coupe du monde des femmes 2011

Oui toi tu dis sa uniquement sur le physique. Déjà Erika qui a presque enlevé le maillot après son magnifique but. happiness

ben quoi sa laisse une motivation a regarder langue

c'est pas faux. Moi même ... non rien je vais regardé ce défil... euh non ce match siffle

Citation :: Des buts, du spectacle, des stades pleins et en liesse... France-Allemagne (2-4) a démontré l'engouement pour la Coupe du monde féminine outre-Rhin. Des images qui n'ont rien à envier au Mondial 2006. Les Bleues ont pu s'en rendre compte mardi à Mönchengladbach.

Mardi soir, le Borussia Park était plein à craquer pour voir l'Allemagne affronter la France lors du dernier match de poules. 45 867 supporters pour un match qui n'avait d'autre enjeu que la première place du groupe A. Plus que pour un PSG-OM en Ligue 1 ! Pourtant, en Allemagne, ça n'a rien de vraiment étonnant. Toutes les rencontres de la "Frauen-Nationalmannschaft" sont déjà assurées de se disputer à guichets fermés. Mais les autres rencontres affichent également un taux de remplissage exceptionnel. Les 25475 places ont trouvé preneur à Sinsheim pour le match d'ouverture des Bleues face au Togo, 16591 à Bochum pour leur match face au Canada... Des chiffres que l'on ne connaîtrait sans doute pas n'importe où ailleurs. Et une grande nouveauté pour les joueuses de Bruno Bini. Il faut dire que d'habitude, que ce soit en club ou en sélection, elles évoluent devant quelques centaines de supporters, parfois quelques milliers en Ligue des champions.

Pour ceux qui ont eu la chance de connaître la Coupe du monde 2006, celle des filles n'a pas grand chose à lui envier. En Allemagne, le football féminin peut se targuer d'un véritable engouement populaire. En arrivant en ville, comme à Mönchengladbach, on retrouve les mêmes drapeaux aux fenêtres des maisons ou dans les vitrines des boutiques. Les mêmes supporters hauts en couleurs. La même ambiance bon enfant. Surtout, les mêmes "bratwurst" et la même odeur de bière. Car, outre-Rhin, le supporter n'est pas misogyne. Dans les tribunes des stades, on retrouve des femmes, bien sûr, mais aussi beaucoup d'hommes venus soutenir leur équipe avec la même ferveur que les homologues masculins. Il faut dire que le foot féminin a gagné la bataille de l’image depuis longtemps déjà. Les stars Birgit Prinz ou Fatmire Bajramaj s'affichent en Une des magasines. Les filles ont même droit à leur album Panini. La consécration.

Bajramal, l'artiste

Sur les terrains, la comparaison atteint ses limites. Mais force est de constater que le niveau de jeu ne cesse de progresser depuis quelques années. La technique permet souvent de compenser le physique. L'Allemagne est venue le rappeler aux Françaises, mardi soir. Techniquement, elle s'est montrée largement au-dessus du lot. Une aisance incarnée par Fatmire Bajramaj. A seulement 23 ans, la belle Allemande (dans tous les sens du terme), arrivée en tant que réfugiée du Kosovo, a encore survolé la pelouse du Borussia Park face à la France. Le but d'Okino Da Mbabi (88e) en est une autre illustration. Et que dire du Brésil de Marta, finaliste des trois dernières compétitions mondiales, ou du Japon, surnommé "le Barça féminin". Maike Schulz, journaliste au magazine spécialisé 11 Freunde, expliquait récemment dans Libération les raisons d'un tel engouement en Allemagne : un football "plus tactique, davantage de passes, moins de pauses dans les matchs, plus réglo dans l’attaque. Les joueuses ne restent pas allongées sur le terrain en se tordant dans tous les sens pour obtenir un carton jaune !"

Cerise sur le gâteau, l'Allemagne et la France ont livré un grand spectacle en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. "Le premier véritable match de gala du Mondial", selon Bild. Six buts, une expulsion, des rebondissements et des actions spectaculaires qui ont fait se soulever tout le stade, à l'image de ce sauvetage sur la ligne d'Abily suivi d'une frappe allemande sur la transversale (76e). En connaisseur, le public allemand a longuement ovationné la sortie de leur équipe aux chants de "Deutschland ! Deutschland !". Et applaudi celle des Bleues qui ont pris le temps d'ailleurs saluer les quelques centaines de Français qui avaient fait le déplacement. Presque autant que pour ces messieurs il y a six ans. Finalement, il ne manquait plus que l'échange des maillots au coup de sifflet final pour ce croire revenu à l'époque de la dernière épopée de Zidane. Avec une telle ambiance, on comprend que l'équipe de France veuille rester en Allemagne le plus longtemps possible.

je te comprends Sinrok Mr Green

Citation :: Viguier remplace Renard
Pour le quarts de finale face à l'Angleterre, samedi, Bruno Bini va aligner la même charnière centrale que face au Canada. Viguier est donc de retour.

Sabrina Viguier remplace Wendie Renard pour affronter l'Angleterre. (EQ)

Dès jeudi, il n'avait "aucun doute" quant au onze de départ qui débuterait samedi contre l'Angleterre. Au vue de la mise en place qui s'est tenue en fin de journée à Leverkusen, Bruno Bini alignera donc la même défense que face au Canada à une exception près. Seule Céline Deville prendra la place de Bérangère Sapowicz suspendue après son carton rouge reçue face à l'Allemagne. Sabrina Viguier sera associée à Laura Georges dans l'axe de la défense et c'est Wendie Renard qui en fait les frais.

La Martiniquaise paye, sans doute, son erreur de marquage sur le premier but allemand. Laure Lepailleur, qui a plus que dépanné face à la Frauenmannschaft et au Canada, sera titularisée sur le côté droit de la défense pendant que Sonia Bompastor, retrouvera, elle, son côté gauche. Au milieu, c'est du classique : Sandrine Soubeyrand et Elise Bussaglia formeront la paire de récupérateurs et Louisa Necib sera au coeur du jeu français. Gaëtane Thiney se chargera d'animer l'aile gauche et Camille Abily, le côté droit. En pointe, Marie-Laure Delie tentera d'inscrire son 24e but en 24e sélections ! - T.S.

L'équipe probable : Deville - Lepailleur, Georges, Viguier, Bompastor - Bussaglia, Soubeyrand - Abily, Necib, Thiney - Delie.

j espere qu elles vont gagné contre les rosbeef

Citation :: Les Bleues veulent tout casser
La France affronte ce samedi l'Angleterre en quarts de finale de Coupe du monde (18h00). A ce niveau de la compétition pour la première fois de son histoire, les filles de Bruno Bini affichent une motivation décuplée.

Sandrine Soubeyrand se méfie des Anglaises. (AFP)

Ça fait une éternité. 37 ans pour être précis. 37 ans que les Anglaises n'ont plus battu les Françaises. Mais Bruno Bini n'en a cure des statistiques. Le sélectionneur est sur ses gardes. Quand un journaliste anglais lui a demandé s'il y avait une joueuse à surveiller en particulier du côté britannique, il a répondu, le sourire aux lèvres, en citant tous les numéros : « La numéro un, la deux, la trois, la quatre, la cinq... La vingt-et-un n'est pas encore rentrée mais on m'a dit que c'était une très bonne gardienne... » Même réponse ironique il y a quelques jours déjà : « Je me fiche de l'adversaire. Moi, je suis bête et discipliné. Si on m'avait dit qu'on jouerait contre les New-York Cosmos en quarts, j'aurais joué. »

Bini : « Elles sont remontées comme des pendules, elles ont envie de tout casser. Si on est en demi-finale, on fait sauter la banque ! »

Seule certitude pour le coach des Bleues, ce sera un match ouvert et très équilibré : « Elles développent un jeu proche du nôtre, elles ont quelques joueuses athlétiques, ce sera un beau match de foot ». Sandrine Soubeyrand, la capitaine aussi présente en conférence de presse, a, elle, évoqué un peu plus en détail l'adversaire du jour, brillant offensivement : « Si elles sont arrivées là, ce n'est pas par hasard, elles le méritent. Elles se projettent vite vers l'avant avec une animation offensive variée. Elles sont en train de monter en puissance, je les trouve de plus en plus performantes mais on a aussi les qualités pour les faire déjouer. On a hâte d'en découdre. »

La France est aussi la seule nation, parmi les huit restantes, à ne jamais être arrivée jusqu'en quart de finale de Coupe du monde. Et c'est l'une des raisons pour lesquelles, les footballeuses françaises affichent une envie décuplée : « Elles sont remontées comme des pendules, elles ont envie de tout casser. Si on est en demi-finale, on fait sauter la banque ! Et puis même si on y arrive, ça ne suffira pas car elles ont faim », confiait Bini jeudi. Un coach devenu également follement amoureux de l'Allemagne : « C'est le premier quart pour nous. Et tout le monde l'accueille avec bonheur. On s'est pris d'amour pour l'Allemagne, on va tout faire pour y rester encore un peu ».

je pense qu elles vont passer ce soir car les rosbeef contre le Japon ont eu de la chance que ce soir la elles avaient une poisse pas possible .

Citation :: Ces Bleues ont de la ressource
Pour le premier quart de Coupe du monde de leur histoire, les Bleues ont vaincu l'Angleterre dans un match plus qu'indécis à Leverkusen (1-1 a.p., 4 tab à 3). En demie, elles affronteront le vainqueur de Brésil-USA.

Les Bleues se sont qualifiées pour les demi-finales d'une Coupe du monde pour la première fois de leur histoire. (AFP)
Sur les airs d'«I will survive», ou des «Champs élysées» de Joe Dassin, la sono de la Bay Arena avait donné le ton d'emblée. Dans un match à suspense, la France a remporté, aux tirs au but, une victoire ultra méritée face à des Anglaises au jeu stéréotypé mais très obstinées. La victoire a eu du mal à se dessiner mais ce fut encore plus jouissif pour les Bleues.

Sur le terrain, Bruno Bini a choisi de faire confiance à l'équipe qui avait torpillé le Canada (4-0) lors du second match de poule et a titularisé Sabrina Viguier à la place de Wendie Renard dans l'axe de la défense. Côté anglais, Hope Powell, coach qui change rarement ses plans, n'a pas dérogé à la règle et a aligné son équipe type. Avec la star anglaise, Kelly Smith, bien évidemment. Cette dernière a, presque, brisé le rêve bleu après... 20 secondes de jeu seulement. Mais hormis cette frayeur, les Bleues ont outrageusement dominé la rencontre et ont étouffé les Anglaises par leur pressing (33 tirs à 7) et leur maîtrise collective. Une vraie machine.

Mésentente en défense

Les Britanniques n'ont, que très rarement, pu ressortir le ballon proprement et ont été obligées de balancer de longs ballons. Il n'a manqué aux Bleues qu'un soupçon de réussite ou de précision à Thiney, Necib ou Delie (25e, 30e et 48e). Seul accroc et de taille : la fébrilité de la charnière centrale française qui s'est souvent débarrassée du ballon et qui a été peu rassurante. C'est d'ailleurs après une mésentente entre Lepailleur, l'arrière droite, et Viguier, que Jill Scott a crucifié Deville un peu trop avancée (1-0, 59e). Des Anglaises qui ont été récompensées de leur ténacité, pas du jeu qu'elles ont produit. Les Françaises ont bien essayé de réagir mais face à la hargne anglaise (4 cartons jaunes, 13 fautes), ça a été compliqué. A chaque fois, il y a eu une tête, un pied, une main anglaise et même... l'épaule de Bardsley pour empêcher l'égalisation.

Le bijou de Bussaglia

C'est finalement Bussaglia, véritable régulatrice du jeu tricolore, qui a délivré les Bleues d'une frappe magistrale à l'entrée de la surface (1-1, 88e). Une égalisation plus que méritée car les Françaises n'ont jamais rien lâché et ont toujours continué à jouer. Dans une prolongation stressante et sans rythme à cause de la fatigue, la France continué à mettre la pression mais a aussi été à deux doigts de passer à la casserole. Heureusement, Ellen White a perdu son duel (103e). Et la loterie des tirs au but a finalement souri aux Françaises moins tendues, Faye White envoyant le sien sur la barre transversale. Farandole, cris de joie, tour d'honneur, les filles ont bien profité de ce moment sur la pelouse de Leverkusen. Mais un défi, encore plus grand, les attend mercredi.

Quart de Finale

La France prolonge le plaisir

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http://www.fifa.com/womensworldcup/video/video=1472121/index.html

en tous cas c'été un superbe match des française chapeau mesdames

c est claire je me suis regalé a les regardé et c est complement merité

Citation :: L'Allemagne out, la France aux JO
Enorme déception en Allemagne. L'équipe féminine, double tenante du titre, est éliminée de "sa" Coupe du monde. La Frauenmannschaft s'est inclinée en prolongation face au Japon, samedi (1-0).

Cette élimination du pays organisateur sert les intérêts des Bleues, qui sont sûres d'être qualifiées pour les Jeux Olympiques de Londres. Outre l'Angleterre, pays hôte des JO 2012, les deux meilleures équipes européennes du tournoi sont qualifiées pour le tournoi olympique. Or, avec la défaite de l'Allemagne, il ne peut rester au maximum que deux équipes européennes dans le dernier carré. Outre la France, déjà qualifiée aux dépens de l'Angleterre (1-1 ap, 4 tab à 3), la Suède, adversaire dimanche de l'Australie, peut encore y entrer et valider son billet pour Londres. La journée était déjà belle pour les Françaises, qualifiées pour la première fois pour la demie d'un Mondial. Elle s'achève par une autre bonne nouvelle...

c est vraiment genial n empeche sa sera avec plaisir de leur au prochain JO

Ah ! c'est sur Spouck, c'est plus agréable à voir jouer que les mecs... siffle

Ballon d'or Messages : 8737 Date d'inscription : 21/11/2009

Elles sont bien partis la, surtout avec l'Allemagne out qui était vraiment au dessus des autres, mais qui sont passés à la trappe, j'ai pas vu le match, mais si ça ressemble au matchde la France, elles ont de quoi avoir des regrets les allemandes.

Bien d'accord avec toi Jeje, Elles peuvent y arriver

ben moi j'ai vu el match et franchement trop d'occasion gâché le japon leur a mit un contre dans la fasse et bing petit filet opposé avec pour moi une erreur du placement de la gardienne allemande

Ballon d'or Messages : 8737 Date d'inscription : 21/11/2009

Oui, mais ce sera difficile, mais elles peuvent le faire.

La France s'était un peu pareil, j'ai vu que la fin, (à partir de la 75eme) et que d'occasino gachés...

Citation :: Le Japon réalise l'exploit (0:1)

La sélectionneuse allemande Silvia Neid avait prévenu : les Japonaises seraient de redoutables adversaires. Le début du quart de finale à Wolfsburg ce 9 juillet ne lui donne pas tort. Les Championnes du monde en titre semblent gênées par la circulation de balle rapide des Asiatiques.

Elles se reposent dès lors sur les coups de pied arrêtés pour porter le danger. Sur un corner, Kim Kulig envoie une tête à peine trop haut (4’). Mais la joueuse d’Hambourg se blesse sur l’action et doit être remplacée par Bianca Schmidt. De quoi déstabiliser un peu plus les Européennes.

Elles ne se découragent cependant pas. Celia Okoyino Da Mbabi est à la réception d’une longue balle mais sa reprise bizarre ne trompe pas Ayumi Kaihori (13’). Sur un nouveau coup de pied arrêté, Kerstin Garefrekes se retrouve seule à deux mètres de la ligne de but mais rate sa reprise (23’).

Dans le jeu, la Mannschaft n’est pas sereine. Saskia Bartusiak se loupe sur un dégagement et donne le ballon à Kozue Ando. Mais l’attaquante de Duisbourg, pourtant seule face à Nadine Angerer, croise trop son tir (30’). De l’autre côté, une frappe décroisée de Melanie Behringer passe au ras du poteau japonais. Mais c’est dos à dos que les équipes rejoignent les vestiaires.

Défense forcenée

Après la pause, la donne ne change guère. Les Allemandes sont dangereuses sur coups de pied arrêtés. Simone Laudehr place une belle tête sur l’un d’entre eux, Yukari Kinga dégage sur sa ligne (56’). Les Nippones construisent patiemment, mais vont rarement au bout de leurs actions. On notera tout de même une belle frappe d’Aya Miyama, un poil au-dessus (60’).

Le temps passe et la puissance athlétique des filles de Silvia Neid pèse de plus en plus. Les actions confuses dans la surface japonaise se multiplient, mais les Nadeshiko de Norio Sasaki défendent comme des forcenées. Garefrekes déborde à droite et adresse un bon centre en retrait, Behringer envoie une fusée dans le ciel de Leverkusen (77’). L’impuissance allemande est étonnante. Jusqu’au bout du temps règlementaire elles poussent, sans résultat. Garefrekes a bien une dernière occasion, mais son tir en pivot passe à côté (90+3’).

La prolongation ne change pas grand-chose à l’affaire. Da Mbabi (94’), Inka Grings (102’) et Da Mbabi encore (107’) manquent cruellement de décision dans le dernier geste. Côté japonais, on épie l’éventuel contre. Et il arrive. Un bijou de passe en profondeur d’Homare Sawa, Karina Maruyama s’arrache et croise son tir (0:1, 108’). Stupeur à Wolfsburg.

Mais on n'assomme pas une équipe allemande aussi facilement. Behringer envoie un missile, Kaihori claque en corner (109’), Da Mbabi voit sa tête lobée également détournée (111’), comme celle de Bianca Schmidt (112’).

L’exploit est à portée de main des Japonaises. Jamais elles n’avaient battu une formation européenne en Coupe du Monde Féminine en 11 confrontations, jamais elles n’avaient atteint le dernier carré de l’épreuve reine. C’est chose faite et c’est à peine croyable. En demi-finale, ce sera l’Australie ou la Suède pour les valeureuses Nadeshiko.

Joueuse du match : Homare Sawa.

http://fr.fifa.com/womensworldcup/video/video=1472251/index.html

dommage que les footballeuses féminines jouent pas en string homers bave

euhh sa depends qui alors Green Wistle

Citation :: Le sang froid était suédois (3:1)

Il n'y a pas que la distance géographique qui sépare la Suède et l'Australie qui s'affrontent aujourd'hui en quart de finale de la Coupe du Monde Féminine de la FIFA, Allemagne 2011™. Le vécu de ces deux outsiders n'a pas réellement de commune mesure à ce stade de la complétion. Les Scandinaves sont presque abonnées à la deuxième phase de l'épreuve reine, tandis que les Matildas ont découvert les matches de Coupe du Monde à éliminations directe en 2007.

C'est peut-être cette précieuse expérience qui permet à la Suède d'attaquer cette rencontre pied au plancher. Les coéquipière de Lotta Schelin pressent haut dans le camp australien, et cette dernière est toute proche de profiter d'une passe en retrait trop molle de Colette McCallum.

Schelin est partout, elle se débarrasse d'Ellyse Perry à gauche de la surface et offre un caviar en retrait à Thérèse Sjögran qui marque d'une frappe au raz du poteau (1:0, 11'). Le ton est donné, et la buteuse donne à son tour une offrande quelques minutes plus tard. La vétérante scandinave crochète sur le côté gauche et dépose un centre sur la tête de Lisa Forsberg, qui décroise en pleine lucarne (2:0, 16').

Deux buts en cinq minutes, le coup porté est rude. Le soleil de 13h qui chauffe le stade d'Augsbourg n'aide pas les Australiennes à sortir la tête de l'eau, face à des Blagut déchainées. Elles parviendront pourtant à réduire le score sur un exploit personnel. L'arrière droite Perry reçoit un ballon en retrait sur corner et expédie une frappe pied gauche dans la lucarne opposée (2:1, 40').

La punition de Schelin

Cet exploit autorise les joueuses de Tom Sermanni à revenir de la pause dans de meilleures dispositions. Malheureusement pour elles, elles n'ont pas entendu l'avertissement de Schelin en tout début de rencontre. C'est cette fois la malheureuse Kim Carroll qui s'essaie à la passe en retrait hasardeuse. La longiligne attaquante de l'Olympique lyonnais n'attendait que ça. Elle dévore l'espace à toute vitesse, se présente seule face à Melissa Barbieri et lui inflige un grand pont plein de sang froid, avant de marquer dans le but vide (3:1, 52').

Les Australiennes tentent de réagir et s'offrent quelques temps forts dans le camp suédois.Tameka Butt adresse un centre à Kyah Simons, qui ne parvient pas, loin s'en faut, à cadrer sa tête. Butt décide de tenter elle même sa chance d'une frappe lointaine qui rase la lucarne (81').

Mais rien ne permet réellement aux Matildas d'espérer renverser la vapeur, et le coup de sifflet final sonne la fin de leur séjour en Allemagne. La Suède affrontera en demi-finale le Japon, tombeur surprise la veille du pays hôte, et se qualifie du même coup pour Londres 2012.

Joueuse du match : Lotta Schelin

http://fr.fifa.com/womensworldcup/video/video=1472491/index.html

pour moi c etait logique ... la Suede ete favoris . Les Bresiliennes joues a quel heure ?

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