pareil j ai vu le match , que de maladresse devant le but mais il y a des geste technique vraiment sympa par moment

Mon avis sur les début est vraiment mitigé. Je n'ai pas reconnu le Brésil et je me demande s'ils ne sont pas en reconstruction depuis 2002 tout simplement. Et franchement pour la nation qui représente le "football samba", elle m'a profondément déçu, surtout face au Venezuela. Tout comme l'Argentine !
J'espere qu'on va voir du beau jeu du coté du Chili et de l'Uruguay, que je ne peux m'empêcher d'apprécier.

je suis d'accord avec toi Scouse, le début de la compétition est mitigée, il faut quand savoir que la phase de poule n'élimine que 4 équipes, donc les 2 grandes nations ont grillé un joker, mais dès le deuxième match elles vont se ressaisir, par contre ayant vu les 4 premier match, j'ai l'impression qu'en 2eme mi-temps les équipes manquent de fraicheur, pourtant en Argentine c'est l'hiver, les calendriers trop chargés nuisent à ces compétitions internationales, déjà l'an passé en coupe du monde on l'avait constaté...

pareil tres dèçu du debut jusque la . J espere que l uruguay vont relevé le niveau domage que je les loupes . J attends des buts surtout que c est l equipe que j aime bien

et bien Spouck mi-temps 1-1 ouverture du score pour le Peru Guerrero et juste avant la mi-temps égalisation de Suarez, et l'Uruguay s'en sort vraiment très bien.

ah pas cool decidement merci zam je suis au taf en plus

1-1 score final, et encore une seconde mi-temps bien terne, allez bonne nuit.

ben j ai rien loupé du coup lol

second match de la nuit Chile 2 Mexico(bis) 1, enfin 3 buts dans un match que je n'ai pas vu, résumé complet après ma journée de taf...

ah zut le mexique a perdu .

Citation :

L'Uruguay ne fait pas mieux

Mené au début du match, l'Uruguay a réussi a égaliser face au Pérou (1-1) sans pour autant parvenir à faire plus. Sa première sortie en Copa America reste décevante.

La plaisanterie durera-t-elle encore longtemps? Les Argentins et les Brésiliens tenus en échec lors de leur premier match, avaient moyennement ri. Les Uruguayens, demi-finalistes du dernier Mondial, n'apprécieront pas plus leur entrée dans cette Copa America. Trois matches nuls des grands favoris face à ni plus ni moins, les trois équipes les moins bien classées des éliminatoires de la Coupe du monde dans la zone d'Amsud (Bolivie, Venezuela et Perou). Mais ce qui est le plus étonnant dans ce constat, c'est que personne n'osera prétendre que le partage des points n'était pas mérité et encore moins dans cette rencontre entre l'Uruguay et le Perou. Alors que Suarez semblait avoir sonné le réveil des siens en fin de première période, la Celeste a progressivement éteint sa domination au point où elle a même pu offrir un joli cadeau d'au-revoir à son opposant en fin de match.

Guerrero changea les plans

Malgré tout, il n'est pas question encore d'évoquer des quarts de finale inédits. Il ne faut pas exagérer. Sur ce qu'on a vu cette nuit, les hommes de Tabarez ont largement les moyens de remonter la pente. Quelques conditions cependant s'imposent à ce vœu : ne pas gâcher ses nombreuses occasions en attaque, être vigilant et ne jamais faire confiance à la règle du hors jeu et poursuivre ses efforts et son engagement jusqu'à la dernière seconde. Car ces trois paramètres là ont joué des mauvais tours à la Celeste au stade de Bicentario de San Juan. Un stade qui était déjà tout acquis à la cause du Chili, qui jouait là bas même quelques minutes après et à moins de 100 km des frontières chiliennes. Les Péruviens donc n'ont visiblement pas éprouvé de complexes face à l'Uruguay. S'ils ont quand même attendu 25 petites minutes pour se montrer dangereux avec déjà la réalisation de Guerrero, parti à la limite du hors jeu pour dribbler et tromper Muslera, suite à une excellente passe de Guevara (1-1, 24e), ils n'ont guère été inquiétés auparavant.

Le début de match qu'on redoutait très ouvert et généreux se révéla fermé et étriqué, au moins jusqu'au but péruvien. Il y avait visiblement de la crainte dans la manière dont les Uruguayens abordaient la rencontre. La première occasion franche de la Celeste survenait qu'à la 37e minute sur un tir de Perreira dévié au dernier moment en corner. S'en est suivi une multitude d'opportunités d'égaliser avec Lugano de la tête (37e), Forlan sur coup francs à deux reprises (40e, 42e) et une autre de Suarez après une superbe remise de Lodeiro, qui s'avérait être la bonne. L'attaquant de Liverpool remettait alors les deux équipes à égalité juste avant la pause (1-1, 46e). De manière assez perceptible, les coéquipiers de Cavani (bien en retrait hier) commençaient à prendre le jeu à leur compte, à mieux conserver la balle, et jouer plus dans les intervalles. C'est peut-être pour eux, que la mi-temps est venue au mauvais moment. La machine si bien lancée était obligée de s'arrêter.

Le Perou pourrait regretter

La seconde mi-temps n'a jamais pris l'envergure qu'on lui prédisait encore moins en faveur de l'Uruguay. Le jeu se refermait, les duels perdaient en intensité, et les espaces se faisaient de plus en plus rares dans les zones de vérité. Pourtant, Diego Forlan réussissait grâce à son abnégation à se procurer une énorme occasion (69e) après une offrande de Suarez. L'attaquant de l'Atletico revoyait sans doute les fantômes de saison espagnole au moment où il se présentait tout seul face à Fernandez. Il mettait tout son cœur dans la frappe mais elle était hélas du mauvais pied (gauche) et passait tout juste au dessus de la transversale des cages péruviennes. L'Uruguay laissait passer sa chance pour de bon de gratter trois points. Mais il pourra peut-être se réconforter de savoir que question efficacité son adversaire n'était pas mieux que lui. Peut-être était-ce dû à une sorte de malédiction qui s'abat sur les attaquants sud américains en Argentine.

Toujours est-il qu'Advincula (56e), Vargas (81e), Cruzado (74e) et surtout Guerrero (90e) voyaient leurs tentatives passer légèrement à coté des buts adverses. Dommage, car la victoire tendait les mains à la Rojiblanca. Sa prestation fut séduisante, mais rien ne nous empêche non plus de déplorer le manque d'intentions en première période. Perou garde ses chances intactes et peut espérer une éventuelle qualification en quarts de finale, un stade que l'équipe aussi paradoxalement que cela puisse paraitre a toujours atteint lors des cinq dernières éditions de la Copa America. L'Uruguay n'est pas moins bien placé, mais avec une équipe mexicaine bis plus séduisante que prévue, cela risque d'être plus dur que prévu dans ce groupe. Le temps des petites plaisanteries ne doit plus durer.

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Le Chili domine le Mexique

Après la Colombie samedi face au Costa Rica, le Chili est seulement la deuxième équipe à décrocher la victoire depuis le début de la Copa America, suite à son succès face au Mexique (2-1) dans la nuit de lundi à mardi, lors de la 1ère journée du groupe C. Malgré l'ouverture du score d'Araujo en fin de première période (41e), les Chiliens ont renversé la tendance en six minutes, grâce à des réalisations de Paredes (67e) et Vidal (73e).

ce soir repos, il n'y a pas de match, ouf je vais pouvoir dormir

sa reprends quand ?

Cette nuit 2h45 Canal + ou https://www.youtube.com/user/CopaAmerica

ouai et celui la je vais pas le loupé

Moi non plus il faut que je me couche vers 21h pour me lever à l'heure du match...

Suarez a marqué et ça fait plaisir. Comme je m'y attendais du Chili, ils n'ont pas totalement changé de philosophie de jeu, chère a Marcelo bielsa. Et qu'est ce que c'est intéressant tactiquement !

ouai a qui le dit tus . Perso j adore l uruguay et j espere qu ils vont faire une belle copa america ... Surtout que la plus part de mes preferer y sont

Citation :

L'Argentine au point mort

La sélection argentine a encore buté sans trouver de solutions face à la Colombie (0-0). Avec 2 petits points au compteur, l'Albiceleste est dos au mur.

Il y a finalement quelque chose de très rassurant dans le fait que l'Argentine n'ait pas remporté ce match. Parce que si Sergio Batista, le patron têtu de la sélection, avait gagné avec cette équipe, il nous l'aurait resservie pour les matches suivants. La réalité est-là : ce 4-3-3 qui tourne pourtant autour de Messi – avec, notons deux attaquants quasiment similaires (Tevez, Lavezzi) n'a encore rien proposé de rafraîchissant pour son second match de la compétition. Derrière, la défense était à l'agonie face à la puissance physique des attaquants colombiens, qui auraient sans doute mérité de marquer. Et que dire de ce milieu (Cambiasso, Banega, Mascherano) dépourvu d'imagination où presque toute le monde reste au piquet dans l'axe ?

L'expérience n'est qu'un mot

Évidemment, en face, le profil de l'adversaire, insouciant, vif et brillant techniquement ne facilitait pas l'inspiration. Mais cette Argentine-là ne peut espérer renouer avec son passé glorieux, quand on sait que le Brésil, le Chili ou l'Uruguay se présenteront tout ou tard sur sa route après la première phase. L'équipe fait pâle figure et ne montre rien de bon à voir. On aurait même envie de scander avec les « hinchas » des "Diegooo, Diegooo" juste pour le regretter encore plus même en tant que sélectionneur. L'énorme occasion manquée par Moreno (24e) déroulera longtemps dans la tête des Colombiens. Ce n'était pas la seule, loin de là, mais les cages étaient grands ouvertes pour une fois que Romero était éliminé. Car le portier argentin a dû rehausser sa cote auprès des journalistes locaux. Sa vigilance, son talent et sa souplesse ont permis d'écarter de réels dangers face à Ramos (20e), Falcao (41e, 67e) et Gutierrez (88e) alors que l'étonnant ailier Romero ne trouvait pas le cadre à la 65e. Il manquait plus qu'une bouée de sauvetage aux argentins.

Quoi qu'on puisse penser, cette équipe Argentine est loin d'être un modèle de complémentarité, ces nombreuses occasions colombiennes auraient dû avoir raison d'elle. En principe, donner un ballon à un attaquant adverse lancé seul face au gardien, c'est comme jeter un os bien garni à un doberman. Cette erreur de Gabriel Milito (24e) a fait clignoter l'alerte rouge alors que l'arbitre se montrait clément sur l'intervention de Burdisso sur Ramos dans la surface. L'Argentine pouvait souffler. Seul Messi, semblait avoir reçu le signal, le devoir de riposter. Toujours cloué au milieu, il a quand même eu le superbe coup d’œil pour lancer Lavezzi en profondeur en parfaite position (34e). Mais on s'en doutait presque que l'attaquant de Naples en totale manque de confiance et avec un moral en pleine décadence allait rater son face-à-face.

L'Argentine sans solutions

La seconde période n'a fait qu'irriter encore plus les nombreux spectateurs présents au stade, dont les parents de Messi, venus assister au match malgré un froid glacial qui s'est jeté sur cette province de Santa Fé. L'Argentine a été incapable de réagir sur la durée, et ses efforts de la bataille aléatoire des dernières minutes étaient insuffisants. L'entrée combinée d'Aguero et Gago puis d'Higuain ne faisaient que prolonger les illusions même si ce dernier se montrait plus inspiré en se signalant par une bonne frappe (77e).

L'Argentine, devra donc revoir encore une fois sa copie, et son équipe. La titularisation de Tevez qui ne s'est procuré qu'une seule occasion nette (63e) est l'une des interrogations, mais pas aussi importante que celle de Javier Pastore. Le jeune Palermitain, n'a encore disputé aucune minute dans cette compétition et sa marginalisation pourrait encore durer au profit des joueurs plus expérimentés. Pas étonnant que le public argentin a choisi de marquer sa déception par de nombreux sifflets en fin de match. Ce n'est certainement pas à cette sélection-là qu'il s'attendait. Ni lui, ni personne.

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Argentine - Batista :"Rester calmes"

Le sélectionneur argentin, Sergio Batista, a regretté que les choses n'aient pas été dans le bon sens pour l'Argentine face à la Colombie (0-0).

"Les fans viennent nous voir gagner. Nous n'aimons pas ce genre de chose, mais c'est compréhensible" a regretté Sergio Batista en conférence de presse. "Ils ont très bien fermé les espaces devant Messi. Aujourd'hui, les choses n'ont pas été dans son sens, mais c'est un compliment pour nos adversaire. Maintenant, nous allons jouer le Costa Rica et c'est une final, mais si nous gagnons, nous aurons 5 points et nous nous qualifierons confortablement. Nous devons rester calme."

ils ont une chance que se soit le costa rica le dernier adversaire mais bon franchement sur ce que j ai vu c etait minable

Ce soir 00h15 sur Canal + sport ou https://www.youtube.com/user/CopaAmerica