toujours à la recherche d'une solution avant même d'avoir touché le ballon - a été précieuse dans l'entrejeu parisien.

Le carton puis le ballon perdu : deux accidents

Un bon début de match toutefois entaché par une fin de première mi-temps catastrophique. Averti d'un carton jaune à la 38e minute pour une semelle sur Olivier Sorlin, Thiago Motta aurait pu (dû ?) être expulsé. Quelques minutes plus tard, lancé dans un une-deux côté droit, il a perdu le ballon qui a provoqué le corner et l'ouverture du score haut-savoyarde (45e). Une erreur qui n'a pas déconcentré le milieu de terrain.

Au retour des vestiaires, Thiago Motta a continué à jouer proprement, gagnant notamment quelques duels chauds devant la surface de réparation. Il n'a pas non plus hésité à venir dire sa vision des choses à plusieurs reprises à ses adversaires lorsqu'une décision de l'arbitre était contestée. A l'arrivée, le N.28 parisien a signé une performance solide pour une première. Une performance digne d'un renfort de poids pour le PSG. Reste désormais à confirmer dans la durée. Mais Carlo Ancelotti a déjà toutes les raisons d'être satisfait de sa recrue.

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Luyindula pense à arrêter
Ecarté du groupe professionnel par le PSG depuis le mois d'août, Peguy Luyindula n'exclut pas de mettre un terme à sa carrière.

"J'ai envie de jouer et je vais me battre, assure l'attaquant de 32 ans dans L'Equipe, qui a porté plainte contre son employeur devant les Prud'hommes pour harcèlement moral. Si les clubs restent sur la lettre que Blanc (Jean-Claude, le directeur général délégué du club parisien) a envoyée à tous les présidents de L1 et de L2 à mon sujet, ce sera fatalement la fin de ma carrière."

Luyindula, qui réclame la résiliation de son contrat et 6 millions d'euros de dommages et intérêts au club parisien, confime pourtant avoir bien été contacté par l'AJ Auxerre pendant le mercato hivernal. "Oui, Laurent (Fournier, l'entraîneur de l'AJA) m'a appelé. Je lui ai dit que j'étais prêt à venir. Mais qu'il fallait voir avec le PSG. Et depuis, plus rien..."

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Acheter français, c'est dans le programme du PSG
Il l'a promis, Carlo Ancelotti : le PSG veut bien recruter français. Vu son mercato d'hiver (Motta, Alex, Maxwell), la Ligue 1 pourrait en douter. Elle attend de voir. L'été prochain, peut-être... Si l'espace laissé à Gameiro et Matuidi, recrutés il y a six mois pour 19 millions d'euros cumulés, ne refroidit ni le club ni les candidats au départ. Depuis le rachat du PSG par QSI, le discours dominant consiste à dire que cette acquisition "est une bonne chose pour la Ligue 1". On comprend l'idée : même si cela reste à démontrer, la "logique" voudrait qu'un club qui a pour ambition de se hisser au sommet de l'Europe tire le niveau général vers le haut. Espérons. Car au rythme ou tout cela évolue, un risque existe dont pas grand monde ne parle : celui de l'hégémonie dictatoriale par écart de niveau. Elle a été possible avec l'OL des grandes années au coeur des années 2000 (1). Pourquoi ne le serait-elle pas avec un PSG aux moyens faramineux ? Elle existe bien en Espagne avec un monstre à deux têtes.

A ce jour, il manque un maillon à la chaîne pour que le raisonnement d'un cercle vertueux tienne la route : que les colossaux moyens financiers de QSI soient réinjectés dans le circuit économique de la L1 et correctement utilisés. A ce jour la première condition n'est pas remplie. Pour la seconde, il faut faire confiance à l'avenir.

De Tavernost, premier protestataire officiel

Longtemps, les clubs français n'ont réussi à équilibrer leur budget qu'en revendant cher - à Lyon ou à l'étranger - des joueurs formés au centre ou éclos dans leur équipe première. Un jour la crise est arrivée et a tari cette source, mettant à mal des modèles basés sur des droits télés importants (mais non totalement sécurisés pour les quatre ans à venir) et des recettes alternatives trop marginales. Nous voici donc à l'ère des déficits quasi chroniques (130 millions d'euros en 2009, 64 en 2010), quasi généralisés (2), et sans vrai perspective avant l'Euro 2016, perçu comme l'horizon qui pourra changer la donne, avec les potentialités économiques des nouveaux stades. Pour tenir jusque là, la L1 a aperçu un bienfaiteur : le PSG. Mais celui-ci sort pour l'instant le chéquier pour les guichets d'à côté. Car si le PSG a concentré sur lui 35% de l'activité de janvier sur le marché français, il a versé ses 20 millions à Barcelone, à l'Inter et à Chelsea. Aucun euro à des clubs français. C'est dans ce contexte qu'est venu le premier tacle glissé, signé Nicolas de Tavernost, patron de M6 et de Bordeaux : "Le rachat du PSG est une mauvaise affaire pour les autres grands clubs français parce qu’il leur enlève toute rationalité économique."

Le mercato fébrile des trois premiers de la L1

Si quelques clubs, comme le sien, ont joué comme ils l'ont pu la carte mercato en cherchant à renforcer leur équipe, la lecture des stratégies des trois premiers du classement de la saison dernière dresse il est vrai un panorama moins reluisant de la réalité économique du moment. Les porte-drapeaux de la L1 sur le plan européen ont détourné l'objet initial de la période hivernale des transferts. Sacrifiant l'intérêt sportif, ils sont sont précipité sur les opportunités d'économies comme on se jette sur les deuxièmes démarques des soldes. L'OM en a été un symbole : un renfort "gratis" sur lequel le club a dû se défendre d'immoralité (Brandao), et un départ en catastrophe d'un joueur majeur pour faire baisser la masse salariale (Lucho).

Lyon, de son côté, a appliqué la stricte politique d'austérité à laquelle il est contraint jusqu'au 30 juin en ne recrutant pas malgré son souhait de dénicher un défenseur. L'aurait-il fait s'il avait trouvé preneur pour l'un de ses joueurs bankables? Peu probable. Quant à Lille, qui vit toujours sa vie de club ambitieux au-dessus de ses moyens en attendant son stade, il a réussi à faire passer le départ du meilleur buteur de la saison dernière (Sow) comme un ajustement tranquille. Bel effort, même si l'échange de communiqués qui a suivi montre une chose: que les éléments de pur business qui ont conduit le joueur à partir et le club à le céder ne sont pas faciles à assumer.

A tout cela, le PSG ne peut rien. Avec le reste de la L1, c'est peut-être un jeu de poker menteur qu'il a engagé pour les prochains marchés des transferts, car si les Qataris sont riches, il n'ont pas dans l'idée de multiplier les jurisprudences Pastore. Or, si le club de la capitale, sur le papier, n'a pas à se sentir dépositaire des futurs comptes d'exploitation de ses rivaux, le mercato lui a aussi envoyé un message : Paris a du pétrole, il a des dollars, il a des idées, mais il évolue dans un Championnat trop peu désirable pour les joueurs qu'il convoite. Sur notre antenne, Hatem Ben Arfa a expliqué que si une offre lui provenait du championnat suisse, cela lui ferait le même effet qu'un Tevez auquel on propose de venir en L1. QSI a peut-être sous-estimé ce risque, partiellement amorti par le recrutement de Carlo Ancelotti. Les pronostics sont ouverts : si par exemple le PSG injecte 120 millions d'euros dans le prochain marché pour attirer Hazard (Lille), Lisandro (Lyon), Valbuena ou Mbia (Marseille), Martin (Sochaux) et M'Vila (Rennes), aura-t-il renforcé ses adversaires ou les aura-t-il affaiblis ? Vivement juin.

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Le PSG déjà en quête d’un remplaçant pour Douchez ?
Nicolas Douchez ayant annoncé son départ en fin de saison, le Paris SG va devoir trouver un nouveau n° 2. Et c'est du côté de Palerme que se tournent tous les regards.

« Après, en fin de saison, il y aura certainement des propositions et étant donné que je serai libre, on va voir ce qui s’offre à moi. Je vais étudier ce qui est le mieux, savoir s’il faut partir ou pas ». Il y a quelques jours, Nicolas Douchez (31 ans) annonçait sur le site officiel du Stade Rennais qu’il songeait sérieusement à partir du Paris SG en fin de saison. On le comprend, au vu de son temps de jeu famélique (8 apparitions seulement entre Europa League et Coupe de la Ligue), lui qui venait dans la capitale pour se rapprocher du groupe France... Par conséquent, les Rouge-et-Bleu commencent à observer le marché pour trouver une doublure à l’impeccable Salvatore Sirigu.

Ou plutôt, la presse cite peu à peu des noms susceptibles d’endosser ce rôle. La Gazzetta dello Sport, sur la base des liens forts entre le club francilien et Palerme depuis les opérations Sirigu et Pastore l’été dernier, s’est demandé si son portier, Emiliano Viviano (26 ans), international italien (6 sélections) fraîchement arrivé en Sicile cet hiver après être passé cette saison par l’Inter Milan et le Genoa, pourrait être ce nouveau numéro 2. L’intéressé n’a pas esquivé la question "Aujourd’hui, voulez-vous rejoindre Paris ?".

« Non, je joue à Palerme et je suis très heureux. (...) Je suis content pour Sirigu : entre nous, il y a une rivalité saine, mais aussi une grande amitié. Je ne suis pas du tout envieux », a-t-il affirmé, tuant ainsi tout suspense. Mais si Emiliano Viviano ne sera donc visiblement pas le futur deuxième portier du PSG, il n’empêche qu’il s’agit d’un dossier sur lequel Leonardo et Carlo Ancelotti vont sérieusement devoir plancher d’ici cet été. Nicolas Douchez les a prévenus !

le pauvre Douchez comment il s est fait niqué quand meme

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Luyindula va reprendre
Le conflit entre le PSG et son attaquant Peguy Luyindula sera jugé le 13 septembre par le conseil des prud'hommes de Paris, saisi par l'avocat du joueur après que la demande de conciliation mercredi a échoué.

"C'est conforme à ce que je pensais, a déclaré l'attaquant de 32 ans écarté du groupe professionnel depuis début août. Le club a eu beau déclarer publiquement que j'allais être libre, la vérité, c'est qu'il n'y a pas eu de conciliation. Ce n'est pas une surprise, c'est la suite logique de l'affaire".

Les deux parties ont été brièvement entendues et n'ayant pu se mettre d'accord sur le règlement du conflit, l'affaire sera donc jugée dans quelques mois.

Le PSG, représenté par son avocate Christine Ruault et une salariée de son service des ressources humaines, s'est refusé à "tout commentaire".

Depuis plusieurs semaines, Luyindula est en arrêt maladie et celui-ci prend fin lundi. "Je vais reprendre l'entraînement et voir comment ça se passe. Si j'étais arrêté c'est que je devais l'être. Si on me demande de jouer chez les pros, je jouerai chez les pros. Si on me demande de jouer en CFA, je jouerai en CFA".

Spoucknick00 a écrit:

le pauvre Douchez comment il s est fait niqué quand meme

nicker de quoi c'est le meilleur qui joue non,Sirigu lui est supérieur ,il s'est blessé au mauvais moment c'est tout .
Après a 120000 euros par mois + la prime a la signature qu'il a du prendre en arrivant libre ,y'a de quoi faire passer la pilule ,c'est la concurrence si il voulait être sur de jouer il lui fallait rester a rennes.
c'est toujours le même problème avec les footeux ,tu signes dans un club avec un groupe de 25 joueurs et le mec il s’étonne si il joue pas ,mis a part de rares exceptions un coach fait jouer les meilleurs ,si t'as un gars super fort tu n'as aucun intérêt a le laisser sur le banc ,enfin c'est mon avis !!!!

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Kevin Gameiro dresse "un bilan moyen" de ses sept premiers mois au PSG. L'attaquant international estime qu'il "aurait pu marquer plus". Dans un environnement "plus sévère" qu'à Lorient, il est "en train d'apprendre".

Son rendement satisferait plus d'un avant-centre. Pas Kevin Gameiro. Depuis son arrivée dans la capitale, l'attaquant international a inscrit 13 buts en 31 matches sous le maillot parisien. "Un bilan moyen", dixit l'intéressé, qui affirme pouvoir faire mieux. Beaucoup mieux. "Je n'ai pas vraiment été au 'top-top'. Il y a des matches où j'aurais pu marquer plus, a reconnu Gameiro mercredi, en conférence de presse. Je viens d'arriver et à Paris ce n'est pas toujours évident."

En quittant Lorient pour le PSG, le natif de Senlis a changé d'environnement. De dimension. Et il lui faut s'adapter, trouver ses repères. "Je suis en train d'apprendre, c'est comme ça qu'on passe des paliers. C'est ma première saison au PSG. Je commence à connaître le club, l'équipe et les journalistes aussi. Je suis dans ma bulle, je continue à travailler. On n'est pas toujours en haut, il y a des moments plus difficiles. Il faut savoir les gérer et montrer qu'on est fort mentalement."

"Pour moi, le mieux, c'est avec deux attaquants"

En Bretagne, Gameiro évoluait dans un cocon. Ses prestations n'étaient pas autant scrutées. "Si je marquais un but et que je faisais un mauvais match, j'avais quand même une bonne note et j'étais le meilleur du monde." A Paris, la pression est autrement plus forte. Ses moindres faits et gestes sont guettés, épiés. "Ici, c'est plus sévère, note-t-il. Mais je ne regrette pas mon choix, je suis très bien à Paris. Je suis quand même à dix buts (en Ligue 1), ce n'est pas rien."


Sauf que ses dirigeants en attendent davantage. Voilà pourquoi ils se sont mis en quête d'un renfort offensif durant le mercato hivernal. "Ils m'ont dit qu'ils cherchaient un attaquant, mais pas forcément pour me remplacer, relativise Gameiro. Finalement, personne n'est arrivé et nous sommes deux." Mevlut Erding ayant quitté le navire parisien, Guillaume Hoarau est aujourd'hui la seule véritable alternative en pointe.

Pour l'heure, Gameiro semble avoir une longueur d'avance sur l'ancien Havrais. "Si je dois être remplaçant, ça ne sera pas la fin du monde, coupe l'ex-Strasbourgeois. La place, elle se gagne à l'entraînement. Je ne veux pas dire que je suis l'attaquant N.1 vis à vis de Guillaume. Je dis qu'on est deux très bons attaquants." Qui pourraient cohabiter si Carlo Ancelotti délaissait son fameux "arbre de Noël", où Gameiro paraît plus isolé que dans le 4-4-2 lorientais. "Pour moi, le mieux, c'est avec deux attaquants. J'ai toujours eu cette habitude, on ne se focalise pas sur moi, ça libère des espaces. Là, les défenseurs font plus attention à moi. Je peux faire encore des progrès devant le but, et aussi dos au but, ce n'est pas ma qualité." A 24 ans, il a de beaux jours devant lui.

Le problème n'est pas de savoir qui veut être n°2 au PSG (car vu le salaire que le club peut proposer, on peut cirer le banc, moi je veux bien le faire).

La vraie question est : quel gardien étranger veut être n°2 en L1 !!! (bah oué, jouer contre des marseillais sans électricité, ça fait pas rêver )