je poste ce sujet et j'essaierai tout les jours(ce qui es presque impossible) de le mettre a jour je posterai la tactique pour gagner tous les match de la coupe du monde 2011 quand j'aurai Lfp 2011 c'est a dire d'ici 2jours
voici les joueurs algérien:


Sélectionneur Abdelhak Benchikha
N° Nom Date de naissance Sélections (buts) Club
Gardiens de but
1 Raïs M'Bolhi 25 avril 1986 (24 ans) 7 (0) Krylia Sovetov Samara
23 Cédric Si Mohamed 9 janvier 1985 (26 ans) 0 (0) JSM Béjaïa
Défenseurs
2 Madjid Bougherra 7 octobre 1982 (28 ans) 47 (3) Glasgow Rangers
3 Nadir Belhadj 18 juin 1982 (28 ans) 51 (4) Al-Sadd SC
4 Antar Yahia 21 mars 1982 (28 ans) 49 (5) VfL Bochum
5 Mehdi Mostefa 30 août 1983 (27 ans) 1 (0) Nîmes Olympique
6 Carl Medjani 15 mai 1985 (25 ans) 4 (0) AC Ajaccio
Ismaël Bouzid 21 juillet 1983 (27 ans) 7 (0) Heart of Midlothian FC
Djamel Mesbah 9 octobre 1984 (26 ans) 5 (0) US Lecce
Milieux
7 Ryad Boudebouz 19 février 1990 (20 ans) 6 (0) FC Sochaux
8 Medhi Lacen 5 février 1984 (27 ans) 8 (0) Racing Santander
15 Karim Ziani 17 août 1982 (28 ans) 60 (5) Kayserispor
17 Chadli Amri 14 décembre 1984 (26 ans) 10 (0) 1. FC Kaiserslautern
19 Hassan Yebda 14 mai 1984 (26 ans) 15 (0) SSC Napoli
20 Walid Mesloub 4 septembre 1985 (25 ans) 1 (0) Le Havre AC
22 Djamel Abdoun 14 février 1986 (24 ans) 11 (0) AO Kavala
Attaquants
9 Karim Benyamina 18 décembre 1981 (29 ans) 1 (0) 1. FC Union Berlin
11 Rafik Djebbour 8 mars 1984 (26 ans) 21 (4) Olympiakos Le Pirée
13 Karim Matmour 25 juin 1985 (25 ans) 26 (2) Borussia Mönchengladbach

voila ce que dit boudebouz
[quote]
De sa patte gauche, Ryad Boudebouz, a balayé les interrogations sur sa faculté à réagir après sa mise à l’écart par Francis Gillot. Contre Rennes et Nice, le jeune international algérien a démontré qu’il est redevenu ce qu’il était : un atout pour le FC Sochaux. Il s’en est expliqué sur lepays.fr.

Ryad Boudebouz va souffler ses 20 ans dans dix jours avec déjà près de 80 matches en Ligue 1 au compteur, un statut d’international et une participation à une Coupe du monde. Si cela ne suffit pas à laisser penser que le gaillard a du talent, alors… Mais bon, le football d’aujourd’hui s’avère exigeant, sans concession. Vite porté aux nues, le jeune footballeur ne peut s’enflammer. En cas de panne sèche, de coup de mou, la vox populi ne lui fait pas de cadeau. Ryad Boudebouz a certainement beaucoup appris ces dernières semaines, notamment que ses 19 ans ne constituaient pas une armure, une protection, que son nouveau statut générait une certaine exigence dans son comportement, ses performances sur l’aire de jeu. Un passage en CFA aura donc appuyé les reproches, et finalement, si l’on considère les deux dernières prestations du jeune algérien, il a réussi à provoquer une réaction saine et forcément bénéfique. «Ma meilleure réaction, c’était de prouver sur le terrain que je pouvais revenir et que j’avais ma place dans l’équipe», dit-il.

«Gillot m’a envoyé en CFA pour mon bien»
Le petit gaucher algérien n’a pas critiqué la décision de son coach de le mettre avec la réserve de l’équipe. Au contraire, il s’est conduit en vrai professionnel. «Si le coach m’a mis en CFA, c’est par rapport à mes performances. Pour mon bien. Pour me faire réagir. Je me suis donc posé des questions. J’espère que ce sont les bonnes. Physiquement, c’est dur d’enchaîner tous les matches. A un moment donné, j’étais trop fatigué et quand c’est le cas, sur le terrain on ne fait pas les bonnes choses. Quand on doit faire la passe, on dribble, même si on en a parlé avec le groupe, si individuellement on n’a pas la tête à faire les choses, on peut parler pendant des heures…?», dira-t-il.

«Quand on m’insulte lors d’un match, j’entends, mais je n’écoute pas»
Contre Rennes et Nice, Ryad Boudebouz a montré une louable réaction. A propos de ses deux rencontres, il dira : «Ma prestation à Nice n’a servi à rien, puisque nous avons perdu. Je pense qu’on ne méritait vraiment pas de perdre ce match, puisque à dix, nous avons dominé la deuxième mi-temps. Il faut dire que l’arbitrage y était pour beaucoup aussi. Il faut reconnaître tout de même que l’expulsion de Kevin nous a joué un mauvais tour. Kevin est quelqu’un de très nerveux. Je le connais très bien. C’est facile de lui faire péter un câble en l’insultant. Moi, qui me fais insulter presque à chaque match, je ne réponds pas de la même manière. Il y a des joueurs qui ne sont bons qu’à cela, provoquer et insulter. Il ne faut pas s’énerver, mais jouer. La meilleure réponse, c’est toujours sur le terrain. En jouant, en marquant. Après tu peux aller voir celui qui t’a insulté et te foutre de lui. Avec l’équipe nationale contre le Gabon et la Tanzanie, nous avons été beaucoup provoqués. Cependant, si moi on m’insulte, j’entends, mais je n’écoute pas.»

«On finira en haut du tableau. On commencera par battre l’OM…»
Sochaux pointe à la 12e place du tableau. Elle aurait pu faire mieux. Ryad est tout à fait d’accord avec ça. «On gère mal nos matches à l’extérieur, parce qu’on manque de confiance. Ce que je dis aux attaquants ? Faites comme si nous étions chez nous. Mais souvent à l’extérieur, c’est une fois que nous avons pris un but, ou qu’un événement contraire se produit, que nous commençons à jouer. On va terminer dans la première partie du tableau cette saison. On sait déjà qu’on peut aller chercher plus haut. Mais tout se jouera sur des petits détails, comme on l’a vu à Monaco, à Nancy, à Rennes, à Nice…», expliqua Boudebouz. La venue de Marseille reste toujours un grand moment de la saison à Bonal, le stade sera certainement plein à craquer. A ce sujet, l’Algérien a un avis bien particulier. «Jouer Marseille, c’est excitant. Sauf que là, les gens viennent à Bonal pour l’OM. La seule fois où le stade est plein, c’est pour Marseille. J’ai envie de leur dire d’aller là-bas au Vélodrome, mais pas de venir voir les Marseillais et les soutenir ici. Si les gens viennent chaque semaine à Bonal nous soutenir et que tout le stade chante comme à Nice, je vous avoue que ça aide vraiment une équipe. Nous avons besoin de quatre succès pour être sauvés. J’espère déjà que nous allons prendre les trois points ce week-end contre l’OM qui, il faut le dire, n’est plus l’OM de la saison dernière. Nyang et Ben Arfa sont partis. Et Valbuena, qui reste un joueur important, est blessé. Si on joue à notre vrai niveau, on les battra», conclura Boudebouz.

un petit sondage quel joueur algérien préferait vous(je mettrai les résultat demain):

aucun

bon bah sa c dit

28-12:Alger-La sélection algérienne A' des joueurs locaux affrontera son homologue tchadienne mardi à 15h30 au stade du 20 août (Alger), en match amical, en vue de la 2e édition du championnat d'Afrique des Nations CHAN-2011, prévue au Soudan du 5 au 24 février. En prévision de cette rencontre amicale, l'équipe algérienne dirigée par Abdelhak Benchikha a entamé samedi un regroupement à Alger qui se poursuivra jusqu'à mercredi. Les partenaires de Hocine Metref ont effectué dimanche sur la pelouse du stade de la protection civile de Dar el Beida (Alger), leur avant dernière séance d'entraînement avant le match de mardi face au Tchad, les Hadj Aissa Djabou , Lammouchia , et cie doivent bien montrer leur disposition afin d'asprirer à une place chez les A, surtout que les spécialistes mettent l'EN d'Algérie comme un des grands favoris de ce Chan 2011

0-0 entre l'algérie et le soudan
http://algerie-football.net/EN_Chan2011/Soudan_Algerie.php

Citation :

Comment se déroule la préparation pour ce match face à l'Afrique du Sud ?
La préparation se déroule dans de bonnes conditions. Comme vous le constatez, on se prépare dans une très bonne ambiance en prévision du match face à l'Afrique du Sud. On veut aller le plus loin possible dans ce tournoi.
Vous avez sans doute suivi la rencontre face au Zimbabwe, qu'avez-vous remarqué de particulier ?
L'Afrique du Sud est une très bonne équipe qui a montré de belles choses lors de ce premier tour. La preuve, elle a remporté ses trois matchs. On a constaté qu'elle possède une ligne d'attaque très dangereuse qui peut nous créer des problèmes. C’est pourquoi nos défenseurs doivent être très vigilants. Par contre, ils ont une défense très prenable.
Vous allez jouer au stade Khartoum, un avantage pour vous, non ?
Je peux dire que c’est un atout pour nous. On a disputé nos trois matchs sur ce terrain et nous nous entraînons toujours là-bas. Je pense, toutefois, que les joueurs sud-africains ne seront pas handicapés car ils ont déjà évolué sur la pelouse du stade de Wad Madany, qui est, faut-il le préciser, dans un état catastrophique.
Vous avez aussi un autre avantage, celui d’avoir bénéficié d'une journée de repos supplémentaire. Qu’en pensez-vous ?
Cette journée de repos peut être un avantage au cas où on irait aux prolongations. Néanmoins, il faut savoir que les Sud-Africains ont bénéficié, de leur côté, de cinq jours de repos. Cela peut constituer aussi un avantage pour eux.
Etes-vous optimiste pour réaliser un bon résultat ?
Evidemment. On veut à tout prix se qualifier pour le prochain tour. Comme je vous l'ai dit, on veut aller le plus loin possible dans ce tournoi. On espère qu'on sera à la hauteur des espérances du peuple algérien qui croit toujours en nous et qui continue à nous faire confiance. Je ne vous cache pas, on veut brandir le trophée.
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Touché à une cheville
Bouazza stoppe l’entraînement
Le milieu de terrain des Verts, Fahem Bouazza, n’est pas allé au bout de la séance d’entraînement d’hier. Touché à une cheville lors d’un choc avec un coéquipier, il a dû quitter précipitamment le terrain pour recevoir les soins nécessaires. La suite de l’entraînement, c’est depuis le banc de touche qu’il a dû la suivre. A priori, le staff médical dit ne pas trop en faire cas. «Il devrait pouvoir reprendre dès demain», nous a révélé une source sûre hier soir. A vérifier.

Citation :

Invité par des dirigeants du football turcs pour assister à un match du championnat de ce pays, Adel Amrouche, le sélectionneur algérien du Burundi, a choisi de voir Fenerbahce-Kayserispor «parce que, dit-il, je voulais voir un Algérien sur le terrain.» L’Algérien en question, c’était bien entendu Karim Ziani qui est en train de renaître dans le championnat turc si l’on croit le technicien algérien formé en Belgique. «J’ai bien suivi l’évolution de Ziani et je peux vous dire qu’il a été de loin le meilleur homme sur le terrain malgré la défaite de son équipe. Certaines de ses actions ont même été applaudies par les supporters de Fenerbahce», raconte Amrouche qui pense que «sans la bourde du gardien de but de Kayserispor qui a dégagé le ballon dans les pieds d’un adversaire offrant ainsi le score à Fenerbahce, Kayserispor aurait pu réaliser un meilleur résultat.» En dépit de la défaite, Amrouche pense que Ziani a été l’homme du match. «Il a perdu en tout et pour tout deux ballons durant tout le match, il a offert un caviar à Zelayeta à la 5’, mais l’attaquant uruguayen a raté lamentablement, il a été derrière tous les bons coups de son équipe», a résumé le technicien algérien.

«Kayseri aura du mal à le conserver»
Adel Amrouche qui, le jour du match, a déjeuné avec l’ex-sélectionneur de la Turquie qui dirige actuellement Trabzonspor, le leader du championnat turc, sait qu’après seulement quelques matchs Ziani s’est déjà fait un nom en Turquie. «Si Kayserispor se qualifie en Coupe d’Europe, il peut conserver Ziani, sinon je peux vous dire que les meilleurs clubs turcs vont s’aligner dès la fin de saison pour l’avoir dans leurs rangs», nous a confié Amrouche qui avait déjà donné de bonnes références aux dirigeants de Kayserispor lorsque ces derniers ont commencé à s’intéresser au joueur algérien. «Ils savaient déjà que c’était un grand joueur, mais ne comprenaient pas pourquoi il ne jouait pas à Wolfsburg, je leur ai expliqué qu’il était tout simplement lésé là-bas et qu’avec son tempérament il allait rebondir. La Turquie, c’était la meilleure destination pour lui car ici on respire le football et la mentalité des gens n’est pas différente à la nôtre.»

«J’ai été émerveillé par son amour pour l’Algérie»
Après le match Fenerbahce– Kayserispor, Ziani, qui devait prendre le vol de 6h du matin pour rentrer à Kayseri avec ses coéquipiers, a passé deux bonnes heures avec Amrouche. «Dès qu’il a su qu’un entraîneur algérien était là, il est venu discuter, histoire de se retremper dans l’ambiance du pays», nous a raconté Amrouche. Que se sont-ils dit ? «La discussion a principalement tourné autour de l’Equipe nationale et du match face au Maroc et je peux vous assurer que j’ai été émerveillé par l’amour que porte Karim pour l’Algérie et l’équipe nationale au point où il ne conçoit même pas une élimination à la CAN. Pour lui, c’est clair, l’Algérie a un statut à défendre et doit jouer la prochaine CAN.»

Citation :

Les «petits» soucis se suivent mais ne se ressemblent pas pour Fahem Bouazza qui a dû, comme nous l’écrivions dans notre édition d’hier, stopper court l’entraînement après s’être tordu la cheville au cours d’un exercice. Le joueur a reçu les soins nécessaires sur place et semble être capable de reprendre l’entraînement, a assuré Benchikha, même si à l’heure où nous mettons sous presse aucune indication n’a été faite quant à sa disponibilité ou non pour le match. Nous y reviendrons.

Citation :

Comme nous l’avions déjà écrit ici, la séance d’entraînement de mercredi s’est déroulée à huis clos sur demande de Abdelhak Benchikha. Celui-ci avait expliqué hier que c’était par souci de se protéger d’éventuels espions, du moment qu’il s’était attelé à la mise en place, lors de ladite séance, de sa stratégie de jeu. La suspicion était telle qu’un simple vendeur à la sauvette qui trimballait un gros sac dans les tribunes a vite été pris pour un espion qui essayait de mal dissimuler sa caméra sous un gros sac noir. Illico, le service de sécurité a été averti, et le suspect arrêté. Après vérification, l’on découvre le pot aux roses ! Une dizaine de tongs que «l’intrus» transportait dans un sac. Mea culpa !

Citation :

Comment se déroule la préparation pour ce quart de finale face à l’Afrique du Sud (NDLR : entretien réalisé lundi) ?
Tout se passe bien. Les joueurs sont conscients de l’enjeu que représente cette rencontre et on compte tous se donner à fond pour passer au tour suivant. Comme je l’ai dit auparavant, notre objectif pour ce CHAN est d’aller le plus loin possible et pourquoi pas décrocher le sacre final. On dispose de moyens pour cela et avec l’abnégation de tout un chacun, on arrivera à faire honneur à l’Algérie et démontrer que le joueur local peut lui aussi surmonter tous les obstacles et être à la hauteur. En tout cas, il faudra compter sur nous.

Et comment se présente pour vous cette partie face aux Bafana Bafana ?
Je tiens à signaler que c’est un match ordinaire, qu’on abordera sans pression aucune. On entamera cette rencontre avec la conviction d’arracher la victoire, rien de plus. On veut à tout prix accéder aux demi-finale et j’espère qu’on finira par atteindre ce premier objectif. On s’est bien préparés en conséquence et on est bien décidés à réaliser un coup d’éclat ce vendredi.

Avez-vous une idée sur l’adversaire ?
Globalement, oui. On l’a vu à l’œuvre lors d’un match du premier tour et je dois dire qu’il recèle une force offensive assez impressionnante. L’Afrique du Sud s’est qualifiée pour ce quart de finale en gagnant tous ses matchs du tour précédent, et ce, face à des adversaires de gros calibre. Il faut donc qu’on reste prudents et en aucun cas sous-estimer cette équipe sud-africaine.

Leur défense reste prenable néanmoins...
Oui, on peut dire que le point faible des Sud-Africains demeure leur défense, qui reste prenable, à mon avis. On a étudié leur jeu, mais cela reste insuffisant. On doit être au rendez-vous et sortir le grand jeu si on veut vraiment passer en demies.

Leur puissance offensive ne vous fait-elle pas peur ?
Absolument pas. Nous aussi, on a des atouts à faire valoir. On ne pense qu’à la victoire et j’espère qu’on l’aura au final. Il faudra se serrer les coudes jusqu’au bout.

L’EN a-t-elle vraiment les moyens de passer en demies ?
Bien sûr qu’elle en a les moyens et sans que personne ne crie au scandale. Si on est là, c’est qu’on le mérite. Maintenant pour la rencontre de vendredi, ça sera du 50/50. Chaque formation aura sa chance et ce sera au plus méritant de passer au tour suivant. En tout cas, on compte tout faire pour sortir victorieux. On est confiants et on croit en nos capacités.

La rencontre se déroulera au stade de Khartoum, que vous connaissez très bien à présent. Un avantage, non ?
C’est clair que ça sera un avantage pour nous que d’évoluer encore une fois dans ce stade de Khartoum, qu’on connaît désormais assez bien. On a pris nos repères sur cette pelouse qui, faut-il le dire, nous a bien réussi jusque-là. Espérons que ça sera le cas pour ce quart de finale.

On vous laisse conclure…
J’espère qu’on réalisera un grand match et qu’on honorera bien comme il faut les couleurs nationales.

Citation :

Le milieu de terrain et international algérien du Racing de Santander, Medhi Lacen, a été dispensé de l’entraînement d’avant-hier. Lacen, qui a été souvent sollicité ces derniers temps en Liga espagnole, a écourté la séance de ce mercredi à cause d’une surcharge ressentie en pleine séance d’entraînement. Par ailleurs, Lacen, qui reste sur une série de productions époustouflantes avec son club, a repris, hier, le travail avec ses coéquipiers. Il ne souffre d’aucune blessure qui suscite l’inquiétude. Il sera même du groupe qui se rendra dimanche à Getafe.

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Test de vérité pour Medjani et Ajaccio
L’AC Ajaccio recevra ce soir le dauphin du championnat de Ligue 2 française, Evian Thonon Gaillard. Ce duel entre prétendants pour l’accession sera d’une grande importance pour les camarades de Carl Medjani qui restent sur un nul méritoire (2-2) ramené de Metz lundi passé. Décisif lors de la dernière sortie, Medjani, qui a marqué son deuxième but de la saison en la circonstance, devrait sans problème être reconduit dans l’équipe type du coach corse Olivier Pantaloni. A ce propos, l’Algérien d’Ajaccio affirme : «Ce bon match sorti contre Metz m’encourage à confirmer lors des prochaines rencontres. On est certes concernés par l’accession mais le championnat est encore long. Il faudra rester concentré et chercher la victoire face à Evian où il faudra glaner les trois points. C’est pour vous dire que ce duel est important.»

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Mesloub manquera au Havre contre Dijon
Le milieu de terrain et international algérien du Havre AC, Walid Mesloub, ne sera pas du déplacement ce vendredi avec son club à Dijon. Walid, qui avait écopé d’un carton rouge face à Clermont Foot 38, sera donc le grand absent, pour cause de suspension, côté havrais dans ce match important pour la montée en Ligue 1.

Citation :

De mal en pis après une série de mauvais résultats qui a eu comme effet d’enfoncer cette équipe de Nîmes Olympique dans les profondeurs du classement en championnat de Ligue 2, les camarades de Mostefa Mehdi et de Zarabi iront défier le SCO d’Angers, ce vendredi. Totalisant 27 points, les Nîmois, qui ne possèdent plus que trois points d’avance sur le premier relégable, n’ont plus le droit à l’erreur.

Bezzaz et Troyes en appel à Tours
Après avoir réalisé l’essentiel en parvenant à prendre les trois points du derby disputé contre les voisins de Reims, l’ESTAC se rendra ce vendredi à Tours. Une équipe difficile à jouer sur son terrain. La participation de l’Algérien de Troyes, Yacine Bezzaz, qui a raté la dernière sortie de son équipe, dépendra du coach troyens, Jean Marc Furlan.

Citation :

Interviewé par un média marocain, le nouveau milieu de terrain de l’Inter Milan, Houcine Kharja, s’est exprimé sur le tant attendu derby qui mettra aux prises les Lions de l’Atlas avec l’Algérie, le 27 mars prochain. Un match qu’il qualifie de très important pour la suite du parcours dans ces éliminatoires de la CAN 2012. L’ancien joueur de Sienne demeure malgré tout confiant en les capacités du Maroc de revenir d’Annaba avec un bon résultat : «Il est clair qu’au niveau de l’Equipe nationale, on pense déjà à ce match face à l’Algérie. On a eu l’occasion de disputer ce match amical contre le Niger pour travailler ensemble et préparer dans la sérénité cette rencontre officielle. Tout le groupe est conscient de l’importance et de l’enjeu de ce match, et vu l’homogénéité et l’entente que vous avez pu constater, je pourrais dire que le moral est au top, et qu’on sera au rendez-vous pour rendre le sourire à notre public.»

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Les Sud-Africains provoquent les Algériens
Le premier contact entre Algériens et Sud-Africains a viré aux heurts. Il n’y pas eu d’altercation proprement dite, mais de la provocation. En effet, l’arrivée des Verts, hier, au stade de Khartoum, à 17h45, a coïncidé avec la sortie des Bafana Bafana. Les deux équipes se sont croisées dans le large corridor qui donne sur la pelouse. Djabbou, qui traînait un peu le pas derrière, a été sérieusement bousculé par un joueur sud-africain. «Il m’a mis son coude en plein thorax», s’est plaint le Sétifien, juste après, à son entraîneur. Sur le coup, Djabou pensait à un acte isolé, mais il se trouve que d’autres joueurs ont été aussi légèrement bousculés par les Sud-Africains qui cherchaient, on l’aura compris, à les intimider. Ceux-ci cherchent sans doute à jouer sur les nerfs des Verts, à la veille du match. Benchikha n’a pas voulu en faire cas, ayant compris le but recherché par leur adversaire de ce soir. Pour détendre un peu l’atmosphère, il a lancé une boutade à Djabou en lui disant qu’il s’en sont pris à lui spécialement parce qu’il ne paye pas de mine. Ceci a fait sourire Djabou. Il faut dire que cet incident ne s’est pas du tout déteint sur l’atmosphère durant cet entraînement. Il a régné, en effet, une bonne ambiance à l’entraînement

Citation :

Jeudi 17 février, 10h15. Au Coral - Khartoum, les Verts prenaient encore tranquillement leur petit déjeuner. Abdelhak Benchikha, qui nous avait donné rendez-vous à10h30, pour un point de presse, a pris, cette fois, tout son temps pour siroter son café au lait matinal tout en taillant une bavette avec ses assistants. L’heure c’est l’heure, voulait-il sans doute dire en attendant que la pendule indique 10h30 avant de venir nous rejoindre dans le hall de l’hôtel. Bout de papier, Benchikha avait cette fois des choses à dire, et c’est donc naturellement que lui a échu le rôle d’ouvrir le point de presse par mettre les choses au clair avec la presse, car sans doute voulait-il aplanir les différends qui pouvaient subsister, une bonne fois pour toutes. «Qu’on soit bien d’accord, les gars, il n’a jamais été question de fermer les portes pour vous empêcher de travailler. C’était plus par souci de garder une certaine intimité, ou si vous voulez, éviter d’être espionnés. Hier, on a fait le match, voilà. Il a été question de mettre en place le dispositif technico-tactique, de travailler des combinaisons et tout. Il fallait donc un minimum de concentration et d’intimité pour le faire. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé d’instaurer le huis clos. Voilà pour ce qui en est de cette décision. Je ne veux pas qu’il y ait de malentendu. Je le dis de bon cœur», a-t-il tenu à clarifier avant d’entrer dans le vif du sujet et disserter sur ce quart de finale face à l’Afrique du Sud. Un match qu’il dit important, non seulement, pour son caractère à élimination directe, mais aussi pour l’ambition que cela requiert d’atteindre les demi-finales, l’objectif initialement assigné à cette équipe avant le début du tournoi. «C’est un match très important. Spécial, si l’on veut, car il est à élimination directe. Hier, on a terminé le micro cycle de la préparation du match. Il y a eu la mise en place tactique. Les balles arrêtées, les différentes combinaisons. Hier, on a essayé de récréer les conditions du match, voilà. Je suis assez satisfait de la préparation effectuée jusqu’à maintenant. Il nous reste encore une séance au cours de laquelle on tâchera d’apporter encore des réajustements, mais, en gros, notre objectif de la semaine a été atteint. Place au match maintenant !»

« L’adversaire, un gros morceau »
Une certitude. Vous n’entendrez jamais un entraîneur vous dire à la veille d’un match qu’il aura affaire à un adversaire coriace. Bon, en ce qui concerne l’Afrique du Sud, Benchikha pense sérieusement qu’il aura affaire à un gros morceau. C’est le mot qu’il avait employé pour qualifier son adversaire en quart de finale du CHAN. «L’adversaire, c’est un gros morceau. On a eu le loisir de revoir hier ses matches. C’est vrai qu’il parait coriace. On a essayé de bien décortiquer son jeu. Rien n’a été laissé au hasard. On en a discuté. J’ai donné la liberté aux joueurs de disserter sur cette équipe. Je voulais avoir l’avis de tout un chacun en fonction de la lecture qu’il avait faite du match et de l’adversaire. Tous m’ont exposé leur point de vue et je suis sorti avec la conviction que nous partageons les mêmes idées et les mêmes convictions.»

«Pour gagner en 90’, il faut être prêt à en jouer 120’»
Abdelhak Benchikha ne laisse rien au hasard, comme il a tenu à le dire. A la préparation physique et technico-tactique s’était ajoutée la préparation psychologique. C’est sur ce point justement que le sélectionneur a beaucoup insisté. Pour gagner un match aussi décisif, il faut être costaud mentalement. L’idée de voir le match s’étaler sur 120’ est envisagée et Benchikha veut justement préparer ses joueurs à jouer les prolongations si jamais ils ne parvenaient pas à faire la différence durant le temps réglementaire. «Pour gagner en 90’, il faut être prêt à en jouer 120’. C’est dans la tête que ça va se passer. Il faut être costaud. Concentré à fond, car ce genre de match se joue sur des détails», a insisté Benchikha.

«Je ne veux pas que les joueurs regrettent quoi que ce soit»
Afin de mettre ses joueurs dans les meilleures dispositions, Benchikha dit vouloir prendre sur lui plus qu’il en faut. «Je prends sur moi. J’essaye de gérer tout en faisant en sorte de les protéger au maximum. Je leur dis que c’est à moi d’assumer en cas de faux pas. Je veux qu’ils prennent du plaisir, qu’ils jouent à fond. Je ne veux pas qu’ils regrettent quoi que ce soit demain soir. Je veux qu’ils se fassent plaisir sur le terrain. Qu’ils jouent sur leur réelle valeur. Comme ça, personne ne viendra me dire à la fin que j’aurai dû passer au lieu de tirer. Ou bien sauter avant ou après, courir plus. Je veux qu’ils aient le sentiment d’avoir tout donné.»

«Je leur demande de se faire plaisir, à moi d’assumer la responsabilité en cas d’échec»
Pour libérer ses joueurs de toute pression, Benchikha fait simple. Il leur demande de jouer le jeu, à lui d’en assumer les conséquences. Une manière d’éviter de leur mettre plus de pression qu’il en faut lorsqu’on sait que l’enjeu, à lui seul, suffit à donner quelques insomnies aux joueurs. «J’insiste pour qu’ils se fassent plaisir. Lorsqu’on joue sur sa réelle valeur, on ne peut rien regretter au bout. Je leur dis que c’est à moi d’assumer en cas d’échec. Il ne sera blâmé que celui qui n’aura pas tout donné.»

«On veut imposer notre jeu à l’adversaire»
Sur un point de vue purement stratégique, Benchikha dit vouloir imposer à son adversaire le propre style de jeu de l’équipe car sachant la capacité de son adversaire à se déporter vite vers l’avant grâce à la technique et la rapidité d’exécution des milieux sud-africains, lesquels s’appuient sur un Bheki Shabangu capable de faire la différence dans toutes les positions. «Il faut jouer notre jeu. On ne doit pas laisser l’initiative à l’adversaire. C’est nous qui devons décider des temps forts et des temps faibles du match et non notre vis-à-vis. C’est ça que je veux dire en parlant d’imposer notre jeu à l’adversaire. C’est à nous de prendre les commandes du match. On ne doit en aucun cas subir.»

«Il y a un bon répondant chez les joueurs»
Evoquant l’état d’esprit du groupe, Abdelhak Benchikha ne s’est pas empêché de manifester sa satisfaction quant à la bonne ambiance qui règne au sein du groupe. «Nous sommes en train de gérer un groupe de 23 joueurs, où chacun à sa personnalité et son humeur. Dieu seul sait qu’il n’est pas facile de gérer la routine au quotidien. Qu’à cela ne tienne, je suis très content de l’ambiance qui règne au sein du groupe. Il n’y a jamais eu de problème après 33 jours de vie commune. Ce qui est une satisfaction en soi. Aujourd’hui, je suis heureux de voir qu’il y a du répondant… du mordant, voilà. Les joueurs vivent bien ensemble. C’est très important.»

«Dans nos têtes, on est prêts»
A quelque trente heures du match, Benchikha dit être content de constater aussi que son groupe est prêt pour le match. « Dans nos têtes, on est prêts. Tout a été travaillé dans le moindre détail. Rien n’a été laissé au hasard. La concentration est au maximum. On est entrés dans le match. Après, le football n’est pas une science exacte. Je peux y passer la journée à vous dire combien on s’était préparé comme il se doit pour ce match et la motivation qui nous anime, après, tout se joue sur un détail. El Tawfik Men âand Allah !»

«A part Belkalem, le reste du groupe est apte»
Concernant le onze de départ, Benchikha dit ne pas avoir de doutes. «L’ossature que vous avez en tête est la bonne. Le onze a pratiquement été arrêté. Mais je préfère attendre jusqu’à demain avant d’arrêter définitivement la liste. Je suis heureux de savoir que tout le monde est apte. A part Belkalem qui, malheureusement pour nous, a ressenti de nouveau des douleurs, le reste du groupe est OK. Bouazza s’était fait un peu mal à l’entraînement. Il s’était tordu la cheville, mais il va mieux. Je pense qu’il sera prêt pour l’entraînement de cet après-midi. Quant à Belkalem, on va entamer des procédures adéquates pour le soigner comme il se doit.»

«En décidant de ne pas le faire jouer, c’est sa santé qu’on a voulu préserver»
«En décidant de préserver Belkalem, c’est sa santé qu’on a voulu préserver. Il est encore jeune, et une pubalgie, ça peut rendre une carrière compliquée si elle n’est pas bien soignée. Dommage pour le groupe. C’est un élément qui compte beaucoup pour nous !», assurait-il.

Citation :

C'est aujourd'hui à 17h locale (15h algérienne) que la sélection nationale A' disputera son match face à l'Afrique du Sud, pour le compte des quarts de finale de la deuxième édition du championnat d'Afrique des nations, une compétition réservée exclusivement aux joueurs locaux. La rencontre qui aura lieu au stade international de Khartoum s’annonce difficile et indécise du fait que les deux équipes ont montré d’assez belles choses durant le premier tour de ce tournoi. Cependant, ce match sera d'une extrême importance pour la bande à Benchikha, sachant que le sélectionneur national avait visé auparavant au minimum la demi-finale. Ceci dit, pour atteindre son objectif, l'EN doit prendre le dessus sur l'Afrique du Sud au terme d’une rencontre mettant aux prises le second du groupe A avec le leader du groupe B et qui promet d’être très intense, surtout que ce sera la première rencontre de ces quarts de finale. Selon les observateurs, les Algériens partent favoris pour arracher leur qualification.

Quatre atouts dans la manche des Algériens
Les Algériens auront pour eux quatre atouts de plus par rapport aux Sud-Africains. Le premier, c'est que le groupe avait bénéficié d'un repos d'une journée de plus par rapport à son adversaire. L'Algérie avait disputé son troisième match samedi, alors que les Sud- Africains ont joué le lendemain. Au cas où les deux équipes ne parviendraient pas à se départager au bout des 90' et vont aux prolongations, cette journée de repos pourrait être déterminante pour les Verts, bien sûr. Le deuxième, c'est la pelouse synthétique. Les Verts connaissent parfaitement ce type de surface en ayant disputé leurs trois matchs sur du tartan, contrairement aux Sud-Africains. Le troisième avantage, c'est le fait que Benchikha dispose de toutes les solutions nécessaires pour composer son onze type, contrairement au coach sud-africain qui aura un joueur en moins, à savoir Nkosi qui a été expulsé face au Zimbabwe. Le quatrième et dernier atout sera donc le public soudanais qui compte soutenir les Verts pour les aider à prendre le dessus sur les Sud-Africains.

Une seule séance pour les Sud- Africains sur le tartan
Les Sud-Africains ne sont pas habitués au tartan. Lors de ce premier tour, les Bafana Bafana ont évolué sur la pelouse impraticable de Wad Madany. Cette fois-ci, ils joueront sur une pelouse synthétique à laquelle ils ne sont pas habitués chez eux. De plus, leur unique entraînement sur cette pelouse du stade de Khartoum a été effectué hier après-midi. C'était leur unique séance d'entraînement sur du tartan. Un atout de taille pour les camarades de Laïfaoui. Il faut rappeler qu'avant-hier, les Sud-Africains se sont entraînés au stade Al Inghaz qui est doté d'un gazon naturel.

Soudani, Djabou et Djallit, la clé du succès
On ne le dira jamais assez. Le maillon faible de cette équipe sud-africaine reste son axe central. Leur défense est très prenable. Benchikha a remarqué cela lorsqu'il avait assisté à la rencontre des Bafana Bafana face aux Warrios. Pour cela, il mise beaucoup sur les attaquants pour prendre à défaut cette défense très lourde. La clé de la rencontre sera le trio Djallit-Soudani-Djabou. Trois joueurs techniques qui peuvent faire la différence par des incursions à partir de l'axe central adverse réputé pour être très fragile.

On ne jure que par la qualification
Autant Benchikha que les joueurs, personne ne veut imaginer une élimination cet après-midi. Chez les Verts, on ne songe qu’à la qualification aux demi-finales. En cas de succès, on pourra dire que ce sera tout simplement le renouveau d'un football algérien. En revanche, l'élimination brisera le rêve de beaucoup de joueurs qui aspirent à porter les couleurs de l'équipe A. Ce sera la fin même d'un certain nombre de joueurs qui ont devant eux une occasion en or pour prouver leur talent.

Les «locaux» veulent faire mieux que les pros
Nous avons constaté que les joueurs veulent mieux faire que ce qu'ont fait les professionnels avec l'équipe A. Si ces derniers se sont contentés d'une quatrième place lors de la dernière CAN en Angola, avec notamment une cuisante défaite face aux Egyptiens, les camarades de Zemmamouche veulent réaliser une meilleure performance pour prouver qu'on peut compter sur eux.

L'expérience sera déterminante
Encore une fois, Benchikha misera sur l'expérience des joueurs pour arracher cette qualification aux demies-finales. Beaucoup de joueurs ont déjà pris part à des compétitions internationales avec leur club, à l'image de Lemmouchia, Metref, Laïfaoui et Hadj Aïssa. Aujourd'hui, l'expérience revêt une importance capitale pour Benchikha qui aura besoin de joueurs qui savent gérer le match.

On compte beaucoup sur Zemma
Le gardien de but du Mouloudia d'Alger devrait, comme à son habitude, donner de l'assurance à son équipe, surtout que l'adversaire possède une ligne d'attaque très entreprenante. Zemma aura aussi un rôle important à jouer si jamais le sort du match n’arrive pas à se décider au cours du temps réglementaire avec la perspective d’aller à la série des tirs au but.
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Voilà ce qu'a dit l'entraîneur aux joueurs
«Sur un match, on peut même battre le Brésil»
Le sélectionneur national, Abdelhak Benchikha, est plus que jamais optimiste quant à la qualification de son équipe aux demi-finales de ce CHAN du Soudan. Le sélectionneur national a même commencé très tôt, dès lundi, la préparation de la rencontre. A chaque séance d'entraînement, Benchikha axe son travail sur le plan psychologique pour responsabiliser les joueurs. A chaque fois, Benchikha ne parle à ses protégés que des points faibles des Bafana Bafana comme pour les galvaniser davantage. Lors de la séance d'entraînement qui a eu lieu à huis clos avant-hier au stade de Khartoum, Benchikha n'a pas dérogé à cette règle. Il a en effet fait un discours aux joueurs dans le but de bien les préparer psychologiquement et par là même leur éviter le stress, surtout que beaucoup de choses ont été dites sur cette équipe de l'Afrique du Sud. Il leur a dit : “L'Afrique du Sud est une équipe très prenable. Vous savez, sur un match, on peut battre même le Brésil. Donc concentrez-vous et vous allez réaliser un bon résultat.”
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Hachoud «Je suis prêt à jouer»
L'arrière droit de l'ES Sétif, Abderahmane Hachoud, est bien parti pour être titularisé une seconde fois d'affilée, après avoir joué le troisième match du premier tour face au Soudan. Auteur d'une très belle prestation, le joueur nous dira qu'il est prêt à disputer cette rencontre face à l’Afrique du Sud.
Etes-vous prêt pour cette rencontre ?
Oui, bien sûr. On est en train de peaufiner notre préparation ces derniers jours (NDLR : entretien réalisé lundi). L'ambiance est très bonne entre les joueurs et ça nous encourage à faire du bon travail en prévision de cette rencontre.
Et comment se présente pour vous cette empoignade ?
Ce sera une rencontre très difficile pour les deux équipes. Nous, de notre côté, on a un objectif à atteindre et puis c'est tout. On veut aller le plus loin possible dans ce tournoi et, pourquoi pas, ramener le trophée avec nous en Algérie.
Etes-vous capables de le faire ?
Oui, je le pense. On est capables de remporter le trophée, sauf qu'il faudra savoir gérer nos matchs. Nous sommes en tout cas décidés à prendre le dessus sur l'Afrique du Sud pour pouvoir ensuite penser à la demi-finale.
Vous avez vu jouer l'Afrique du Sud. Pensez-vous qu’elle a une attaque percutante ?
Effectivement, ils ont une très bonne ligne d'attaque, mais leur défense est prenable. On va se baser sur ce point-là pour prendre le dessus sur eux. En tout cas, on est tous conscients de la tâche qui nous attend. L'adversaire est bon et nous aussi on a notre mot à dire. Ce sera très serré, mais on va l'emporter, inch’Allah.
Vous allez sans doute jouer cette rencontre après votre excellente prestation face au Soudan…
Bon, face au Soudan, je n'ai fait que mon travail. J'ai essayé d'aider mon équipe pour prendre le dessus sur le Soudan. Dommage, c'était trop difficile pour nous. Maintenant, si le staff technique me fait confiance, je suis prêt pour cette rencontre. Je veux aider mon équipe à battre l'Afrique du Sud.

Citation :

Le sélectionneur national, Abdelhak Benchikha, a rendu publique, hier, la liste des joueurs pour le match Algérie-Maroc du 28 mars prochain. 23 joueurs ont été retenus en perspective. La première lecture que l’ont fait à la vue de la liste pondue par le sélectionneur national qui s’était accordé, d’après des indiscrétions, 24 heures de réflexion supplémentaires, car, nous disait-on, indécis devant certains cas, est qu’elle ne diffère pas beaucoup de celle publiée à l’occasion du match amical Algérie-Tunisie qui devait avoir lieu le 9 février dernier et qu’on avait finalement annulé pour les raisons que l’on sait. Il y a, certes, quelques nouveautés, deux pour être précis, et des départs. Chose évidente, à vrai dire, du fait que Benchikha n’allait pas reconduire tout le «contingent» emmené au Luxembourg en novembre dernier. Ainsi, au rayon de ceux qui n’ont fait qu’un petit tour puis s’en vont, pointent Aoudia (Zamalek, Egypte), Benyamina (Union Berlin, Allemagne), Mesloub (Havre AC, France), Zerdab (JSMB, Algérie), Cédric (JSMB, Algérie), soit six en tout et pour tout. Pour le moment, Abdelhak Benchikha n’a pas expliqué ses choix -chose qu’il fera en conférence de presse demain - mais il est facile de deviner les raisons qui l’ont poussé à se passer de ces joueurs. Explication : Aoudia et Benyamina ont été remplacés au pied levé par Ziaya et Ghezzal qui, il faut le reconnaître, sont tous deux auteurs de belles prestations depuis janvier. Hadj-Aïssa a été préféré à Mesloub. Benchikha l’a jugé, nous dit-on, lors du match face au Luxembourg et puis la convocation de Hadj-Aïssa ne constitue pas une surprise, à la faveur de ses prestations au CHAN. Zerdab, lui, a fait les frais du retour de Abdoun, quoique ses prestations en demi)teinte en club, régulées par ses histoires de transfert reporté à chaque fois, y sont aussi pour quelque chose. Enfin, Cédric cède la place à Chaouchi que Benchikha a décidé de réhabiliter ; un choix qui répond à une logique sportive certaine. A chacun de faire, après, sa lecture. Notez aussi l’absence de Rafik Halliche et Karim Matmour qui font tous deux les frais de leurs statuts de remplaçants en club.

Quel statut pour Chaouchi ?
Son retour ne constitue point une surprise, car c’était dans l’air du temps depuis un moment, bien qu’une certaine réserve ait été de mise quant à la convocation de Faouzi Chaouchi pour ce match face au Maroc du fait qu’on n’en était pas à une première du genre «Chaouchi de retour et puis, non !» Cette fois pourtant, Benchikha a fait le pas en rappelant le gardien de l’Entente, banni des Verts au lendemain du Mondial, après qu’il eut pété un câble, raconte t-on, à la veille du match Algérie -Angleterre. Faouzi Chaouchi vient donc remplacer au pied levé Cédric Si-Mohamed qui a fait office de faire-valoir jusqu’à maintenant. Reste à connaître, après, le statut qui sera attribué au «récalcitrant» gardien, connu pour être lunatique, à la limite farfelu. Et ce n’est pas du tout lui faire offense que de le dire en des termes aussi crus, étant donné qu’on ne le présente plus. Deuxième ou troisième gardien ? La question reste posée. A moins que Benchikha décide de le lancer dans le bain, après l’avoir gonflé à bloc dans l’espoir de le voir nous sortir un remake de sa prestation lors de Algérie- Egypte du 18 novembre 2009 à Oum Dormane. Le scénario est envisageable lorsqu’on sait que Chaouchi est capable du bon, du très bon même comme… du moins bon. L’idée est lancée. C’est certain, ça fera jaser.

Belhadj, Abdoun et Ghezzal ou le retour des bannis
Ecartés pour le déplacement en amical au Luxembourg de novembre dernier, Belhadj, Abdoun et Ghezzal ne sont finalement pas restés longtemps loin du groupe des Verts. En effet, si Abdelhak Benchikha avait décidé de les écarter pour ledit match après la débâcle de Bangui, sans doute, pour dire que nul n’est intouchable, il a fini par les reprendre, d’abord, pour le match amical prévu face à la Tunisie, puis pour ce très attendu Algérie-Maroc. Un retour somme toute logique compte tenu de la bonne forme qu’ils affichent depuis janvier. Benchikha sait qu’il aura besoin de renfort dans cette «bataille» du 19-Mai et la présence de joueurs d’expérience comme ceux-là ne saurait être de trop. Logique.

Meftah-Hadj-Aïssa, deux encas
Toujours au rayon des retours, l’on note le maintien de Rabie Meftah (JSMB), déjà retenu face au Luxembourg et le rappel de Lazhar Hadj-Aïssa (ESS). La convocation du défenseur de la JSMB répond exclusivement à un souci de rééquilibrage du flanc droit qui a vu aussi le maintien de Mehdi Mustapha (Nîmes Olympique) en poste. Avant, on ne faisait que du «recyclage» technico-tactique avec les essais de Antar Yahia, Adlène Guedioura et même Abdelkader Ghezzal à ce poste, en fonction d’une organisation de jeu qui reposait souvent sur une défense à trois. Quant à Hadj-Aïssa, sa convocation est logique eu égard à son excellent CHAN. Si ! Si ! Le meneur de jeu a rappelé face à la Tunisie au Soudan combien il pouvait faire basculer un match à lui seul par son sens de l’orientation du jeu et ses accélérations qui donnent un autre tempo au match. . Cette convocation sonne comme un second souffle au joueur qui dit avoir renaît au Soudan. Encourageant !

Liste des 23 joueurs convoqués

Mbolhi Rais (CF Krylia Sovetov,Russie), Ziaya Abdelmalek (Itihad Djeddah, Arabie Saoudite), Ziani Karim Kayserispor (Turquie), Bouzid Smail (Heart of Midlothiann Ecosse), Lacen Medhi (Racing Santander,Espagne), Mustapha Mehdi (Nîmes Olympique, France), Abdoun Djamel (AO Kavala, Grèce),Yahia Anthar (Bochum, Allemagne), Boudebouz Ryad (FC Sochaux,France), Yebda Hassan (Naples, Italie), Djebbour Rafik Zoheir (Olympiakos,Grèce), Medjani Carl (Ajaccio, France), Bougherra Madjid (Rangers FC, Ecosse), Mesbah Djamel Eddine (Lecce, Italie), Ghezzal Abdelkader Bari (Italie), Belhadj Nadir (Al Sadd, Qatar), Chaouchi Faouzi (ES Sétif ), Lemmouchia Khaled (ES Sétif ), Metref Hocine (ES Sétif ), Hadj Aïssa Lazhar (ES Sétif), Djabou Abdelmoumen (ES Sétif ), Zemmamouche Mohamed Lamine (MC Alger), Meftah Mohamed (JSM Béjaïa).

Voilà pourquoi Soudani n’a pas été retenu
On était presque sûrs que Hilal Soudani allait être retenu pour ce très attendu Algérie – Maroc. Et puis, non ! Abdelhak Benchikha a jugé qu’il n’aurait pas besoin des services du Chéliffien pour ce match. Une décision qui va, un peu, à contre sens de toutes les éloges qu’avait faites le sélectionneur au sujet de son attaquant durant le CHAN. C’est quand même lui qui avait laissé entendre qu’il allait le prendre dans le groupe lors de ce match face au Maroc, avant de se raviser. A priori, il a préféré le laisser digérer cette notoriété dont il jouit depuis qu’il a survolé le CHAN. C’est du moins la lecture que l’on peut faire des déclarations de Benchikha à l’issue du match de classement face au Soudan (1-0) lorsqu’il disait que «Soudani n’avait pas su gérer la publicité qui en a découlé de ses prestations», a-t-il fait savoir. C’est clair, Benchikha veut lui laisser le temps de garder les pieds sur terre.
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Meftah «Je m’y attendais un petit peu»
La nouvelle de sa convocation pour le prochain Algérie-Maroc lui a été apprise par nos soins, d’où la spontanéité de l’entretien qui s’en est suivi. Rabie Meftah était tout naturellement content d’apprendre qu’il fait partie des 23 retenus par Abdelhak Benchikha. Il nous le dit ici. Entretien.

Avez-vous pris connaissance du contenu de la liste du sélectionneur national en perspective du match face au Maroc ?
Non !
Votre nom y figure …
Ah bon ! Super alors. C’est une très bonne nouvelle que vous m’annoncez là.
Vous attendiez-vous à être retenu dans le groupe ?
Pour être sincère, oui. Enfin, un petit peu. J’étais resté à l’écoute. Je me disais que j’avais une chance d’être pris, c’est pour cela que je suis resté concerné.
Qu’est-ce qui vous faisait croire que vous alliez être retenu ?
Bah, la demi-heure de jeu au Luxembourg. Je pense avoir été bon. Ceci a fait que j’ai cru que je méritais d’être retenu.
Donc pour vous, la référence n’est nullement le CHAN, mais plutôt cette demi-heure disputée face au Luxembourg ?
Pas tout à fait, car je pense avoir été pas mal au Soudan. Non, sincèrement, je pense avoir rempli ma tâche convenablement. Je sais que certains ont trouvé à redire, mais en définitive, c’est le coach qui juge et je pense lui avoir donné satisfaction. C’est le plus important.
Que ressentez-vous maintenant ?
Que du bonheur. Je suis très content d’être pris. C’est une très, très bonne nouvelle. Je n’ai jamais renoncé à la sélection, même quand je ne suis plus convoqué, donc forcément, cela me fait énormément plaisir de savoir que j’ai été pris dans le groupe.
Comment allez vous vivre ce match face au Maroc ?
C’est un match très important. Je sais qu’on doit le gagner pour nous relancer dans la course. Donc, la motivation y est de fait. Après, on va faire en sorte de mettre beaucoup d’envie et du cœur le jour J.

Citation :

Comme d’habitude, Karim Ziani parle avec une extraordinaire spontanéité lorsqu’il s’adresse aux supporters algériens à travers Le Buteur et El Heddaf. Le patron des Verts a parlé de sa nouvelle vie en Turquie, de la situation catastrophique de Wolfsburg et, naturellement, du derby du 27 mars entre l’Algérie et le Maroc. Contrairement aux Marocains, Ziani évite de faire dans la provocation, se contentant de réserver sa réponse sur le terrain. Entretien.

Tout d’abord, parlez-nous un peu de votre vie en Turquie. Vous êtes-vous habitué à ce pays ?
Je suis presque chez moi dans ce pays musulman, grâce notamment aux dirigeants et à l’entraîneur de Kayserispor qui se plient en quatre pour rendre mon quotidien agréable. Déjà, je n’ai pas de problème de nourriture, en plus je suis dans un club familial. Non, vraiment, je n’ai pas à me plaindre de ce côté-là. Même le niveau du championnat turc, et contrairement à ce que beaucoup pensent, est appréciable à tel point que j’ai l’intention de rester longtemps ici. Les moyens dont disposent certains clubs en Turquie sont plus importants.

Vous dites ça aussi parce qu’en Turquie, vous jouez plus souvent, non ?
Je vous mentirais si je vous disais le contraire, parce qu’un footballeur n’est heureux que lorsqu’il joue. Je n’aime pas deux choses : les blessures et le banc de touche. Jusqu’à présent, j’en suis épargné depuis que je suis en Turquie, el hamdoullah. Je ne vous cache pas que je suis passé par des moments difficiles en Allemagne, parce que je ne jouais pas. Là, les choses sont complètement différentes et c’est pour cela que je suis heureux. Vous savez, ce que j’ai joué en Turquie pendant un mois, je ne l’ai pas joué en une année en Allemagne, toute la différence est là.

Le fait d’enchaîner les matchs ne vous fait-il pas craindre des blessures ?
Au contraire ! Je suis venu pour ça finalement. Et même si je jouais tous les trois jours, je ne craindrais rien, je serais encore plus heureux. J’aime trop le ballon et je suis prêt à jouer matin et soir s’il le faut (il rit).

Surtout que le coach vous utilise au poste que vous préférez le plus, c’est-à-dire comme milieu axial juste derrière les attaquants…
Oui, c’est ça. C’est là où je me sens à l’aise, que ce soit en 10 ou en 8. Jusque-là et malgré la défaite d’hier (1-0 face à Sivasspor), les résultats lui ont donné raison. Nous sommes toujours quatrièmes et nous essayons de terminer dans le trio de tête pour pouvoir participer à l’Europa-League.

Vous avez joué à Marseille pour ensuite être transféré chez le champion d’Allemagne. Maintenant, vous vous trouvez dans le championnat turc en train de lutter pour la 3e place. Ne nourrissez-vous certains regrets sincèrement ?
A quoi ça sert de jouer dans un grand club pour s’entraîner à fond toute la semaine, en sachant que le jour du match on se retrouve sur le banc ? Non, le bonheur d’un footballeur se trouve sur le terrain, pas ailleurs. Cela fait un mois et demi que je joue en Turquie et je me sens heureux à chaque fois que je prends mon sac pour aller à l’entraînement, parce que je sais que l’entraîneur compte sur moi. Je souhaite seulement que les choses continuent de la sorte, car comme je viens de vous confier, j’ai l’intention de rester longtemps dans le championnat turc.

Peut-on comprendre par là que des grands clubs turcs vous ont déjà sollicité ?
C’est encore trop tôt d’en parler. Pour l’instant, je me concentre à fond sur mon club et les objectifs à atteindre avec Kayserispor, tout en pensant naturellement à l’Equipe nationale.

Avant de parler de l’Equipe nationale, on voudrait bien vous demander de nous faire un commentaire sur Wolfsburg qui ne cesse de dégringoler vers le bas du classement...
Même quand j’étais là-bas, je ne jouais pas. Donc, les résultats actuels de Wolfsburg n’ont rien à voir avec mon départ. Et puis, je joue à Kayserispor et je n’ai pas envie de parler d’autres clubs.

Mais vous appartenez toujours à Wolfsburg puisque vous n’êtes que prêté à Kayserispor…
Cela ne veut pas dire que je retournerai forcément à Wolfsburg. Seul le Bon Dieu peut savoir où je jouerai la saison prochaine. Ce qui se passe à Wolfsburg ne m’intéresse pas, c’est le présent qui m’intéresse et le présent, c’est mon club et le match de l’Equipe nationale du 27 mars.

Dites donc, vous semblez impatient d’en découdre avec les Marocains…
Je suis impatient de jouer ce match, mais je suis aussi impatient de sentir l’air du pays et de rencontrer les gars. Ça fait quand même longtemps qu’on ne s’est pas vus, depuis le match du Luxembourg. Nous savons tous que le moindre faux pas est interdit face aux Marocains. Il nous faut donc nous concentrer à fond sur cette mission.

Vous en parlez entre vous déjà ?
Et comment ! On en parle constamment et on sait combien notre responsabilité est grande, car un autre résultat autre que la victoire voudra dire la fin des éliminatoires pour nous.

Comment avez-vous senti vos coéquipiers ?
Tout le monde est impatient d’en découdre. Tous les joueurs sont décidés à ne pas décevoir les supporters qui nous ont toujours soutenus à fond.

Vous êtes le seul avec Anthar Yahia à avoir joué le dernier Algérie-Maroc de la CAN-2004. Quel souvenir en gardez-vous ?
Forcément, ce n’est pas un bon souvenir, car nous avons été éliminés après avoir mené au score jusqu’aux temps morts. En comptabilisant beaucoup de temps additionnel, l’arbitre avait permis aux Marocains d’égaliser, puis de prendre l’avantage dans le temps additionnel. Je garde, par contre, un excellent souvenir de cette CAN qui était le début d’une belle aventure pour un groupe de jeunes dont Anthar, Samir Beloufa et moi-même. C’était la naissance d’une jeune et belle équipe qui avait les moyens d’atteindre facilement la finale.

Peut-on parler de revanche pour vous et Anthar, le 27 mars à Annaba ?
Pas forcément, et ce pour diverses raisons. L’équipe n’est plus la même, mis à part Anthar et moi qui avions 22 ans seulement en Tunisie. On jouait presque tous notre première CAN qui nous avait permis d’apprendre beaucoup de choses qu’on maîtrise parfaitement aujourd’hui. Ensuite, et sur les deux effectifs algérien et marocain, il n’y aura pas beaucoup de joueurs qui étaient là en 2004, mis à part Anthar et moi côté algérien et deux ou trois joueurs côté marocain. Enfin, la troisième raison, la plus importante à mon avis, est que cette fois-ci, on jouera en aller et retour, c’est-à-dire qu’on n’aura pas le droit à l’erreur, surtout que nous avons un statut de mondialiste à défendre. Pour toutes ces raisons, le nom de l’adversaire ne nous importe pas, seule la victoire nous intéresse, car après avoir vécu des moments extraordinaires en Angla et en Afrique du Sud, nous avons envie que cela continue encore. Après nos deux contre-performances face à la Tanzanie et la Centrafrique, nous n’avons plus le droit de lâcher le moindre point.

Mais les matchs contre le Maroc ont un cachet particulier…
Vous me connaissez très bien et vous savez que je n’aime pas perdre, même en amical, et ce quel que soit l’adversaire. Vu notre situation, je ne pense qu’aux trois points, je ne verrai même pas qui sera en face de moi à Annaba.

Les joueurs marocains disent être supérieurs puisqu’ils évoluent dans de grands clubs européens. Ils disent aussi qu’ils viendront à Annaba pour gagner. Qu’en dites-vous ?
Rien. Ce match se jouera sur le terrain, je préfère donc leur réserver ma réponse sur le terrain, pas ailleurs.

Tous les Algériens, y compris Benchikha, disent que lorsque Ziani est en forme, l’équipe d’Algérie ne passe jamais à côté…
Cela me pousse à donner le maximum le 27 à Annaba pour donner raison aux supporters algériens. Si ça peut les rassurer, je leur dis qu’au jour d’aujourd’hui, je suis en pleine forme avec mon club. J’espère que cela se répercutera sur le rendement de l’Equipe nationale.

Vous refusez de parler de revanche, alors qu’en 2004 à Sfax, vous étiez très déçu, non seulement par l’élimination mais aussi parce que vous n’aviez pas été titularisé, alors que vous étiez l’un des meilleurs Algériens du tournoi…
Mais je vous assure que j’ai complètement oublié cet épisode. Nous sommes en 2011 et ce qui m’intéresse aujourd’hui, ce sont les trois points et la qualification à la CAN. Le match de 2004 fait partie du passé. J’ai sept ans de plus, je suis plus conscient de la tâche qui nous attend.

Les Marocains disent que la pression sera sur vous et qu’ils vont jouer libérés…
Tant mieux, car nous avons sorti nos meilleurs matchs lorsque nous étions sous pression. Avec un stade archicomble derrière nous, nous n’avons peur de rien, croyez-moi.

Surtout avec le retour en force de nos attaquants Ghezzal, Djebbour et Ziaya...
Oui, leur retour en force nous aidera beaucoup, en attendant celui de Meghni, Matmour et Halliche qui, j’en suis convaincu, retrouveront bientôt leur niveau et termineront les éliminatoires avec nous inch’Allah.

Vous avez sans doute envie de dire quelque chose aux supporters des Verts ?
Je ne vais pas leur demander de remplir le stade, car je sais que si on avait un stade de 200 000 personnes, ils le rempliraient. Tout ce que je leur demande, c’est de nous soutenir jusqu’au bout et on leur promet de tout donner sur le terrain pour leur rendre le sourire et se qualifier à la CAN.

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Citation :

Ghezzal et Belhadj rappelés contre le Maroc

Les 23 joueurs algériens retenus par Abdelhak Benchikha pour le match contre le Maroc, le 27 mars à Annaba, comptant pour la 3e journée (groupe D) des qualifications à la Coupe d'Afrique des nations 2012, sont connus.

Ghezzal et Belhadj (photo Presse-Sports), pas convoqués pour la rencontre amicale du 17 novembre au Luxembourg (0-0), reviennent. Tout comme Bouzid, longtemps éloigné des Fennecs, et du gardien Chaouchi, plus appelé depuis le Mondial 2010. En revanche, Mourad Meghni et Karim Matmour n'ont pas été convoqués.

Après deux journées, le Maroc, avec quatre points, est 2e du groupe D, devancé par la Centrafrique à la différence de buts. L'Algérie, qui ne compte qu'une seule unité, ferme la marche avec la Tanzanie.

La sélection algérienne :

Gardiens : Mbolhi Rais (CF Krylia Sovetov/RUS), Chaouchi Faouzi (ES Sétif), Zemmamouche Mohamed Lamine (MC Alger)
Défenseurs : Bouzid Smail (Heart of Midlothian/ECO), Yahia Antar (Bochum/ALL), Medjani Carl (Ajaccio/FRA), Bougherra Majid (GlasgowRangers/ECO), Mesbah Djamel Eddine (Lecce/ITA), Belhadj Nadir (Al Sadd/QAT), Mefath Mohamed (JSM Béjaia), Mustapha Mehdi (Nîmes/FRA)
Milieux : Ziani Karim (Kayserispor/TUR), Lacen Medhi (Racing Santander/ESP), Abdoun Djamel (AO Kavala/GRE), Boudebouz Ryad (FC Sochaux/FRA), Yebda Hassan (Naples/ITA), Lemmouchia Khaled, Metref Hocine, Hadj Aissa Lazhar et Djabou Abdelmoumen (ES Sétif)
Attaquants : Ziaya Abdelmalek (Ittihad Djeddah/ARS), Djebbour Rafik Zoheir (Olympiakos/GRE), Ghezzal Abdelkader (Bari/ITA).
F.F

merci de m'aider

Citation :

Hier, Madjid Bougherra a remporté son 5e titre avec les Glasgow Rangers : la Coupe de la Ligue écossaise de football, gagnée durant les prolongations face au Celtic Glasgow. Sa joie a été néanmoins altérée par une blessure contractée durant le dernier quart du temps réglementaire suite à un contact avec Commons et qui l’a obligé à quitter ses coéquipiers à la 81’. Selon des sources médicales proches du club écossais, «Magic» souffrirait, a priori, d’une élongation à la cuisse dont on ne connaît pas encore la gravité –il faudra qu’il passe une IRM pour un diagnostic plus complet-, mais qui nécessite, dans le meilleur des cas, c’est-à-dire s’il n’y a pas déchirure, une semaine de repos total au moins. En d’autres termes, ses chances de participer au match important contre le Maroc, en éliminatoires de la CAN-2012, sont très minces. Son arrivée en Algérie est prévue pour ce soir, mais on ne sait pas s’il ne la retardera pas de quelques heures ou peut-être même d’une journée, le temps de passer un examen complémentaire. Ce qui est certain, c’est que ce sera au staff médical de la sélection de dire s’il sera apte ou out pour le match de Annaba de dimanche prochain.
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Medjani «Le Maroc ne nous stoppera pas si...»
Comment s’est effectué votre voyage jusqu’à Annaba ?
Très bien, tout s’est bien passé. Me voilà maintenant à Annaba et je dois dire que j’ai hâte que le stage débute.
Le fait d’arriver assez tôt au stage va vous aider, non ?
Bien entendu. Ça va me permettre de m’acclimater à la pelouse et surtout de bien récupérer avant de commencer les choses sérieuses. Déjà, à ce moment précis où je vous parle, je pense au match du Maroc.
Vous venez d’être suspendu par la Ligue française de football pour 4 rencontres, suite à la bagarre qui s’est produite lors du match face à Nantes. Comment avez-vous pris cela ?
J’étais très surpris d’apprendre ma suspension pour quatre rencontres. Je ne méritais pas cette lourde peine, étant donné que je n’avais rien fait de grave. Mais bon, je n’ai pas d’autre choix que de l’accepter et veiller à ce que je garde mon état de forme au top pour revenir en force dès que la suspension prendra fin. Le plus important est que le club réalise de bonnes performances et occupe à l’heure actuelle la première place du championnat.
Vous visez l’accession alors ?
Certainement. Actuellement, on réalise un très bon parcours, et comme je viens de vous le dire, on vient de prendre les commandes du classement. Les chiffres plaident en notre faveur pour l’instant. Espérons que ça continue comme ça.
Parlons de l’EN à présent. Comment voyez-vous cette rencontre face au Maroc ?
Il est évident que la rencontre va être très compliquée pour nous, puisque ça fait longtemps que nous les joueurs ne nous sommes pas rencontrés tous ensemble. On doit redoubler d’efforts et surtout montrer une grande solidarité pour espérer sortir vainqueurs. La concentration est de mise, car on sait très bien qu’on n’a pas droit à l’erreur dans ce match. Il nous faut la victoire, un point c’est tout. Je reste confiant, car je sais que si on est dans un bon jour, personne ne nous stoppera.
Avez-vous une petite idée sur le stade d’Annaba ?
Je ne connais pas personnellement ce stade, mais j’ai vu quelques photos sur le net et je dois dire qu’il y règne une ambiance folle. J’espère qu’il nous portera chance et qu’on réalisera un grand match.
On vous laisse conclure…
Je lance un appel à l’adresse de nos supporters pour qu’ils viennent en masse au stade nous soutenir et nous encourager. Inc’hAllah, on leur apportera du bonheur.
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Il a signé un doublé face à ses ex
Djebbour offre à l’Olympiakos son 38e titre
L’Olympiakos a remporté son 38e titre de champion de Grèce, hier, en réalisant une retentissante victoire face à ses voisins de l’AEK Athènes au Stade Olympique d’Athènes. Les camarades de Rafik Djebbour ont infligé un mémorable 6 buts à 0 à l’AEK dans un match à sens unique. Ainsi, à trois journées de la fin, l’Olympiakos, qui possède dix points d’avance sur son poursuivant le Panathinaïkos, est déjà sacré champion de la Super League grecque cette saison. Titulaire, l’attaquant international algérien a signé un magnifique doublé lors de ce derby. C’est lui qui a montré la voie de la victoire à ses camarades en marquant le premier but du match à la 2’, au prix d’une très belle tête piquée exécutée tout près de son ancien portier à l’AEK sorti à sa rencontre. Djebbour, qui a aussi offert le second but à son équipe en étant derrière une passe décisive, a récidivé dans ce match en inscrivant le quatrième but de l’Olympiakos.
C’est son premier titre
Par ailleurs, après s’être abstenu d’afficher sa joie après l’ouverture du score par respect à ses anciens coéquipiers de l’AEK, l’attaquant algérien de l’Olympiakos, Rafik Djebbour, n’a pu s’empêcher de le faire au moment d’inscrire le quatrième but du match, synonyme de son premier titre gagné durant toute sa carrière de footballeur.

Citation :

Ismaïl Bouzid et Merouane Chemack se sont déjà croisés sur un terrain de foot. Pas en Ligue 1, puisque le défenseur des Verts n’a pas eu la chance de passer pro au FC Metz, mais le hasard les avait réunis un jour en Coupe de France en juniors. Bouzid jouait alors au FC Metz et Chamakh aux Girondins de Bordeaux. A l’époque, l’Algérien avait pris le dessus sur le Marocain au cours d’un match remporté «facilement» par le FC Metz (2-0). Un match qui pourrait rappeler aux bons souvenir des deux joueurs, appelés à s’affronter le 27 du mois en cours, à l’occasion d’un très chaud Algérie-Maroc comptant pour les éliminatoires à la CAN-2012. Il est vrai que Bouzid n’est pas titulaire à part entière en sélection, contrairement au Gunner, mais cela pourrait donner des idées à Benchikha en perspective. Considéré comme l’un des attaquants les plus dangereux de la sélection marocaine, Chamakh est un joueur à museler à tout prix. Ce duel remporté par Bouzid, il y a dix ans, pourrait constituer un avantage psychologique pour le défenseur des Hearts of Midlothian (D1, Ecosse) si jamais il venait à être titularisé. Bon à savoir.
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«J’espère rééditer le même exploit le 27 mars !»
Ismaïl Bouzid était très content d'être à Annaba pour ce stage de l'Equipe nationale. Ce dernier nous a déclaré vouloir d’abord savourer son retour en Equipe nationale, avant de penser au match de dimanche prochain.
Tout d'abord, quelles sont vos impressions en vous trouvant ici à Annaba pour entamer le stage avec l'EN, en prévision du match du Maroc…
Je suis très content d'être ici à Annaba pour ce stage avec l'EN. On a un match très important face au Maroc. Cela fait déjà 3 ans que je n'ai pas joué en Equipe nationale. Cette ambiance m'a beaucoup manqué. C'est un moment très fort pour moi. Annaba est une très belle ville que j'apprécie beaucoup. J'ai déjà eu l'occasion de la visiter et de jouer dans son stade du 19- Mai-56 avec le Mouloudia d'Alger face à l'USMAn.
Que pensez-vous de ce match face au Maroc ?
Il sera très difficile pour les deux équipes. Seulement, on est décidés à gagner. On va tout faire pour atteindre notre objectif.
On parle de vous tantôt dans l'axe, tantôt à droite. Où va votre préférence ?
Tout d'abord, je ne veux pas parler de cela, du moment que c’est l'entraîneur qui décidera où je jouerai. Laissez-moi d'abord savourer mon retour en Equipe nationale, avant de parler d'une place de titulaire.
En face de vous, il y aura Merouane Chamakh que vous connaissez. Vous l'avez déjà affronté en 2001 lorsque vous étiez à Metz…
C'est vrai, vous avez une très bonne mémoire. J'ai déjà affronté Chamakh en 2001 lorsque j'étais à Metz alors que lui jouait à Bordeaux. J'avais eu le dernier mot puisque Metz s'est imposé. J'espère que ce sera le cas cette fois.

Citation :

Bien que plusieurs titulaires soient absents (Matmour, Meghni, Halliche) et que le sort de Madjid Bougherra ne soit pas encore clair et qu’il a de grandes chances de suivre le match du banc des remplaçants, les supporters des Verts ont de quoi garder l’espoir. En effet, à voir les performances réalisées par les attaquants sélectionnés par Benchikha,
il y a de quoi espérer un grand match de la part des Verts le 27 mars à Annaba. Surtout après le retour en force du métronome de l’équipe, Karim Ziani, qui semble avoir retrouvé la plénitude de ses moyens au Kayserispor.

Djebbour, le «Terroriste» est prêt à faire trembler le Maroc
Tout est donc intact dans le compartiment offensif si l’on se fie au réveil de Ghezzal, Ziaya et Djebbour dans leurs clubs respectifs. En tout cas, les chiffres parlent bien pour eux. A commencer par celui qui paraît être le mieux armé pour faire partie du onze rentrant : Rafik Djebbour. En effet, le «Terroriste», comme le surnomme la presse grecque, a donné une satisfaction totale aux dirigeants de l’Olympiakos le Pirée qui l’ont récupéré de justesse après ses déboires avec l’AEK. L’avant-centre des Verts a non seulement marqué des buts décisifs, mais a surtout fait taire les sceptiques parmi ses détracteurs qui attendaient qu’il se casse les dents avec les Rouges.

5 buts en 5 matchs, en attendant le sixième le 27…
Mais Djebbour, qui a joué déjà 29 matchs (toutes compétitions confondues, club et EN), a non seulement les jambes bien huilées, mais aussi très efficaces avec 14 réalisations au compteur (dont 10 en championnat). Le plus intéressant est de savoir surtout qu’il vient d’enchaîner une série de cinq buts en autant de rencontres, avec un doublé face à l’AEK. Excusez du peu ! C’est dire si les Marocains doivent s’inquiéter plus que nous, face au «Terroriste»
Djebbour.

Ziaya veut prouver sa valeur devant ses proches
L’autre attaquant qui donnera des frayeurs aux Marocains, c’est Abdelmalek Ziaya qui revient en force avec Al Itihad de Djeddah. L’enfant de Guelma a soif de montrer que sa place ne lui a pas été offerte par Benchikha et surtout de démentir ceux qui croyaient qu’il n’avait pas assez de niveau pour aller au Mondial. Sa revanche, Ziaya voudrait la prendre à Annaba, aux côtés des proches et amis qui se déplaceront nombreux pour le soutenir. Et c’est très bien que cela coïncide avec ce match contre le Maroc pour lui. Car Abdelmalek a vraiment soif de se venger aujourd’hui, plus qu’hier.

Trois buts en cinq matchs
Côté performances, Ziaya aussi affole les tableaux ces dernières semaines, comme en témoignent les trois buts inscrits en cinq matchs. Ce qui porte à neuf le nombre de réalisations du joueur depuis le début de saison. L’ancien attaquant de l’Entente de Sétif se présentera également avec un bon paquet de matchs dans les jambes, puisqu’il en est à son 24e de la saison. Soit quelque chose comme 1497 minutes. Ce qui n’est pas rien par les temps qui courent.

Ghezzal a soif de prendre sa revanche face au Maroc de Kherja
Le troisième attaquant des Verts que les marocains devront surveiller de près, n’est autre que le «revenant» Abdelkader Ghezzal qui retrouvera à l’occasion son ex-compère de Sienne, Houssine Kherja, actuellement à l’Inter. Ghezzal, qui a également quitté Sienne pour Bari, a toutes les raisons de se surpasser dans cette rencontre. D’abord, parce qu’il se sent victime d’une grosse injustice de la part de Benchikha à qui il voudra bien montrer qu’il s’est trompé en l’évinçant du match face au Luxembourg. Même s’il ne le dira peut-être jamais, Ghezzal avait très mal accusé le coup et il tentera à coup sûr de se donner à fond afin de démentir le coach et surtout les nombreux sceptiques qui demandent sa mise à l’écart. Il jouera donc avec une rage de vaincre qui lui donnera des ailes dans ce match et c’est tant mieux pour les Verts.

Il a marqué deux buts en quatre matchs
On se demande parfois, si Benchikha n’avait pas été visionnaire en titillant de la sorte Ghezzal, Abdoun et Belhadj… D’un autre côté, Abdelkader Ghezzal, qui revient à son meilleur niveau après sa blessure, compte bien poursuivre la bonne série entamée en Serie A avec ses deux buts en quatre matchs. Sa bonne santé retrouvée, Ghezzal reprend sa place de titulaire à part entière avec Bari et espère aujourd’hui en faire de même avec l’Algérie. Ce match face à Kherja et le Maroc sera pour lui l’occasion de faire taire tous ses détracteurs. C’est dans des moments pareils que les grands joueurs arrivent à faire parler d’eux. A lui de le démonter le 27 mars !

Ziani, Abdoun et Boudebouz, les enchanteurs
Les défenseurs marocains auront aussi fort à faire devant le génie de Ziani, Abdoun et Boudebouz qui peuvent, eux aussi, marquer à tout instant du match, comme ils savent si bien le faire. Karim Ziani, qui n’a pas marqué depuis son penalty face au Rwanda, ne se gênera pas de le refaire face au Maroc. Tout comme Ryad Boudebouz et Djamel Abdoun qui, en plus d’être des enchanteurs sur le terrain, savent si bien surprendre de près comme de loin. Associés, ces derniers peuvent faire des merveilles ensemble. Et c’est ce qu’on attend qu’ils fassent à Annaba, pour le bonheur de toute l’Algérie.

Citation :

Contrairement à l’ancien sélectionneur, Rabah Saâdane, qui hésitait longtemps avant de constituer son équipe titulaire et attendait très souvent le dernier moment pour le faire, Abdelhak Benchikha semble prôner une toute autre stratégie. En effet, le premier responsable de la barre technique des Verts compte, dès le départ, notifier de façon, certes, indirecte à ses joueurs, l’équipe qui sera alignée ce dimanche face aux Lions de l’Atlas. Benchikha ne la leur annoncera pas bien entendu, mais au fil des séances et du schéma tactique qu’il compte adopter, le onze titulaire se dessinera pour enfin être connu bien avant le jour du match.
Par cette méthode, le sélectionneur espère peaufiner davantage la cohésion et l’homogénéité entre ses joueurs et ne pas perdre du temps. La rencontre amicale que devait disputer l’EN face à la Tunisie, le mois dernier, et qui a été annulée au dernier moment, a donc contraint Benchikha à revoir ses plans et, surtout, à rattraper le retard qu’accuse déjà la sélection par rapport à son voisin et prochain adversaire, le Maroc.

Des séances spécifiques au menu
Benchikha n’a rien laissé au hasard et compte profiter au maximum de ce stage de six jours pour améliorer la production de l’équipe et résoudre au plus vite ce problème de l’inefficacité qui touche l’EN, avant la rencontre face aux poulains de Gerets. Pour cela, il a programmé deux séances spécifiques dont l’une est prévue ce matin à partir de 10h et sera consacrée aux attaquants et au jeu offensif, tandis que la seconde est programmée pour demain et concernera uniquement les défenseurs.
Durant ces deux séances, qui se dérouleront à huis clos, loin des regards des médias et des espions, Benchikha mettra en place son dispositif tactique, avec les joueurs qu’il compte employer face au Maroc. Il fera travailler beaucoup plus les éléments qui seront appelés à débuter ce match afin de huiler au maximum la machine. Quand on sait que la plupart des joueurs ne se sont pas rencontrés depuis la rencontre perdue en Centrafrique en octobre dernier, la tâche s’annonce plus qu’ardue.

Des changements uniquement en cas de blessure
Abdelhak Benchikha a fait savoir lors de la conférence de presse qu’il a animée mercredi dernier qu’il avait déjà en tête son onze titulaire qui débutera la rencontre face au Maroc. Pour lui, le temps presse et il n’est pas question d’en perdre davantage. C’est pour cela qu’il compte axer son boulot durant ce regroupement uniquement sur les joueurs susceptibles d’être alignés d’entrée. Néanmoins, cela n’empêchera pas les autres éléments d’espérer prendre part à ce derby maghrébin, car en football, il y a souvent de mauvaises surprises qui peuvent survenir, notamment quand il s’agit de blessures.
En effet, si Benchikha a en tête l’équipe qui débutera ce derby, il pourrait, malgré lui, opérer des changements si des joueurs venaient par exemple à se blesser lors des prochaines séances d’entraînement.
Madjid Bougherra, qui s’est blessé avant-hier avec son club les Rangers, risque de rater ce rendez-vous maghrébin, si sa contracture à la cuisse se révèle grave. Un premier coup dur qui met d’ores et déjà dans l’embarras le sélectionneur.

Une arme à double tranchant
La décision de Benchikha de divulguer assez tôt le onze titulaire qui sera aligné contre le Maroc pourrait avoir des retombées négatives sur le groupe, quand on sait que les joueurs qui ne joueront pas cette rencontre feront preuve de démotivation. Ces derniers se devront de faire passer l’intérêt de la sélection au-dessus de toute autre considération.

Citation :

Mesbah : «J’espère que dimanche, la chance nous sourira enfin»


Accosté par des journalistes écossais avant-hier, pour prendre des nouvelles de l’état de santé du défenseur Madjid Bougherra (actuellement en regroupement avec la sélection), l’entraîneur des Glasgow Rangers s’est voulu rassurant en affirmant que la blessure du joueur n’était pas aussi grave qu’on le croyait et qu’il devrait en principe prendre part sans gros risque au match tant attendu de ce dimanche face au Maroc. Cependant, on ne sait pas si le coach s’est entretenu contact avec le joueur en personne ou bien avec le staff médical de l’EN. «Oui, Madjid va de mieux en mieux. Sa blessure n’est finalement pas aussi grave qu’on le craignait au début. Il est actuellement en sélection et devrait en principe jouer le match du Maroc ce dimanche», a-t-il conclu.
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Lacen, Boudebouz, Mbolhi… en quête d’un premier succès avec les Verts
Après la débâcle concédée à domicile face à la Serbie, il y a tout juste un an, le sélectionneur national en ce temps-là, en l’occurrence Rabah Saâdane, avait décidé quelques semaines plus tard de sacrifier, à la surprise générale, pas moins de huit éléments et de faire appel à sept nouveaux pour le Mondial. Ces joueurs, qui sont Medhi Lacen, Ryad Boudebouz, Rais Ouahab Mbolhi, Djamel Mesbah, Carl Medjani, Foued Kadir et Adlène Guedioura, n’ont à ce jour pas connu de victoire en match officiel. Une situation un peu paradoxale quand on sait que leur l’apport fut très intéressant, d’autant plus qu’actuellement, plus de la moitié d’entre eux sont devenus des titulaires. Les cinq premiers cités, qui se trouvent à l’heure actuelle en regroupement, seront en quête d’un premier succès en match officiel sous le maillot vert lors de ce très attendu Algérie-Maroc.
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Mesbah : «J’espère que dimanche, la chance nous sourira enfin»
«C’est vrai que depuis ma venue en sélection, je n’ai pas encore goûté aux joies d’une victoire en match officiel. On a, certes, gagné face aux Emirats arabes unis lors de notre préparation pour le Mondial en juin dernier, mais c’était en amical. J’espère que dimanche prochain, la chance nous sourira enfin et que l’Algérie réussira à relever la tête en remportant les trois points. L’intérêt de l’EN, c’est ce qui compte le plus.»


Cela fait très longtemps que l’ex-entraîneur de l’Equipe nationale ne s’est pas adressé à la presse. Quelques jours avant le grand derby maghrébin qui opposera les Fennecs aux Lions de l’Atlas dimanche prochain au stade 19-Mai 56, l’ancien joueur de la sélection nationale, qui s’est montré optimiste quant à cette affiche, n’a pas manqué de donner quelques conseils aux coéquipiers de Anthar Yahia qui, désormais, sont dans l’obligation d’empocher les trois points du match.

Bonsoir monsieur Mekhloufi, c’est le quotidien Le Buteur avec vous….
Bonjour.

Cela fait très longtemps que vous ne vous êtes pas adressé à la presse. Peut-on savoir la raison ?
(Rires) Tout simplement, personne ne m’a contacté pour me parler de l’Equipe nationale. Si j’avais reçu des coups de fil, j’aurais répondu sans aucun problème. Toutefois, je tiens à vous dire que je rallierai l’Algérie samedi prochain.

Pour assister au match Algérie-Maroc ?
Non, je ne peux pas assister au match. J’ai des obligations personnelles à régler. En mois d’avril prochain, je visiterai la ville de Mostaganem, et ce, pour animer une conférence de presse dans le cadre de l’encadrement des jeunes.

Si vous permettez, nous souhaitons vous poser quelques questions concernant le match Algérie-Maroc qui aura lieu dimanche prochain….
C’est un match très important pour nous après la défaite concédée contre le Centrafrique et le match nul à domicile face à la Tanzanie. On n’a pas besoin de tactique, mais du gain de la partie et point barre.

Pour remporter le match, il faudra que les joueurs soient bien préparés tactiquement et psychologiquement, n’est-ce pas ?
Je ne suis pas d’accord avec vous. Dans ce genre de match, la tactique ne jouera aucun rôle. Le courage et la volonté sont la clé de la réussite. Si on était plus à l’aise avant d’accueillir le Maroc, vous pouviez parler de tactique et de préparation psychologique. Puisque nous sommes dos au mur, il n’y a que les trois points qui comptent. N’oubliez pas que nous sommes derniers au classement et nous allons recevoir le Maroc dans notre stade. Imaginez la suite…

D’après vous, quelles sont les clés de la réussite dans cette partie ?
Le courage, la volonté, l’amour du pays sont les clés de la victoire dans cette importante confrontation. Oubliez le mot tactique dimanche prochain. Nous avons besoin des trois points, alors il faudra les glaner pour que nos chances soient toujours intactes pour décrocher le billet qualificatif pour la prochaine édition de la Coupe d’Afrique des nations qui aura lieu en 2012.

Ne trouvez-vous pas que le fait qu’aucun match ne soit programmé depuis plus de cinq mois pourrait être un inconvénient pour les Verts ?
Cet aspect ne pourra pas affecter les joueurs puisqu’ils jouent régulièrement avec leurs clubs respectifs. N’oubliez pas que nos joueurs ne souffrent pas physiquement, contrairement au passé. Toutefois, même les joueurs locaux évoluent constamment avec leurs équipes. Je l’ai dit et le redit, nous avons besoin des trois points. Nul doute que les joueurs ne sont pas trop habitués à jouer ensemble, mais ils peuvent pallier ce manque par la volonté sur le terrain. Le fait que le joueur affronte son voisin dans un derby pareil, c’est déjà motivant.

Vous avez déjà affronté le Maroc après l’Indépendance, que pouvez-vous nous dire là-dessus ?
C’était difficile car les Marocains nous créaient souvent des problèmes que ce soit en Algérie ou au Maroc. Dès fois, on gagnait et des fois le contraire. Les confrontations Algérie-Maroc ont toujours été chaudes et très disputées. Le plus important est les matchs n’aient jamais dépassé leur cadre sportif.

Alors qu’on avait l’habitude de recevoir nos adversaires au stade Mustapha-Tchaker, cette fois-ci, ce match a été transféré à Annaba. D’après vous, ce changement de domiciliation pourrait affecter les joueurs ?
Pourquoi ? Je ne le pense pas parce que la rencontre aura lieu en Algérie. Blida, 5-Juillet ou Annaba, c’est la même chose. Les supporters annabis sont des Algériens, alors je suis certain qu’ils encourageront les Verts jusqu'à la dernière minute. Je veux ajouter quelque chose, si vous permettez.

Allez-y…
Les joueurs de l’Equipe nationale n’auront pas une autre excuse cette fois-ci. Ce n’est pas parce qu’ils accueilleront les Marocains dans un autre stade qu’ils ne seront pas responsables en cas d’un mauvais résultat. Il faut qu’ils nous prouvent qu’ils sont capables de battre le Maroc sur le terrain.

Si vous étiez à la place de Benchikha, quel sera votre message aux joueurs ?
«Ecoutez mes fils, c’est un match très important qui nous attend face au Maroc. Nous devons le remporter quelles que soient les conditions car un autre échec nous coûtera une élimination de la compétition.» D’ailleurs, Benchikha doit s’adresser à ses poulains de cette manière pour les sensibiliser.

Pouvez-vous nous donner votre pronostic concernant cette grande affiche ?
Nous allons gagner. Seulement à une condition…
Laquelle ?
Nous n’avons pas besoin de développer un beau football, nous avons besoin des trois points qui nous donnent l’espoir pour assurer la qualification pour la prochaine édition de la Coupe de la CAF.

Merci beaucoup de nous avoir accordé cette interview aâmi Rachid…
Ce n’est qu’un devoir. Je ne vous cache pas que je m’apprêtais à passer un après-midi tranquille chez moi, mais dès que vous m’avez parlé du match Algérie-Maroc, je ne pouvais pas refuser de répondre à vos questions. Franchement, j’aimerais tant pouvoir assister à cette rencontre ! Merci encore une fois. Portez-vous bien.

Ne pouvant pas livrer ses impressions aux journalistes présents à l'aéroport, car il était trop fatigué, le milieu de terrain de Kavala s'est néanmoins exprimé dans la zone mixte qui avait précédé l'entraînement de mardi. Il se dit, dans cet entretien, très content de retrouver le groupe et déterminé à aider la sélection pour réaliser un bon résultat face au Maroc.

Alors Djamel, bien arrivé à Annaba ?
Oui, très bien. C'est une immense joie pour moi d'être ici avec mes amis. Comme vous le savez, je suis arrivé ce matin (Ndlr, hier).
Vous avez un match important à disputer face au Maroc ; que pensez-vous de cette rencontre ?
C'est une rencontre très difficile. Le Maroc est une excellente équipe qui n'est plus à présenter. Nous, aussi, nous avons une très bonne équipe. Donc, il n'y a pas de crainte.
Ce sera un match déterminant pour vous ?
Oui, il y a un grand enjeu dans ce match, il faut absolument gagner. On va tout faire pour remporter cette rencontre. On sait qu'elle sera difficile, mais on mise sur une victoire. On va bien se préparer pendant ces jours de stage pour y être prêts.
La pelouse vous a plu ?
La pelouse est dans un très bon état. Tous les joueurs sont satisfaits. De ce côté-là, on n'a aucun souci.
Comment avez-vous trouvé l'ambiance ?
Il y a une très bonne ambiance. Je sais que le jour du match, elle sera plus grande. On fera de notre mieux pour donner de la joie à ce merveilleux public. Il nous a habitués à nous soutenir dans les moments difficiles. Il nous a toujours prêté main-forte. Nous, de notre côté, on tâchera de ne pas les décevoir.
Après une période d'absence en Equipe nationale, comment avez-vous trouvé le groupe ? Est-ce que vous avez constaté des changements ?
C’est le même groupe. Il y a toujours les mêmes joueurs, le même staff. Il n'y a eu aucun changement. Il faut savoir que je n'ai raté qu'un seul stage, c'était celui qui avait précédé le match amical face au Luxembourg.
Ne pensez-vous que vous n'avez pas de chance, car vous effectuez votre retour en EN à l'occasion d'un match explosif et déterminant pour la suite du parcours des Verts dans ces éliminatoires ?
Non, je ne le pense pas. Mais il faut savoir que dimanche prochain, il faut remporter cette rencontre coûte que coûte.

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Extinction des feux à 22h
Abdelhak Benchikha a instauré une certaine discipline lors de ce stage qui précède la rencontre de dimanche. Ainsi, il a ordonné aux joueurs que l'extinction des feux aura lieu à 22h.

9h30, tout le monde debout
Par ailleurs, Abdelhak Benchikha a même fixe l'heure du réveil de ses poulains. Le sélectionneur national a décidé que tout le monde doit se lever avant 9h30.

10h, petit-déjeuner
Benchikha a décidé que tout le monde doit être à la cafétéria de l'hôtel Sabri à 10h pour le petit-déjeuner.

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La pelouse du 19-Mai satisfait les joueurs
Beaucoup a été dit sur l’état de la pelouse du stade 19-Mai et sur sa capacité à accueillir une rencontre de la dimension de ce derby maghrébin entre l’Algérie et le Maroc. Depuis la désignation de l’enceinte d’Annaba, énormément de moyens ont été déployés pour améliorer l’état de cette pelouse qui depuis quelques années maintenant fut presque laissée à l’abandon. On a même fait appel à un spécialiste français très réputé dans ce domaine pour astiquer, si on peut dire cela comme ça, ce rectangle vert qui fait malheureusement tant défaut en Algérie.
Cela dit et après plus de 20 jours d’intense travail, la pelouse semble à présent en bon état, et prête pour ce match crucial du 27 mars.
Les joueurs de l’EN, qui ont pris connaissance de l’état du terrain, avant-hier, à l’occasion de la séance d’entraînement, nous ont affiché leur satisfaction et leur soulagement, eux qui craignaient de voir un terrain en piteux état. Même s’ils reconnaissent que celle-ci ne ressemble pas vraiment à ce qu’ils ont en Europe, l’essentiel, affirment-ils, est que le ballon roule bien et qu’il n’y ait pas de trous qui peuvent leur causer des blessures.
A noter que ce samedi, les gazonniers du stade tondront une dernière fois la pelouse pour rendre le jeu encore plus praticable et rapide.
Chaïb : «Elle nous permettra de développer notre jeu»
L’adjoint de Benchikha, Mohamed Chaïb, s’est dit lui aussi très satisfait de l’état de la pelouse du 19-Mai et assure que celle-ci sera prête pour la rencontre de ce dimanche. «Dieu merci, comme vous voyez, la pelouse est en bon état. Elle s’est nettement améliorée par apport à la dernière fois et je pense que si les conditions climatiques resteront ainsi jusqu’au jour de la rencontre, on aura un terrain adéquat pour disputer un bon match de football. Les joueurs aussi demeurent très satisfaits et le plus important est qu’elle nous permettra de développer notre jeu», a-t-il déclaré au micro de la Télévision nationale.
Ziani : «Pas exceptionnelle, mais elle reste jouable»
De son côté, le maître à jouer de l’EN n’a pas voulu trop s’enflammer, en affirmant que même si la pelouse reste praticable, elle ne demeure pas si exceptionnelle que ça. «Oui, certes, la pelouse paraît à première vue en bon état, mais elle n’est pas exceptionnelle aussi. On avait peur de trouver un terrain calamiteux, donc je dirai que celle-ci nous arrange.»


Raïs Mbolhi a rejoint le lieu du regroupement des Verts. Dès le lendemain, il s’est entraîné avec le reste du groupe. Il manque certes de compétition car il n’a en tout et pour tout disputé qu’un seul match depuis trois mois, mais pas du tout de motivation. Celui qui, à coup sûr, sera le dernier rempart des Fennecs, ce dimanche, nous a dit être serein et surtout d’attaque pour le big match.

Un périple d’enfer pour rejoindre Annaba
A son arrivée à Annaba, Mbolhi était exténué et le terme n’est pas assez fort. Les traits tirés, il nous avouera qu’il tenait difficilement sur ses jambes. Il nous expliquera qu’il avait passé de longues heures d’attente dans les aéroports de Samara, Moscou, Paris et Alger. Il faut ajouter à cela les nombreuses heures d’avion avant de rejoindre Annaba.

Contrarié par le report du match face au CSKA Moscou
Manifestement, il était très agacé quand nous lui avons demandé son avis en ce qui concerne le match qu’aurait dû livrer son équipe face au CSKA Moscou. C’était pour le compte de la deuxième journée du championnat de Russie. Il dira en substance : «Est-ce ma faute si ce match a été reporté ? Bien sûr que j’aurais aimé le jouer car cela m’aurait donné du temps de jeu supplémentaire avant ce match face au Maroc.»

«De quoi aurais-je peur ?»
Le correspondant du Buteur-El Heddaf est le seul représentant d’un média qui a pu avoir accès au salon d’honneur de l’aéroport Rabah-Bitat de Annaba. Mbolhi refusera de nous accorder un entretien et il expliquera cela par l’état d’extrême fatigue dans lequel il se trouvait. Il parlera, cependant, de l’état d’esprit dans lequel il se trouve à quelques jours de la rencontre face au Maroc : «Je veux rassurer nos supporters, je suis en pleine possession de mes moyens et le manque de compétition n’a aucune incidence sur mon état de forme. Pour ce qui est de ce match, je ne vois vraiment pas ce qu’il y a à craindre.»
Content pour Chaouchi
Des proches de Mbolhi nous confieront que ce dernier a très bien accueilli le retour de Chaouchi en sélection. Il faut dire que les deux hommes s’entendent à merveille et qu’il y a une saine concurrence entre les deux hommes.

Il ignorait la décision de Benchikha
C’est avec deux jours de retard que Mbolhi a appris que Benchikha l’avait désigné comme le numéro un dans la cage de l’EN. C’est un de ses amis installé en France qui le lui apprendra.

C’est au coach de décider
A la question de savoir si cela lui faisait plaisir d’être désigné comme le titulaire du poste de gardien de but, Mbolhi dira que rien n’est acquis à l’avance. Il précisera que pour lui, répondre à l’appel du sélectionneur est un devoir national. En ce qui concerne les choix de Benchikha, il affirmera qu’il les respectait totalement.
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Mesbah confirme ses contacts avec la Fiorentina
Dans une interviewe téléphonique accordée à la chaîne italienne Sky, le défenseur de Lecce de la sélection nationale, Djamel Mesbah, a bel et bien confirmé ses contacts avec certains clubs du Calcio dont la Fiorentina. Toutefois, il s’est montré très distant du moment qu’il est toujours lié par contrat avec son club actuel. Mesbah a déclaré au journaliste de la chaîne italienne qu’un probable départ n’est toujours pas d’actualité, et que l’heure est à la concentration avec les Verts, notamment à la veille de cette importante rencontre face au Maroc.
«Je me concentre uniquement sur le match des Verts et pour mes contacts, j’en parlerai en fin de saison»
Revenant sur ses contacts avec la Fiorentina, Genoa et Sienne, l’international algérien dira : «Il est vrai que j’ai reçu pas mal d’offres, mais ce n’est toujours pas d’actualité. Je suis toujours lié avec Lecce. Pour le moment, je préfère rester concentré avec mon club et la sélection. Nous avons un match important à préparer face au Maroc. J’espère qu’on sera à la hauteur afin de répondre aux attentes des supporters.»

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Bougherra blessé et forfait

Le défenseur algérien Madjid Bougherra, blessé aux adducteurs, est forfait pour le match Algérie-Maroc des qualifications à la Coupe d'Afrique des nations 2012, dimanche à Annaba. «Bougherra ne pourra pas disposer de tous ses moyens, a ainsi indiqué une source médicale à l'agence algérienne à propos du joueur des Glasgow Rangers, blessé dimanche lors de la finale de la Coupe de la Ligue écossaise remportée face au Celtic (2-1). Le staff technique ne veut pas prendre de risque en le faisant jouer.»

A Annaba, en banlieue d'Alger, où les Verts effectuent leur préparation, Bougherra avait pu s'entraîner, mais seul, se contentant de tours de piste. Mardi, une IRM avait décelé une lésion aux adducteurs. (Avec AFP)
F.F

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Appel au «fair play» de l'Algérie

La Fédération algérienne (FAF) a appelé les supporters au «civisme, fair play et responsabilité», lors du match contre le Maroc, qualificatif à la CAN 2012, dimanche à Annaba. Il leur faut «respecter l'exécution des hymnes nationaux des deux pays, s'abstenir d'utiliser des engins pyrotechniques (fumigènes ou feux de Bengale) dangereux pour les spectateurs et préjudiciables à l'équipe nationale qui risque une sanction de la part de la FIFA et de la CAF», selon un communiqué publié vendredi sur le site de la FAF.

Il est également interdit de faire pénétrer dans le stade du 19 mai 1956 tout objet susceptible de se transformer en projectile, telles les cannettes ou bouteilles. Mercredi à l'ouverture des guichets de vente des billets au stade, une cinquantaine de personnes, dont cinq policiers, ont été blessés dans des bousculades. Au total, 51.000 personnes, dont 3000 Marocains, sont attendus.
F.F