Campeonato Sudamericano Copa América

je vais te piqué les photos car elles sont bien les tiennes Mr Green

merci Zam . Moi j ai mon Uruguay happy

. Jjacq sa se voit que tu regarde tres peu le foot siffle

. Il y a toujours eu 23 joueurs en grande competition international Mr Green

. La nouveauté c est que tout le monde est sur le banc

Citation :: Le nouveau monde.

Cette nuit, la Copa America ouvrira ses portes depuis les terrains argentins. Alors que la plupart des médias n’auront d’yeux que pour l’Albiceleste et le Brésil, cette 43e édition de la plus grande compétition sud-américaine s’annonce plus indécise que jamais. La faute à des outsiders aux dents longues.

12 mois après l’explosion d’un football aux yeux du monde, l’heure du coup d’envoi a sonné pour les 10 équipes du continent sud-américain et leurs invités avec la 43e Copa America. Avant de se lancer dans la présentation des groupes, petit rappel historique.

L’hégémonie rioplatense.

L’histoire de la Copa America trouve ses racines dans un mini-tournoi organisé par l’Argentine pour commémorer le centenaire de la Révolution de Mai et qui accueillait Uruguay et Chili. Six ans plus tard, le premier Campeonato Sudamericano se déroulait à Buenos Aires et voyait l’Uruguay s’imposer devant l’Argentine, le Brésil et le Chili. La future Copa America était née. 5 ans plus tard le Paraguay se joignait aux quatre autres nations et allait, comme les autres subir la loi du football rioplatense.

Car les années 20-30 seront les années Uruguay – Argentine. Si nombreux sont les suiveurs actuels à s’enthousiasmer devant le toque barcelonais, celui-ci trouve dans le football rioplatense des années 20 un véritable ancêtre. A l’époque, l’Uruguay domine le monde du football (suprématie ponctuée par le premier titre mondial de l’histoire et deux titres olympiques (1924 et 1928)) et son principal rival reste l’Argentine. Tous deux développent un football léché basé sur le jeu de passe : ils écrasent la compétition remportant à eux deux 21 des 24 premières éditions !

Petit à petit, la compétition prend du volume (Bolivie et Pérou arrivent en 1926 et 1927, l’Equateur la rejoint en 1929) mais va ensuite connaître de grandes turbulences entraînant sa refonte.

Vacillements, interruptions et nouveau départ.

Les années 40-50 vont être les années de la désorganisation. Le championnat se joue à intervalles irréguliers (citons par exemple la triple victoire argentine en 1945 – 1946 et 1947) voire même deux fois dans la même année (1959), accentuant le discrédit qui commence à toucher l’épreuve. Ces atermoiements conduiront à la suspension de l’épreuve pendant 8 ans en 1967. Lorsqu’elle refait surface en 1975, elle acquiert son nom définitif, Copa America mais reste étalée dans le temps, l’épreuve se déroulant sur l’année, comme une phase de qualification pour une Coupe du Monde. Il faudra attendre le milieu des années 80 pour qu’enfin, la Copa America trouve un format proche de celui du championnat d’Europe des Nations.

10 qualifiés, 2 invités.

L’équivalent de l’Euro version Amérique Latine se distingue de son homologue par l’absence de phase qualificative. Et pour cause, la CONMEBOL n’est composée que de 10 nations. Ainsi, depuis 1993, deux équipes, le plus souvent issues de la CONCACAF sont invitées pour former le nombre de 12. Le plus souvent invité, celui qui participe à la Libertadores : le Mexique qui aura toujours atteint au moins les quarts de finale (3 fois troisième, 2 fois second).

Palmarès : toujours le rioplatense mais le Brésil se rapproche.

Ultra-dominateurs dès le début de l’épreuve, Uruguay et Argentine trustent les titres (14 chacun). Sauf que depuis le milieu des années 90, les deux géants sud-américains ne brillent plus au profit du Brésil. Vainqueur de quatre des cinq dernières éditions, la Seleção se rapproche au palmarès et se verrait bien décrocher un neuvième titre avant d’espérer le dixième lors de la prochaine édition que le pays accueillera en 2015. Restent les stats : l’Argentine accueille sa neuvième Copa America et en a remporté six sur ses terres. Détail amusant, les trois perdues le furent au profit de la même nation, celle située de l’autre côté du fleuve du même nom : l’Uruguay. Faut-il y voir un signe ?

Quoi qu’il en soit, après la prise de pouvoir en 2010 du continent sud-américain, l’édition 2011 s’annonce comme l’une des plus excitantes de ces dernières années.

aller l Uruguay Pom Pom

... serait ce un signe ... ben je l espere en tout cas

Citation :: Présentation du groupe A

Messi, Campbell, Martins et Gutierrez

Derrière le favori argentin, le groupe du pays hôte s’annonce ouvert : car même en l’absence du Japon, Colombie, Bolivie et Costa Rica s’annoncent comme autant de pièges potentiels.

Une myriade d’individualités : l’équipe de Sergio Batista s’annonce comme le grand favori de la compétition mais devra surtout, outre la pression énorme qui pèsera sur ses épaules, enfin trouver une dynamique collective. Car si les Messi, Tevez et autres Higuain et Di Maria n’ont pas forcément brillé en Afrique du Sud, ils n’auront pas le droit à l’erreur sur leurs terres. L’Argentine dispose d’un formidable groupe et nul doute que les retours en grâce de Cambiasso et Zanetti viendront redonner certaines garanties à la nation la plus titrée de l’épreuve.

Il faudra cependant se méfier de la Colombie. Avec un potentiel offensif impressionnant, le duo Falcao – Rodallega supplanté par l’émergence du jeune Teófilo Gutiérrez et appuyé par l’ancien stéphanois Fredy Guarín, une assise défensive expérimentée à l’image de l’ex-parisien et néo-champion d’Italie, Mario Yepes et du madrilène Luis Perea, la sélection d’Hernán Darío Gómez a beau sembler en reconstruction, elle a tout de l’outsider. Elle devrait cependant accompagner l’Argentine au tour suivant.

Car derrière, le remplaçant du Japon, le Costa Rica, traumatisé par le décès de Dennis Marshall et décevant lors de la Gold Cup, a fait le choix de présenter en Argentine une équipe bis. Pas de Bryan Ruiz, ni d’Álvaro Saborío mais à leur place, la génération des espoirs, quatrième mondiaux des moins de 20 ans en Egypte avec notamment le joueur de Saprissa David Guzmán. A suivre tout de même, l’attaquant de Cartaginès Randall Brenes, rare « expérimenté » (entendre joueur de plus de 25 ans) de la sélection présente en Argentine et le gamin de Saprissa Joel Campbell, énorme lors de la Gold Cup des moins de 20 ans au cours de laquelle le Costa Rica s’est incliné en finale.

Reste la Bolivie : auteure d’une énorme sensation lors des phase de qualification pour la Coupe du Monde lorsqu’elle avait balayé l’Argentine de Maradona 6-0, la Bolivie, qui ouvrira justement face à son ancienne victime, parait également un cran en dessous. Attention cependant au principal atout offensif de la Verde Marcelo Martins. Propriété du Shakhtar, ancien meilleur buteur de la Copa Libertadores lors de son passage à Cruzeiro. Finaliste en 1997, la Bolivie n’a depuis plus jamais passé la phase de groupe. Cette édition 2011 s’annonce délicate.

tu donne qui en favori Zam ? Je pense que l Argentine va l emporter ... une foie de plus lol!

J'aime bien le Brésil, mais une victoire de l'albiceleste ne me dérangerai pas et ce serait le premier titre pour Messi en selection...

Citation :: Présentation du groupe B

Neymar, Caceres, Caciedo et Rondon

Groupe B comme Brésil ? Favori de la compétition, la Seleção de Mano Menezes n’est pourtant pas tombé dans un groupe si facile. Car entre Paraguay, Equateur et Venezuela, les outsiders ont les dents longues.

Nombreux sont ceux à penser à une qualification tranquille du Brésil : emmené par Neymar, Ganso, Jádson, et autres Robinho, le retour du Joga Bonito prôné par Mani Menezes a tout pour séduire. Le Brésil a remporté quatre des cinq dernières éditions, comblant quelque peu son retard sur les deux Celestes. Sortir du groupe B devrait être un minimum en 2011 mais il faudra aux Auriverde bien de la prudence.

Car avec eux, l’une des révélations du mondial sud-africain : le Paraguay. Un potentiel offensif impressionnant (Santa Cruz, Cardozo, Barrios, Valdez), une solide défense (aucun but encaissé lors des quatre dernières rencontres), les Guaraníes de Gerardo Martino n’auront qu’une ambition : confirmer leur excellent parcours sud-africain. Attention à cette équipe qui pourrait bien s’inspirer du parcours de ses deux clubs en Libertadores : Libertad avait survolé son groupe avant de tomber en quarts alors Cerro Porteño était demi-finaliste après avoir fait tomber le tenant du titre. A surveiller : le gardien du Cerro Porteño Diego Barreto qui pousse dans l’ombre de l’icône Justo Villar, l’excellent défenseur de San Lorenzo Aureliano Torres et le très bon milieu défensif de Libertad, Víctor Cáceres.

Derrière les deux favoris annoncé, deux équipes en progression. Le Venezuela a fait le pari de réorganiser sa formation et ne cesse de grandir comme en atteste le quart de finale atteint, pour la première fois de son histoire, en 2007. Cela risque cependant d’être délicat pour une équipe qui tentera surtout d’accrocher les gros le plus possible. José Salomón Rondón gamin de 21 ans, grand espoir local.

Dernier membre du quatuor, l’énigmatique Equateur. Derrière sa star Antonio Valencia, la sélection de Reinaldo Rueda a tout pour jouer le rôle de trouble-fête. Les expérimentés Néicer Reasco (LDU), Édison Méndez (ex-LDU désormais à Emelec) ou encore le jeune prometteur Felipe Caciedo sont autant d’atouts d’une sélection qui cherche enfin à trouver un second souffle continental. Depuis le quart de finale de 1997, l’Equateur n’a en effet plus passé le premier tour.

Zamorano66 a écrit:: J'aime bien le Brésil, mais une victoire de l'albiceleste ne me dérangerai pas et ce serait le premier titre pour Messi en selection...

lol c est vrais , c est vrais je l avais oublier celui la . En plus en Argentine , il n est pas si populaire que ça . Si il vient a faire gagné son equipe sa cote risque de grimpé

et qui c'est s'il gagne il aura peut-être un ballon d'or Mr Green

ben meme sans ça il l aura . Personne sur la saison ne merite mieux que lui . Du moins en europe

Citation :: Présentation du groupe C

Nicolas Lodeiro, André Carrillo, Felipe Gutierrez et Ulises Davila

Dernier des trois groupes, le groupe C a tout ce qu’il faut pour mériter l’appellation certifiée : groupe de la mort.

Afrique du Sud 2010 : l’Europe croit en l’Argentine de Messi et au Brésil de Kaká. Personne n’a en effet vu venir les émergents et va prendre de plein fouet la tornade chilienne et la surprise uruguayenne. En France, les grands médias n’ont pas non plus vu venir l’émergence du Mexique (Patrice Evra s’en souviendra désormais).

Conclusion ? L’Uruguay termine quatrième nation mondiale, le Chili excite les suiveurs, le Mexique ridiculise la France et tombe face à l’Argentine.

2011, les voici tous trois dans le même groupe. Difficile de pronostiquer ?

Favori logique du groupe, l’Uruguay et ses trois attaquants de classe mondiale Forlán, Suárez et Cavani, sa défense monstrueuse comptant notamment des joueurs comme Mauricio Victorino ou encore Diego Godín, son redoutable milieu emmené par le duo de Porto Cristian Rodríguez - Álvaro Pereira et ses futures pépites comme les jeunes Nicolás Lodeiro (22 ans), Abel Hernández (20 ans). Plus qu’un favori de groupe, l’Uruguay est un favori pour le titre final. Qu’on se le dise.

Derrière, le Chili viendra pour confirmer. Si le talent de cette équipe n’en finit plus d’éclabousser l’Europe (voir l’engouement pour Alexis Sánchez), reste à savoir comment l'ArgentinClaudio Borghi, pour les plus vieux Tobb, rappelle toi le coup du foulard c'était lui (1985), parviendra à fructifier l’héritage Bielsa. Reste que le potentiel offensif du Chili, qui pourra compter sur un Humberto Suazo en pleine forme, s’annonce exceptionnel. Ajouté à la belle série de l’équipe nationale, la bonne performance de la Católica en Libertadores (l’une des plus belles équipes de l’édition 2011 à n’en pas douter), le Chili a tout pour franchir le premier tour. Felipe Gutiérrez, révélation du tournoi d’ouverture avec la Católica.

Troisième mondialiste, le Mexique. Sur le papier, voir la Tri concourir aux côtés du Chili et de l’Uruguay s’annonçait exceptionnel. Sauf que le Mexique se présente en Argentine avec une équipe bis, sa sélection olympique et, alors que l’épreuve n’a pas encore commencé, a renvoyé huit joueurs à la maison suite au scandale mettant en scène quelques prostituées. Les A avaient ouvert la Gold Cup par l’exclusion de cinq joueurs pour des sombres affaires de dopage, les olympiques eux, font dans la prostitution. Difficile alors de déterminer quelle sera la valeur d’une équipe mexicaine qui devrait s’appuyer sur l’expérience d’Héctor Reynoso en défense et dont le chef de file technique sera l’ancien barcelonais Giovani Dos Santos et qui viendra nous présenter ses stars de demain, à commencer par Ulises Dávila.

Pour 2011, le Pérou, pari sur plusieurs années de nouvel entrant dans le paysage. La Blanquirroja n’arrive pas en Argentine avec des ambitions de titre, la jeune génération avec quelques « anciens » comme Santiago Acasiete ou l’une des stars nationale Juan Manuel Vargas en chef de file, devra faire sans Pizarro ni Farfán, blessés et s’appuiera sur Paulo Guerrero pour animer son attaque. Malheureusement minée par les blessures, notamment lors du dernier match face à un trop rugueux Sénégal, le Pérou arrive fortement diminué. Pensez tout de même à jeter un œil sur quelques gamins de la sélection de Sergio Markarián comme André Carrillo, grand espoir du pays.

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cette nuit sur Canal + 2h45, ou gratuitement sur YOUTUBE https://www.youtube.com/user/CopaAmerica

3h du mat

mon dieux la pas sur que je tienne lol!

Citation :: La présidente manquera l'ouverture
La présidente argentine Cristina Kirchner n'assistera pas à Argentine-Bolivie, match d'ouverture de la Copa America (02h45), en raison de «problèmes d'emploi du temps». Le Premier ministre Anibal Fernandez la représentera à La Plata au côté du président bolivien Evo Morales.

ah ben voila pourquoi c est si mou lol!

pas de motivation Green Wistle

Citation :: L'Argentine tombe sur un os bolivien

Les matches d'ouverture réservent souvent des surprises, la Copa America 2011 n'y a pas échappé: la Bolivie a neutralisé vendredi à La Plata l'Argentine (1-1), grand favori du tournoi qu'elle organise, un petit coup de tonnerre dans un froid polaire.

Un but de Rojas dès l'entame de la seconde période (47e), sur lequel Romero n'était pas exempt de reproche, refroidissait sérieusement une ambiance chaleureuse mais par une température polaire. Romero se rachetait néanmoins en remportant son double face à face avec Martins (64e).

Et le temps filait, filait, et le jeu offert par l'Argentine en première période, fondé sur la possession de balle, se délitait peu à peu. Jusqu'à ce qu'Agüero, cinq minutes à peine après son entrée en jeu, égalise à l'issue d'un jeu en triangle (75e). Et tout le stade se remettait à chanter !

Il reste des réglages à faire dans cette équipe; déjà, elle avait dû attentant une demi-heure pour voir un tir cadré, par Tevez, servi par Messi. Le ballon circulait mais les Argentins peinaient à mettre le gardien adverse en danger.

Messi était pourtant très actif, du moins au début, son influence déclinant au fil du match. Il partait de loin, comme il l'affectionne tant, avant de délivrer une passe tranchante à Tevez ou Lavezzi. Un retour bolivien ou une dernière maladresse, comme ce tir trop croisé de Lavezzi (25e), empêchait néanmoins le déblocage du score.

A la possession toute barcelonaise, l'Argentine ajoutait aussi un zeste d'individualisme, avec Banega ou Tevez partant dans des séries de dribbles souvent infructueuses, ou de déchet technique, à l'image d'un Lavezzi brouillon.

La domination était pourtant totale, et le 4-3-3 argentin se muait en 3-4-3, avec Mascherano descendant en défense et les deux latéraux montant d'un cran. Les Boliviens semblaient de toute façon bien inoffensifs. Il ne faut pas se fier aux apparences...

Du frisson ? La première période en fut avare, hormis peut-être ce spectaculaire raté acrobatique de Cambiasso, butant sur le gardien alors qu'il avait le but grand ouvert (33e), à l'issue d'une action Messi-Lavezzi.

Le frisson, il était dans les tribunes, où le public avait ses deux chouchous, Messi le meilleur, et Tevez le préféré. Au jeu de l'applaudimètre, avant le début du match, c'est d'ailleurs ce dernier qui a gagné, déclenchant même une vague de "Carlitos! Carlitos!".

le but argentin est tout a fait exceptionnel . A savoir qu ils ont failli prendre une correction . Meme si j avoues ils ont dominé le match . J en faissais mon favoris ... ben sur ce match pas sur qu ils passent le 1er tour lol