coupe du monde des femmes 2011

Citation :: Le Japon surclasse la Suède

http://fr.fifa.com/womensworldcup/highlights/video/video=1474718/index.html

c est vraiment la surprise le Japon ... mais contre les Americaine ils vont avoir du mal

Citation :: Necib et Bompastor nommées
Eliminées en demi-finale de la Coupe du monde par les Etats-Unis (3-1), les Françaises sont représentées par deux joueuses dans la liste de 12 dévoilée par la Fifa vendredi pour l'élection de la meilleure joueuse de la compétition. L'arrière gauche, Sonia Bompastor, et la milieu de terrain offensive, Louisa Necib sont en concurrence avec les Américaines Hope Solo, Lauren Cheney et Abby Wambach, les Japonaises Aya Miyama, Homare Sawa et Shinobu Ohno, les Suédoises Caroline Seger et Lotta Schelin ainsi que l'Allemande Kerstin Garefrekes et la Brésilienne Marta. Les votants seront les journalistes accrédités en Allemagne.

sa sera Cheney je pense .

moi je vois bien une japonnaise la meilleur joueuse du mondial

Citation :: Trois changements contre la Suède
Bruno Bini effectue trois changements dans son onze de départ pour affronter la Suède samedi pour la 3e place du Mondial allemand (17h30).

La latérale lyonnaise Corine Franco (à gauche) jouera son premier match dans le Mondial allemand avec Sandrine Soubeyrand, la capitaine des Bleues. (REUT)
La France tentera samedi de décrocher la troisième place de la Coupe du monde face à la Suède avec une équipe légèrement modifiée par rapport à celle qui s'est inclinée mercredi en demie contre les Etats-Unis (1-3). Le sélecvtionneur Bruno Bini titularise pour la première fois Corine Franco, la joueuse de Lyon remplaçant Laure Lepailleur dans le couloir droit. La charnière centrale Renard - Georges, titulaire face à l'Allemagne en phase de poules (2-4), est reconstituée. A gauche, Sonia Bompastor complète cette défense 100% lyonnaise. Au milieu, Bini reconduit le même milieu que contre les Américaines, avec Bussaglia et Soubeyrand à la récupération et le trio Thiney - Necib - Abily un peu plus haut. Dernier changement, Marie-Laure Delie, touchée à la cuisse gauche, a écourté la mise en place et cède sa place à Eugénie Le Sommer à la pointe de l'attaque. -T.S.

L'équipe probable
Sapowicz - Franco, Georges, Renard, Bompastor - Bussaglia, Soubeyrand - Abily, Necib, Thiney - Le Sommer.

j espere qu elles vont gagné et avoir l envies apres leur défaite

Citation :: Enjeu ''européen'' pour les Bleues
Dans la petite finale, la France devra battre la Suède à Sinsheim (17h30) si elle veut terminer meilleure nation européenne du tournoi. Un enjeu important pour Bruno Bini.

Aprés l'Allemagne et l'Angleterre, Gaëtane Thiney et les Françaises affrontent la Suède, un autre cador européen. (EQ)

«Pour se rassurer, on se dit que le Brésil et l'Allemagne sont chez eux depuis longtemps.» Bruno Bini mesure l'importance d'être encore en vie dans ce Mondial. Face à la Suède, elle aussi qualifiée pour les JO, le coach des Bleues répète qu'il y a de l'enjeu : «Même s'il y a moins de monde, moins d'effervescence, il y a quand même la troisième place de la Coupe du monde et le titre de meilleure nation européenne en jeu. Nous avons encore de beaux challenges à relever et comme ce sont des guerrières, elles vont s'accrocher.»

La France pourrait terminer sur le podium d'une Coupe du monde pour la première fois de son histoire. Et ça, c'est important. Surtout pour Sandrine Soubeyrand, qui évolue depuis plus de 14 ans en équipe de France, et qui pourrait (enfin) inscrire une petite ligne à son palmarès : «Nous n'avons pas encore eu de médaille et c'est ce que nous visons. Cela récompenserait notre parcours allemand et les deux ans de travail qui ont précédé. Ce serait un aboutissement collectif.»

Lotta Schelin et le lasso de Bini

Pour parvenir à leurs fins, les coéquipières de Corine Franco, qui sera titulaire pour la première fois dans ce Mondial, devront résoudre une équation à deux inconnues. D'abord répondre au défi physique suédois puis museler la virevoltante Lotta Schelin (Photo Reuters). Comment ? «Avec un lasso...Comme les cowboys», s'amuse Bini avant de redevenir sérieux : «Lotta a presque toutes les qualités pour être la meilleure joueuse du monde mais il lui en manque une : elle n'est pas française ! C'est une fille épatante, un modèle de sympathie et de gentillesse.» Un compliment que la Suédoise a apprécié : «Bini, il est gentil.»

La Lyonnaise, un peu enrhumée vendredi matin, a aussi loué les qualités du jeu français : «Ce n'est pas une surprise pour moi. La France ne se savait peut-être pas aussi forte mais moi je sentais les filles capables de faire ce qu'elles ont fait». Avec dix Rhodaniennes dans l'effectif tricolore, Schelin connaît bien l'équipe de France. Et vice versa. Alors avantage ou inconvénient ? «Elles me connaissent bien, elles savent ce que je peux faire quand je suis en forme. Mais moi aussi. Ça peut également être un avantage pour nous.» Si elle dit vouloir «éviter» le contact physique avec la «costaude» Laura Georges, Schelin aimerait bien danser le Logobitombo une dernière fois dans cette Coupe du monde.

Les équipes probables
France : Sapowicz - Franco, Georges, Renard, Bompastor - Bussaglia, Soubeyrand - Abily, Necib, Thiney - Le Sommer.
Suède : Lindahl - Svensson, Larsson, Rohlin, Thunebro - Dahlkvist, Fischer, Forsberg, Sjögran, Schelin, Öqvist.

ah ben oui j avais pas tilté pour ça happiness

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Citation :: La Suède refroidit les Bleues
Pourtant à onze contre dix dès la 70e, les Bleues se sont inclinées face à la Suède dans la petite finale (2-1). La Suède remporte, elle, une deuxième médaille de bronze après celle de 1991.

La Suédoise de Lyon, Schelin, a ouvert le score pour les siennes contre la France.(REUT)

Assises par terre le regard vide ou les mains posées sur leurs hanches, les Bleues peuvent être déçues. Elles n'ont pas pu arracher la troisième place face à des Suédoises déterminées. A dix contre onze, les partenaires de Schelin terminent troisième de la Coupe du monde et deviennent la meilleure nation européenne du tournoi.

Sur le terrain, Bini avait décidé de titulariser Franco sur le côté droit de la défense et Renard dans l'axe. Delie, blessée, a, elle, cédé sa place à Le Sommer. Côté suédois, la capitaine Caroline Seger, blessée elle aussi, n'a pas pris part à cette consolante. Dans un match rythmé, les Françaises ont souffert dans l'impact physique surtout que Kari Seitz, l'arbitre américaine, n'a que très peu sévi. Et même si encore une fois dans ce Mondial, les Bleues ont été séduisantes offensivement en créant souvent les bons décalages, elle n'ont pas été en grande réussite (19 tirs, 1 but). Point noir, elles ont souvent pris froid derrière.

Hammarstrom marque un but fantastique

Schelin n'a cessé de harceler Renard et Georges et a (trop) souvent enrhumé la défense française grâce à sa vivacité. Par ses appels incessants, elle a semé la pagaille jusqu'à trouver la faille (1-0, 29e). Une minute terrible pour les Bleues qui ont aussi perdu sur blessure Sapowicz puis Necib. Ces changements forcés ont quand même eu du bon. Surtout quand Thomis est passée dans l'axe et que Le Sommer, transparente jusque-là, a été décalée à droite. La vitesse et la vista de la Lyonnaise ont fait mouche une fois (1-1, 56e) et ont vraiment mis à mal le bloc défensif des Scandinaves. Renard et ses nombreux alignements hasardeux ont, par contre, faillit coûter cher mais le lob d'Oqvist a heurté le poteau de Deville (64e). Coupable d'un mauvais geste, la Suédoise a ensuite écopé d'un rouge même si Bompastor, qui fut conspuée par la suite, en a rajouté (68e).

Ce coup du sort aurait dû permettre aux Françaises de mettre le feu. Ça n'a pas été le cas. Bizarrement, les filles de Bini n'a jamais pu prendre l'ascendant et le coup de canon d'Hammarstrom a définitivement douché des Françaises peu inspirées après leur égalisation (2-1, 82e). Comme en 1991, la Suède a réussi à glaner cette médaille de bronze. La France termine, elle, ce Mondial un peu tristement mais elle rentre au pays avec le sentiment du devoir accompli avec la qualification pour les prochains JO de Londres en poche. Mais elle a aussi réussi à susciter l'engouement et le respect en France. Ce n'était pourtant pas gagné.

Citation :: Necib : «La place du c...»
Contre la Suède (1-2), les Françaises ont notamment manqué de fraîcheur Bruno Bini a critiqué le comportement du public et l'arbitrage.

Necib estime que la quatrième place est la pire pour une équipe.(EQ)
La rage de Sonia Bompastor au coup de sifflet final et les petites voix des joueuses françaises en zone mixte traduisaient bien la déception du clan tricolore. Même si les Bleues retiendront la qualification pour les JO et leurs parcours historique, elles n'auraient pas pensé que cette Coupe du monde s'achèverait de la sorte. «Pardonnez-moi l'expression mais nous sommes un peu à la place du c... Nous repartons sans rien. La médaille n'aurait pas pesé bien lourd mais nous allons retenir la qualification pour les Jeux», avoue Louisa Necib qui est repartie en France avec une entorse du genou droit. Mais comment la France a t-elle fait pour laisser passer ce match alors qu'elle a évolué à onze contre dix lors des 25 dernières minutes ? «Parfois, quand nous sommes à onze contre dix, c'est plus difficile. Nous voulons jouer vite vers l'avant, on se dit qu'on a l'avantage et on oublie un peu notre jeu. C'est peut-être ce que nous avons fait», explique Thiney.

Bini fustige l'arbitrage

Mais pour Bruno Bini, le tournant du match, c'est le public de Sinsheim qui a conspué Sonia Bompastor. Les spectateurs l'ont pris en grippe, l'accusant sans doute d'en avoir rajouté après le coup de pied d'Oqvist, finalement exclue : «La façon dont Sonia s'est faite siffler a été lamentable. Nous sommes dans le foot des garçons, ce n'est pas le foot que j'aime. Ça a déstabilisé l'équipe mais pas Sonia car elle a continué à faire son match. Ce qu'elle a fait, c'est la grande classe.» Le sélectionneur français n'a d'ailleurs toujours pas digéré le second but suédois : «Si je joue ma qualification pour les JO sur ce corner en bois (ndlr : il n'y avait pas corner avant la réalisation adverse), je me pends en rentrant dans ma chambre.»

Après avoir souffert face à l'Allemagne, fait 120 minutes dantesques contre l'Angleterre et tenu tête aux USA en demies, la France a livré le combat de trop.
Sandrine Soubeyrand s'est, elle, montrée plus dure quant à la performance de son équipe : «Aujourd'hui, nous avons été stériles, nous avons manqué de percussion, de changements de rythme. Il a manqué beaucoup de choses car techniquement c'était moyen.» Mais tout le monde s'est accordé sur un point : le manque de jus. Après avoir souffert face à l'Allemagne, fait 120 minutes dantesques contre l'Angleterre et tenu tête aux États-Unis en demies, la France a peut-être livré le combat de trop face à d'imposantes suédoises : «Il fallait avoir l'envie et les jambes mais je ne suis pas sûr que les jambes suivaient tout le temps», confie Soubeyrand. Même constat du côté de Camille Abily : «La fatigue s'est faite sentir. Nous avons manqué de fraîcheur, nous n'avons pas su poser notre jeu comme nous avions su le faire auparavant. Il y a beaucoup de déception, nous avions à coeur de mieux finir.» On reverra donc ces Bleues en août pour un amical du côté de Zilona Gora en Pologne. Sans effervescence.

ouai enfin c est la loie du foot hein ... tant pis et c est deja enorme ce qu elles ont fait . Perso je vois pas l interet d une 3eme place sa sert a rien on retient toujours le 1er le reste c est inutile

Citation :: La Suède couronnée d'une médaille

L'équipe de France aborde ce match avec le léger avantage d'avoir déjà joué une fois à Sinsheim. C'était leur toute première rencontre, une victoire face au Nigeria, dans cette Coupe du Monde Féminine de la FIFA, Allemagne 2011,

Les Françaises prennent d'entrée l'initiative du jeu, construisant leurs actions et dominant à la possession. Les Suédoises adoptent un style beaucoup plus direct. Mais aucune action n'aboutit sur une occasion digne de ce nom dans le premier quart d'heure, et la Neckar Rhein Arena commence à s'impatienter. Message reçu pour les Suédoises qui accélèrent et obtiennent deux corners consécutifs. Le premier donne à Bérangère Sapowicz l'occasion de s'échauffer sur une tête trop molle (14') et le second de manquer sa sortie, heureusement sans conséquence (15').

La réplique française est initiée par Sonia Bompastor, qui réussit une percée rageuse sur la gauche. Elle centre, puis fini par voir le ballon lui revenir et tente sa chance d'une puissante frappe contrée (24'). Mais c'est son impitoyable coéquipière de l'Olympique lyonnais qui se charge d'ouvrir le score. Lotta Schelin converti sa première occasion sur une ouverture lumineuse de Sara Larsson (1:0, 29').

Deux autres mauvaises nouvelles accompagnent la France qui subit cette ouverture du score. Bérangère Sapowicz s'est blessée sur le but de Schelin, et Louisa Necib jette l'éponge après un choc subi quelques minutes plus tôt. Elles sont respectivement remplacées par Celine Deville et Elodie Thomis. C'est Elise Bussaglia qui a ensuite les plus belles occasion françaises de cette seconde mi-temps. La milieu de terrain du Paris Saint-Germain trouve d'abord le poteau sur une frappe à l'entrée de la surface (36'), puis oblige cinq minutes plus tard Hedvig Lindahl à se coucher sur une action similaire (41'). Juste avant la pause, les Scandinaves manqueront de doubler le score par Schelin qui se présente seule face Deville, mais la gardienne reste solide sur ses appuis (45+4).

Coup d'éclat et de grace

Les Françaises égalisent dix minutes après la pause par Thomis. La Lyonnaise, très remuante depuis son entrée en jeu, profite d'un beau ballon en profondeur de Gaetane Thiney et ajuste la portière Blagut au raz du poteau (1:1, 56').

Les Bleues continuent à jouer haut et veulent prendre l'avantage. Elle se font très peur en oubliant Josephine Oqvist sur la gauche. Cette dernière se présente seule face à Deville, mais croise un peu trop son ballon et trouve le poteau. Thomis continue à accélérer et obtient un corner sur lequel sa coéquipière en club Wendie Renard manque le cadre de peu (65').

Les Scandinaves se voient réduites à dix suite à l'expulsion d'Oqvist, suite à un accrochage avec Bompastor, ce qui n'enlève rien à leur détermination, bien au contraire. C'est sur un nouveau corner que les rêves de médaille des Tricolores commencent à s'effriter. Marie Hammarstrom, entrée en jeu vingt minutes plus tôt, récupère le ballon à l'entrée de surface, feinte la frappe puis pars sur son pied gauche et fait parler la foudre en pleine lucarne (82'). Les joueuses de Bruno Bini ne s'en remettent pas et le coup de sifflet final vient sonner la fin d'un beau parcours, et le début d'une belle cérémonie en l'honneur des Suédoises, qui repartent d'Allemagne avec une médaille de Bronze.

Joueuse du match : Sara Larsson

http://fr.fifa.com/womensworldcup/highlights/video/video=1476061/index.html

tu t es pas tromper Zam sur le resumé ? l image que j ai c est JPN SWE . tu t es pas remis de la defaite de l Argentine Mr Green

Gracias señor Spouck, tu vois que l'Argentine soit sortie ça me fait chier pour Messi, mais ce n'est pas immérité, l'Uruguay mérite par leur attitude et Forlan, vendez Gignac et compagnie c'est lui qui nous faut à l'OM même à son âge, et Suarez c'est vraiment le top.

je suis a 10000% d accord j adore ces 2 joueurs . Un des deux a l OM ...mon reve et j aurais mon maillot bleu mdr

Citation :: Le Japon terrasse l'ogre américain
Largement dominées par les Américaines, les Japonaises ont tout de même réussi à remporter la Coupe du monde (2-2, 3-1 tab).

Les Japonaises exultent après l'égalisation à 2-2.(REUT)
Presque volées par les Américaines en demi-finale, les Françaises pourront au moins se dire que leurs bourreaux ont connu le même sort, mais en finale... Numéro 1 au classement FIFA, les Etats-Unis ont été surpris par le Japon alors qu'ils avaient mené deux fois au score (2-2, 3-1 tab) dans une rencontre terriblement plaisante. C'est tout de même un petit miracle que les Asiatiques aient remporté ce titre tant elles ont paru dépassées surtout pendant la première heure de jeu.

Tombeuses des organisatrices allemandes, deux fois vainqueur du Mondial, puis de la Suède, les Nadeshiko n'ont pas pu imposer leur technique, leur jeu au sol. Mais le sort a été de leur côté, puisque les montants ont repoussé trois tentatives yankees dans les cinquante premières minutes de jeu (18e, 29e, 49e). Sortie à la pause, Cheney avait même failli marquer après... vingt-neuf secondes ! Mais les joueuses de Sundhage se sont montrées trop maladroites et la gardienne japonaise, Kaihori, a sorti un grand match. Il a donc fallu vingt-six duels pour voir le Japon battre les Etats-Unis. Mais ce premier succès, en finale de la Coupe du monde, entre directement dans l'histoire puisque c'est aussi le premier titre du football asiatique chez les femmes.

Morgan a tout fait... avant de voir les USA craquer

Entrée à la pause, la jolie américaine Morgan (photo Reuters) a cru s'être muée en héroïne. Elle a marqué son dixième but en vingt-cinq capes en faisant preuve de sang froid sur une superbe ouverture de Rapinoe à la 69e. Elle a ensuite offert un centre décisif à l'inévitable Wambach qui a marqué de la tête, comme d'habitude, son treizième but en phase finale de Coupe du monde (104e). Et elle a forcé l'expulsion d'Iwashismizu (120e).

Mais le Japon a trouvé des réserves pour rester dans le match. Miyama avait permis au Japon de conserver un espoir de titre en marquant sur une demi-occasion, obtenue suite à une énorme bourde défensive des Etats-Unis (81e). L'incroyable Sawa a marqué d'une talonnade aérienne le but du 2-2, son cinquième en six matches dans cette compétition (116e). Sonnées, les expérimentées Américaines ont tout simplement jeté le match par la fenêtre en manquant trois tirs au but sur quatre lors de la séance fatidique. Fatal error.

eh ben il y a une justice . Mais bon c est pas merité c est sa qui est dégeu dans l histoire . Bravo Japonnaise car faut les mettre les penos

EUh tu as pas vu le match pour dire que c'est pas mérité Mr Green

. Les Japonaises on briller techniquement avec souvent des phases offensive à une touche de balle. Elles ont tenu un pressing haut tous le long du match. l'article au dessus ne reflète absolument pas le match que j'ai vu hier. Elles ont été dominé que sur le nombre d'occasion, mais dans le jeu elles ont répondu présentent avec un petit plus technique pour les nipponnes.

Non cette article est digne des mauvais reporter de l'Equipe ( je paris que ça vient d'eux d'ailleurs). Alors que tu va voir un vrai chroniqueur Eurosport par exemple "Un soleil au Zenith", ...il est où la domination outrageuse ???